Mondial 2026 : les Etalons accrochés par l’Égypte au stade du 4-Août

Dominateurs en seconde période, les Etalons n’ont pas réussi à battre l’Égypte ce 9 septembre. Ce nul 0-0 complique leur rêve de qualification directe pour le mondial 2026.

 

Les Etalons du Burkina Faso ont été accrochés par les Pharaons d’Égypte (0-0). C’était ce mardi 9 septembre 2025 au stade du 4-Août. Malgré une domination en seconde période et plusieurs occasions franches, Bertrand Traoré et ses coéquipiers n’ont pas réussi à trouver la faille pour réduire l’écart au classement et garder intactes leurs chances de qualification directe pour le Mondial 2026.

Dès le coup d’envoi, l’ambiance était électrique. Portés par un stade plein à craquer, les Burkinabè ont affiché beaucoup d’envie, mais aussi de fébrilité. Face à une Égypte bien en place défensivement, ils ont multiplié les approximations dans le jeu. Le match a connu un premier tournant à la 10e minute avec la blessure d’Omar Khaled Marmoush, remplacé par Osama Fisal, donnant un léger avantage psychologique aux locaux. Quelques minutes plus tard, Bertrand Traoré et Issouf Dayo ont failli ouvrir le score, mais la réussite n’a pas été au rendez-vous. À la pause, le tableau d’affichage restait vierge.

Au retour des vestiaires, les Etalons ont pris l’ascendant. Multipliant les offensives, ils ont installé un siège dans le camp adverse. Bertrand Traoré s’est illustré par ses débordements et sa détermination, soutenu par l’entrée de Georgi Minoungou qui a dynamisé le couloir gauche. Mais les Égyptiens, dirigés par Hossam Hassan, ont fermé le jeu et résisté aux assauts burkinabè. Dans le temps additionnel, une dernière occasion aurait pu faire basculer la rencontre, mais la défense adverse a tenu bon.

À l’issue du match, Hossam Hassan s’est dit satisfait d’avoir préservé les cinq points d’avance de son équipe et a salué la progression des Etalons. Du côté burkinabè, la frustration était palpable. Brama Traoré a reconnu que ses joueurs avaient tout donné mais manqué de réalisme. « Le point du nul est bon à prendre, mais il y avait la place pour gagner », a-t-il déclaré. Bertrand Traoré a, lui aussi, exprimé sa déception mais a insisté sur la détermination du groupe : « Nous avons encore deux matchs pour espérer les barrages. Nous irons chercher cette qualification. »

Ce nul maintient l’écart de cinq points avec l’Égypte, leader du groupe. Pour espérer continuer à rêver du Mondial, les Etalons devront impérativement s’imposer lors de leurs deux dernières sorties.

Burkina Faso-Egypte : les Etalons prêts à en découdre pour un billet pour le Mondial

Le sélectionneur des Etalons du Burkina Faso, Brama Traoré, s’est exprimé ce lundi 8 septembre 2025 en conférence de presse à la veille du match décisif contre l’Égypte, comptant pour la 8ᵉ journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Accompagné de l’avant-centre Ousseni Bouda, il s’est montré confiant quant à la possibilité d’une victoire cet après-midi au Stade du 4-Août.

 

Le duel du groupe A entre le Burkina Faso et les Pharaons s’annonce crucial pour la qualification directe au Mondial. Actuellement leaders avec 19 points, les Égyptiens devancent les Burkinabè, qui totalisent 14 points. Cependant, une victoire est donc impérative pour réduire l’écart et maintenir l’espoir d’un billet pour le Mondial. De ce fait, lors de la conférence de presse, où les Égyptiens étaient absents, l’optimisme régnait dans le camp burkinabè. En effet, le sélectionneur des étalons, Brama Traoré a déclaré.

« Les joueurs retrouvent leur stade fétiche, le Stade du 4-Août. Ils connaissent les attentes du public et sont mentalement prêts. »

Le coach compte sur le soutien des supporters pour faire la différence rapidement, tout en analysant les Pharaons comme « tactiquement solides défensivement » et capables d’être dangereux en contre-attaque.

Ousseni Bouda a de son côté assuré que l’équipe était dans une excellente ambiance et prête à relever le défi. « La pression est sur l’adversaire. Le public est avec nous, et c’est une fierté énorme.

«Nous voulons rendre fiers le pays, nos familles et nous-mêmes », a-t-il affirmé, enthousiaste à l’idée de retrouver l’atmosphère du Stade du 4-Août, encensé par ses coéquipiers Bertrand Traoré et Steve Yago.

Cette confrontation est déterminante pour les Etalons : une victoire les rapprocherait à deux points de l’Égypte, relançant complètement la course à la qualification. Un match nul laisserait un mince espoir, tandis qu’une défaite compromettrait définitivement le rêve d’un billet direct pour le Mondial. Forts de leur large succès contre Djibouti (6-0), les Burkinabè abordent ce match avec confiance et détermination. Le coup d’envoi est prévu cet après-midi à 16h00 GMT pour un affrontement qui s’annonce palpitant.

Le Mali muscle son armée avec des lance-roquettes et blindés chinois

Le Mali a franchi une étape importante dans la modernisation de ses forces armées avec la réception, début septembre 2025, d’un lot d’équipements militaires en provenance de Chine. Ce convoi comprend notamment des systèmes de lance-roquettes multiples SR-5, ainsi que des blindés CS/VP14 MRAP et VN22 IFV.

 

Le SR-5, produit par la société chinoise NORINCO, offre une grande polyvalence grâce à sa capacité à tirer différents types de roquettes à longue portée. Cette précision accrue constitue un atout face aux groupes armés terroristes, de plus en plus adeptes des drones et des engins explosifs improvisés.

Les blindés CS/VP14 MRAP, conçus pour résister à de puissantes explosions sous la coque ou les roues, renforcent la protection des troupes. Quant aux VN22 IFV, ils disposent d’un canon automatique de 30 mm et d’un lance-missile antichar, élargissant ainsi les capacités offensives de l’armée malienne. Acheminés depuis le port de Conakry, en Guinée, ces équipements ont rejoint Bamako par voie terrestre.

Pour les autorités de transition, dirigées par le général Assimi Goïta, cette livraison traduit la volonté du Mali de diversifier ses partenariats militaires, notamment avec la Chine et la Russie, depuis le départ des forces françaises en 2022. Le gouvernement insiste sur une stratégie de modernisation durable des FAMa afin de répondre aux attentes sécuritaires de la population.

Cette acquisition intervient dans un contexte de regain de violences dans le nord et le centre du pays. Début juillet, les FAMa avaient annoncé avoir neutralisé plus de 80 combattants du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM) lors d’opérations dans la région de Niono et ses environs.

Pour Bamako, l’arrivée conjointe des SR-5 et des blindés représente un renfort stratégique majeur, confirmant la montée en puissance progressive de ses forces armées et l’orientation vers de nouveaux partenariats militaires.

Smarty se retire des PRIMUD 2025 : le roi du rap burkinabè dit non à la compétition

Le rappeur burkinabè Smarty a officiellement refusé sa nomination dans la catégorie « meilleur artiste rap francophone Afrique » des PRIMUD 2025. Sur sa page Facebook, il souhaite bonne chance aux jeunes participants et remercie le comité d’organisation.

 

Le rappeur burkinabè Smarty a exprimé son souhait de ne pas concourir dans la catégorie « meilleur artiste rap francophone Afrique » des PRIMUD 2025. L’annonce a été faite sur sa page Facebook.

« Tout en remerciant le comité d’organisation des PRIMUD pour son clin d’œil à ma modeste personne, je demande humblement de retirer mon nom de cette nomination. Bonne chance aux jeunes participants et bonne célébration des musiques urbaines », a écrit l’artiste.

Le comité d’organisation a rapidement réagi dans les commentaires de la publication. « Nous avons bien pris connaissance de votre souhait, exprimé publiquement, concernant votre nomination aux PRIMUD 2025. Nous vous remercions pour l’attention et la considération que vous avez portées au comité d’organisation. Conformément à votre décision, nous vous confirmons le retrait de votre nom de la compétition », a indiqué le PRIMUD.

Cette compétition, portée par le chanteur de coupé-décalé Molare, récompense les professionnels du showbiz ivoirien et africain.

Smarty n’est pas le premier artiste burkinabè à décliner une nomination. Rappelons que Dez Altino avait lui aussi choisi de ne plus participer aux récompenses musicales nationales, contestant son maintien dans l’une des catégories des Kundé d’or, la grande messe de la musique burkinabè.

Burkina Faso : une avocate poursuivie pour trahison après des publications sur Facebook

Me Ini Benjamine Esther Doli, avocate au barreau du Burkina Faso, fait l’objet d’une enquête après des publications sur Facebook. Elle fait l’objet de poursuites pour trahison, outrage au chef de l’État et démoralisation des forces armées.

 

Le parquet près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou I a annoncé, dans un communiqué daté du 6 septembre 2025, l’ouverture d’une enquête visant Me Ini Benjamine Esther Doli, avocate inscrite au barreau du Burkina Faso. Cette décision fait suite à des publications diffusées fin août sur son compte Facebook, considérées comme pouvant constituer des infractions pénales.

Le 4 septembre, après avoir obtenu l’autorisation du Procureur général près la Cour d’appel de Ouagadougou, le parquet a chargé une unité de police judiciaire de diligenter les investigations. Les faits reprochés concernent des soupçons de trahison, d’outrage au chef de l’État et de tentative de démoralisation des forces armées.

Le parquet a rappelé son attachement au respect scrupuleux de la légalité et assuré que la procédure suivra toutes les règles établies, en veillant au respect des droits de l’avocate mise en cause.

Burkina Faso : les “routes bitumées sur papier”, mythe ou réalité ?

Souvent évoquées comme symbole de détournements, les « routes bitumées sur papier » suscitent la méfiance au Burkina Faso. Le ministère des Infrastructures apporte des clarifications. Par ailleurs, il a insisté qu’il s’agit d’un mythe alimenté par la complexité des procédures et les délais de financement.

 

Au Burkina Faso, l’expression « routes bitumées sur papier » illustre fréquemment les soupçons de détournements liés aux projets routiers. Pour répondre à ces suspicions, le ministère des Infrastructures a publié, ce dimanche 7 septembre 2025, une mise au point sur sa page Facebook.

Selon Mamadou Yougbaré, directeur général de la normalisation et des études techniques, cette perception relève d’une confusion plutôt que d’une fraude. Il rappelle que la mise en œuvre d’une route est un processus long et complexe, qui passe par plusieurs phases : études techniques, mobilisation des financements, passation des marchés, exécution des travaux et contrôles stricts.

Ces étapes, insiste-t-il, peuvent s’étendre sur plusieurs années. C’est ce délai qui donne l’impression que certains projets restent « sur papier » en attendant d’être financés. Pour illustrer ses propos, il cite les cas de la RN29, de la RN11, de la RN10, de la RN20 et de la RN25. À ses yeux, les lenteurs constatées proviennent davantage des négociations avec les bailleurs et partenaires techniques que de malversations.

En définitive, affirme-t-il, les « routes bitumées sur papier » ne sont qu’un mythe nourri par la complexité des procédures et la durée des financements, et non par des détournements.

Héritage et succès historique : dressons le bilan du Championnat d’Afrique des Nations 2024

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Plus que du football

La frappe fantastique d’Oussama Lamlioui (sixième réalisation lors du tournoi pour le meilleur buteur) à près de 40 mètres a offert au Maroc une victoire 3-2 sur Madagascar en finale du CHAN 2024. Ce tournoi a été marqué par de nombreux moments forts, et lors des éliminatoires, l’intensité de la lutte a atteint son paroxysme : 5 matchs sur 8 ne se sont pas terminés dans le temps réglementaire, les victoires ayant été décrochées par un but d’écart ou au terme d’une séance de tirs au but.

Ce qui est tout aussi important au-delà du rectangle vert : pour la première fois de l’histoire, la phase finale du CHAN a été organisée par trois pays simultanément. Pour le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda, qui accueilleront également la CAN 2027, ce tournoi devrait donner un nouvel élan à de nombreux égards : infrastructurel, économique, social et réputationnel.

Base pour l’avenir

Il est impossible d’évaluer précisément les performances des sélections des pays hôtes, éliminées en quarts de finale, le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda n’ayant pas réussi à s’insérer dans le top 8 du CHAN. Cependant, les hôtes pouvaient espérer davantage : par exemple, en phase de groupes, le Kenya a battu le futur champion et la Tanzanie, le futur finaliste. Quoi qu’il en soit, ce tournoi aidera les formations à mieux se préparer pour la CAN à domicile.

Dynastie

L’équipe nationale marocaine a remporté trois des quatre dernières éditions du CHAN et est devenue l’équipe la plus titrée du tournoi. Les « Lions de l’Atlas » ont été dirigés par trois entraîneurs différents, ce qui confirme l’approche systématique du football dans ce pays. Au Maroc, il existe un programme d’investissement public dans la formation des joueurs et des entraîneurs.

Tarik Sektioui avait déjà été médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Paris, s’agissant du premier sacre footballistique de ce pays dans l’histoire de ces compétitions. Fort de l’expérience acquise, l’entraîneur a su trouver les solutions adéquates après la débâcle face au Kenya. Sektioui a compris qu’une classe pure et même un système de jeu bien structuré ne suffiraient pas ; il fallait une concentration et une volonté sans faille. Par la suite, les Marocains ont dominé dans 4 de leurs 5 matchs dans le temps réglementaire ; seul le Sénégal, champion du précédent CHAN, a su tenir jusqu’à la séance de tirs au but face aux Lions de l’Atlas. En demi-finale comme en finale, le groupe marocain a su finalement faire tomber ses rivaux malgré les remontées à chaque fois.

Conquérants des cœurs

Des milliers de personnes, ainsi que le président du pays en personne, ont salué l’équipe nationale de Madagascar en héros. Les Barea ont obtenu le meilleur résultat de l’histoire du football national, mais même la finale du CHAN 2024 ne semble pas être la limite pour Madagascar. Après tout, lors du tournoi précédent, cette équipe avait terminé 3e et, en 2019, elle a atteint les quarts de finale de la CAN.

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Taxe sur les terrains non bâtis et soutien à la pisciculture : les nouvelles mesures du gouvernement

Le gouvernement burkinabé a adopté de nouvelles mesures fiscales et économiques lors du conseil des ministres du jeudi 4 septembre 2025. Désormais, les propriétaires de parcelles non mises en valeur devront payer une taxe comprise entre 750 et 1000 francs CFA par mètre carré, selon la localité. L’annonce a été faite par le ministre de l’Économie, des Finances et de la Prospective, Dr Aboubacar Nacanabo.

 

Cette décision fait suite à une opération de contrôle menée à Ouaga 2000, qui a révélé de nombreux terrains inexploités. Plutôt que d’appliquer la sanction de retrait prévue par les textes, l’exécutif a choisi d’imposer une taxe afin d’offrir une seconde chance aux propriétaires.

Le ministre a précisé que ce prélèvement sera augmenté de 20 % chaque année, afin d’encourager la mise en valeur des parcelles dans le délai légal de cinq ans. Cette mesure figure dans l’avant-projet de loi de finances rectificative 2025, adopté en conseil des ministres et appelé à être examiné par l’Assemblée nationale.

En parallèle, l’exécutif a pris une mesure d’exonération de la TVA sur les aliments pour poissons. Cette décision vise à réduire les coûts de production pour les pisciculteurs et à soutenir la dynamique de la pisciculture dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique.

« La pisciculture est en plein développement au Burkina. Il faut accompagner cette dynamique en allégeant les charges liées aux aliments de poissons », a expliqué Dr Nacanabo.

Faux diplômes : 21 agents publics révoqués pour usage de faux diplômes

Le gouvernement burkinabè a franchi une nouvelle étape dans son combat contre la fraude et la corruption au sein de l’administration. Jeudi 4 septembre 2025, le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Mathias Traoré, a annoncé la révocation de 21 agents publics pour usage de faux diplômes.

Des agents issus de neuf ministères

Les contrôles menés par l’administration ont révélé que ces agents avaient intégré la fonction publique grâce à de faux documents scolaires ou universitaires. Ils étaient répartis dans neuf départements ministériels. La décision de leur radiation vise à assainir la gestion des ressources humaines et à protéger l’intégrité de l’administration publique.

Une volonté politique affirmée

Selon le ministre Mathias Traoré, cette mesure traduit la détermination des autorités de transition à instaurer la transparence. Elle s’inscrit dans un effort global de moralisation de la vie publique. « La lutte contre la corruption passe aussi par la rigueur dans le recrutement et la gestion des agents publics », a-t-il rappelé.

Une clause prioritaire pour les agents publics

En parallèle, le gouvernement a adopté un décret instaurant une clause prioritaire de service à l’État. Désormais, tout agent recruté devra rester à la disposition de l’administration pendant au moins 15 ans, durée minimale nécessaire pour une retraite proportionnelle.

Si un agent choisit de quitter prématurément son poste, il devra rembourser les frais de formation engagés par l’État. Cette mesure vise à garantir que les investissements publics dans la formation des agents bénéficient en priorité au service de la nation.

Une réforme en profondeur

Avec ces décisions, le gouvernement envoie un signal fort. Il entend bâtir une administration crédible, débarrassée des pratiques frauduleuses. La révocation des agents fraudeurs et l’adoption de la clause prioritaire marquent une étape supplémentaire vers un appareil administratif plus intègre et plus efficace.

Forfait de Kilian Nikiema : Les Étalons se préparent pour Djibouti et l’Égypte

À quelques jours des matchs décisifs des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, le Burkina Faso doit faire face à un imprévu. La Fédération Burkinabè de Football (FBF) a annoncé ce mercredi 3 septembre que le gardien de but Kilian Nikiema sera forfait pour les rencontres contre Djibouti et l’Égypte, prévues respectivement les 5 et 9 septembre 2025

 

Arrivé le 31 août à Ouagadougou pour le regroupement de l’équipe nationale, Kilian Nikiema s’est blessé à l’entraînement, compromettant sa participation aux deux prochains matchs. Malgré cette absence, le staff technique pourra compter sur les trois autres gardiens convoqués : Hervé Koffi, Ladji Brahima Sanou et Clovis Bazemo. Ces derniers auront la lourde responsabilité de protéger les buts des Étalons lors de ces rencontres cruciales.

Avec 11 points, le Burkina Faso occupe actuellement la deuxième place du classement de son groupe, derrière l’Égypte qui totalise 16 points. Ces matchs représentent une étape importante pour maintenir l’espoir d’une qualification pour la Coupe du monde 2026.

Le sélectionneur Brama Traoré reste mobilisé et devra adapter sa stratégie pour pallier ce forfait tout en gardant intact l’objectif d’atteindre les barrages ou la qualification directe.