Renforcement de l’alimentation animale : Faso Guulgo et Bejai Investment Group lancent un partenariat stratégique

Faso Guulgo et l’entreprise éthiopienne Bejai Investment Group ont entamé un partenariat stratégique pour renforcer la production locale d’aliments pour animaux. Cette coopération vise à créer des unités décentralisées et à former les jeunes aux techniques de fabrication, dans le but de soutenir la souveraineté alimentaire au Burkina

 

Le 29 août 2025, la société d’État Faso Guulgo a accueilli une délégation de l’entreprise éthiopienne Bejai Investment Group, conduite par son directeur, Bejai Naiker Nerash, sur son site de production à Koubri. Cette visite marque le lancement d’un partenariat stratégique dans le secteur de l’alimentation animale au Burkina Faso.

Accueillis par le Directeur général de Faso Guulgo, Yaya Soulama, et en présence de deux conseillers spéciaux du Président du Faso, la délégation a découvert les installations industrielles et le processus complet de fabrication des aliments pour bétail. Les échanges ont permis de répondre aux questions techniques et d’explorer les opportunités de coopération dans la production et la formation.

Bejai Investment Group, spécialisé dans la conception de machines industrielles et d’unités de transformation agroalimentaire, a déjà installé plus de 87 usines en Afrique, impactant plus de 5 millions de personnes. M. Nerash s’est dit impressionné par les infrastructures de Faso Guulgo et a insisté sur l’importance d’une production locale décentralisée, durable et adaptée aux besoins des éleveurs.

« La production d’aliments pour animaux ne peut pas s’arrêter. Il vaut mieux multiplier les petites unités, faciles à entretenir et proches des utilisateurs », a déclaré M. Nerash. Le groupe souhaite également intégrer une dimension éducative en formant les jeunes aux techniques de fabrication et à la nutrition animale.

Le Directeur général de Faso Guulgo, Yaya Soulama, s’est réjoui de cette visite, soulignant que des actions concrètes sont en cours pour implanter de nouvelles unités de production dans plusieurs régions. L’objectif est de rendre les aliments de qualité accessibles aux éleveurs à des prix abordables et de renforcer la souveraineté alimentaire du Burkina Faso.

Le ministre des Affaires étrangères reçoit les représentants de la Suisse et du Canada

Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Karamoko Jean Marie Traoré, a reçu ce 1er septembre 2025 la nouvelle Cheffe de la coopération suisse et l’ambassadeur du Canada pour renforcer les liens bilatéraux et préparer de futurs programmes de coopération alignés sur les priorités du Burkina Faso.

 

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Karamoko Jean Marie Traoré, a reçu ce lundi 1er septembre 2025 l’ambassadeur du Canada, Tina Guthrie, ainsi que la nouvelle Cheffe du Bureau de la Coopération suisse, Stefanie Burri.

Lors de son audience avec Mme Burri, le ministre a évoqué le futur programme de coopération Burkina Faso–Suisse pour la période 2026-2029, qui s’alignera sur les priorités nationales. La diplomate suisse a souligné son intention de renforcer les initiatives conjointes dans divers domaines en respectant les principes de dialogue, d’écoute et de non-ingérence. Karamoko Jean Marie Traoré a, pour sa part, salué la coopération bilatérale, vieille d’une cinquantaine d’années, et ses résultats satisfaisants au profit des deux peuples. Il a insisté sur la volonté des deux parties de consolider ces liens historiques.

Dans une autre rencontre, le ministre a échangé avec l’ambassadeur du Canada, Tina Guthrie, sur les perspectives de la coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines diplomatique et académique. Ces audiences confirment l’engagement du Burkina Faso à entretenir et développer ses relations internationales.

Burkina Faso : adoption historique du nouveau Code des personnes et de la famille.

Après plus de trente ans sans réforme, le Burkina Faso modernise en profondeur son droit familial. Le nouveau Code, adopté à l’unanimité ce lundi 1er septembre 2025, introduit la numérisation de l’état civil, harmonise l’âge légal du mariage et renforce les droits de la femme et de l’enfant, ouvrant une nouvelle ère pour la famille burkinabè.

 

L’Assemblée législative de Transition (ALT) a franchi une étape historique ce lundi 1er septembre 2025. En effet, Il a été adopté à l’unanimité des 71 députés présents, le projet de loi portant Code des personnes et de la famille (CPF). Ce texte, défendu par le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue Bayala, constitue une réforme majeure du droit familial burkinabè, plus de trente ans après l’adoption du précédent code.

Élaboré au terme d’un long processus de révision, le nouveau Code des personnes et de la famille s’articule autour de 1 113 articles, répartis en 17 titres et 56 chapitres. Il modernise le cadre juridique de la famille en l’adaptant aux évolutions sociales, culturelles et économiques du Burkina Faso.

Parmi les principales innovations figurent :

  • la numérisation de l’état civil et la création d’identifiants personnels,

  • de nouvelles dispositions sur l’acquisition de la nationalité par mariage,

  • un chapitre inédit consacré à la lutte contre l’apatridie,

  • la reconnaissance officielle des mariages coutumiers et religieux par transcription,

  • l’harmonisation de l’âge légal du mariage à 18 ans pour les deux sexes,

  • l’élargissement des droits successoraux, permettant aux parents d’hériter de leurs enfants,

  • ainsi que de nouvelles garanties en faveur de la femme, de l’enfant et de la cellule familiale.

« Le nouveau CPF est une réponse aux aspirations profondes de notre société ; il allie innovation juridique, respect des valeurs culturelles et volonté de bâtir une famille burkinabè plus juste et plus solidaire », a déclaré Me Bayala, saluant l’unanimité des votes comme un signal fort d’adhésion nationale.

Cette réforme, présentée comme l’une des plus ambitieuses de ces dernières décennies, ouvre une nouvelle ère pour le droit de la famille au Burkina Faso, en posant les bases d’une société plus équitable, cohésive et tournée vers l’avenir.

Grand Stade d’Agadir : rénovations majeures pour la CAN 2025 et le Mondial 2030

À Agadir, les engins de chantier ne cessent de vrombir. Le Grand Stade, inauguré en 2013, connaît actuellement une profonde transformation. Cette métamorphose vise à accueillir la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et à préparer le Maroc au Mondial 2030.

 

Dès l’extérieur, les visiteurs découvrent une enceinte en plein lifting. Les façades sont modernisées avec de nouvelles structures métalliques et des finitions contemporaines. À l’intérieur, les travaux se concentrent sur les tribunes, les loges VIP et les zones d’accueil. Les sièges usés sont remplacés par des modèles ergonomiques et colorés, renforçant l’identité visuelle du stade.

Parallèlement, le terrain bénéficie d’une réfection complète. Une pelouse hybride, adaptée aux normes internationales, est installée. Le système d’éclairage, lui aussi, est modernisé pour répondre aux standards exigés par la FIFA. Ces améliorations permettront non seulement une meilleure visibilité des matchs, mais aussi une diffusion optimale lors des retransmissions télévisées.

La sécurité figure également parmi les priorités. Des dispositifs de surveillance plus performants, des accès mieux organisés et des sorties de secours supplémentaires sont intégrés. Les spectateurs bénéficieront ainsi d’une expérience plus fluide et rassurante.

Enfin, le projet s’inscrit dans une vision durable. Les autorités locales et la Fédération marocaine de football ont prévu des solutions écoresponsables : panneaux solaires, gestion optimisée de l’eau et réduction de la consommation énergétique.

En accueillant la CAN 2025, le Stade d’Agadir ne sera pas seulement un lieu de compétition. Il deviendra un symbole de modernité et de rayonnement international, confirmant la place du Maroc comme acteur majeur du football africain et mondial.

 

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Douanes : Yves Kafando effectue une sortie nocturne sur les axes de transit à Ouagadougou

Le Directeur général des Douanes, l’inspecteur divisionnaire Yves Kafando, a conduit, dans la nuit du vendredi 29 août 2025, une sortie terrain sur l’axe Ouagadougou-Dakola et la voie de contournement. L’objectif était de constater les conditions de travail des agents chargés de la canalisation des véhicules en transit vers les bureaux intérieurs et de les encourager dans leurs missions.

 

Accompagné de ses proches collaborateurs, Yves Kafando a visité plusieurs postes de canalisation. Notamment du carrefour de Komsilga à celui de Manga. À chaque station, la délégation a observé les agents et assuré la gestion des flux de véhicules. Au poste de Komsilga, les autorités ont constaté 94 camions en provenance de Dakola stationnés. Tandis qu’à Manga, plus d’une centaine attendaient de rejoindre le bureau de transit de Ouaga Inter pour accomplir les formalités douanières.

« Nous sommes là pour vous encourager. Nous devons profondément travailler à faire de l’intérêt général notre gouvernail », a déclaré le DG des Douanes.

Il a rappelé que la mise en œuvre du règlement 14 sur la charge à l’essieu, exigé depuis le 1er août, a entraîné une accélération des importations et une saturation des bureaux intérieurs. Cette situation justifie le stationnement temporaire des camions sur la voie de contournement.

Au Bureau de suivi du transit (BST), Yves Kafando a pu constater l’engagement permanent des agents, 24h sur 24, pour garantir la traçabilité des opérations de dédouanement et le passage sécurisé des marchandises. Selon le chef du BST, l’inspecteur principal Abel Kabré Sandaogo, des bureaux similaires existent sur les quatre sorties de Ouagadougou, assurant un maillage efficace du territoire et le suivi des véhicules en transit.

À l’issue de la visite, Yves Kafando a exprimé sa satisfaction quant au travail accompli et a encouragé les agents à maintenir leur vigilance afin d’optimiser la canalisation et la prise en charge des véhicules dans les bureaux intérieurs.

BAD : Sidi Ould Tah prend officiellement les rênes de la Banque africaine de développement

Le Mauritanien Dr Sidi Ould Tah est devenu, ce lundi 1er septembre 2025 à Abidjan, le neuvième président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Lors d’une cérémonie solennelle de prestation de serment, il s’est engagé à diriger l’institution avec « loyauté, discrétion et conscience ».

 

La cérémonie, présidée par le président ivoirien Alassane Ouattara, a réuni de hautes personnalités. Notamment le chef de l’État mauritanien Mohamed Ould Ghazouani. Sidi Ould Tah succède au Nigérian Dr Akinwumi Adesina, qui a dirigé la BAD pendant dix ans. Dans son discours, le nouveau patron de la BAD a rappelé que « le développement ne peut se faire sans paix ». Toutefois, il a appelé à l’action face aux défis pressants du continent.

« Je demeure confiant que l’Afrique continuera à faire preuve de résilience. Le temps est à l’action. L’Afrique nous regarde », a-t-il insisté.

Il a également exprimé sa gratitude à la Côte d’Ivoire pour le soutien de son président durant le processus électoral. Ainsi qu’aux gouverneurs des 81 pays membres qui lui ont accordé leur confiance en mai dernier, avec 76,18 % des voix. Alassane Ouattara a salué une « nouvelle ère d’espérance » qui s’ouvre pour l’institution après une décennie de gouvernance jugée « remarquable » par Akinwumi Adesina. Quant à Mohamed Ould Ghazouani, il a assuré du soutien constant de la Mauritanie au nouveau président, soulignant le rôle déterminant de la BAD dans le développement du continent.

Âgé de 60 ans, Sidi Ould Tah est un économiste chevronné. Avant son élection, il a présidé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA). Sa carrière reflète une expertise reconnue dans le financement du développement et la coopération internationale

Soudan du Sud : violences entre forces gouvernementales et rebelles dans l’Équatoria central et le Haut-Nil

Des affrontements violents ont opposé pendant deux jours le SSPDF et la SPLA-IO dans l’Équatoria central et le Haut-Nil, la bataille atteignant la localité de Mathiang.

 

Des combats intenses ont opposé pendant deux jours les forces gouvernementales du Soudan du Sud (SSPDF) et l’armée rebelle SPLA-IO, fidèle à l’opposant Riek Machar, dans les États de l’Équatoria central et du Haut-Nil.

Le porte-parole de la SPLA-IO, Lam Paul Gabriel, a indiqué sur sa page Facebook que ses éléments ont intercepté une colonne d’attaque des régiments loyaux à Juba à l’extérieur de Mathiang. Les affrontements ont atteint la localité de Mathiang, dans le comté de Longechuk, où la situation reste tendue. Selon Lam Paul Gabriel, la présence de jeunes armés aux côtés de la SPLA renforce la pression sur le terrain et complique la sécurisation de la zone. Il affirme aussi que les combats ont démarré mercredi après l’échec, côté rebelles, de deux attaques coordonnées du SSPDF visant les régions de Jamara Saba et Limuro, dans le comté de Lainya.

Aucune source indépendante n’a encore confirmé le bilan des affrontements. Les tensions persistent et risquent d’alimenter davantage l’instabilité dans ces régions déjà fragilisées par le conflit.

Côte d’Ivoire : six fonctionnaires ivoiriens interceptés et déportés vers le Burkina

Six agents ivoiriens de la Daara ont été interceptés le 24 août par des individus se réclamant être des  Volontaires burkinabè dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, alors qu’ils menaient une mission humanitaire auprès de réfugiés.

 

Six agents de la Direction d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (Daara) en mission dans le nord-est de la Côte d’Ivoire ont été interceptés le dimanche 24 août par des membres des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) burkinabè. L’incident s’est produit dans la sous-préfecture de Tougbo, région du Bounkani, où de nombreux réfugiés burkinabé fuyant les violences bénéficient d’une assistance humanitaire.

Selon un témoin humanitaire, l’équipe de la Daara aurait progressé par erreur jusqu’à Moussoukantou, une localité située en territoire burkinabè, où sont déployés les VDP. Les six fonctionnaires ont alors été emmenés à Ouagadougou par hélicoptère peu après leur interception.

Les agents effectuaient une mission de recensement visant à enregistrer de nouvelles familles burkinabè déplacées à la suite d’une attaque terroriste survenue mi-août dans le sud du Burkina Faso. Cette zone frontalière, souvent mal délimitée, connaît des franchissements fréquents. Les équipes humanitaires et les patrouilles ivoiriennes sont régulièrement amenées à traverser la frontière dans le cadre de leurs missions. Ces incidents, bien que délicats, se résolvent généralement rapidement.

Afghanistan frappé par un séisme meurtrier : plus de 800 morts et des milliers de blessés

Dans la nuit du 31 août 2025, un séisme de magnitude 6 a frappé l’est de l’Afghanistan, provoquant la mort de plus de 800 personnes. Le tremblement de terre, suivi de cinq répliques dont une de magnitude 5,2, a été ressenti jusqu’à Kaboul et Islamabad. L’épicentre, situé à seulement huit kilomètres de profondeur, se trouvait à 27 kilomètres de Jalalabad, dans la province de Nangarhar. Cependant, la province de Kounar a enregistré le bilan le plus lourd, avec des centaines de victimes et des destructions massives.

 

Les autorités afghanes ont dépêché des hélicoptères de secours pour atteindre les zones reculées coupées par des glissements de terrain. Les équipes de secours continuent de fouiller les villages isolés, malgré les routes et infrastructures gravement endommagées. Les habitants, de retour d’exil au Pakistan et en Iran, espéraient reconstruire leurs foyers avant que cette catastrophe naturelle ne les frappe

La mission de l’ONU en Afghanistan a exprimé sa profonde tristesse et mobilise des équipes d’urgence pour soutenir les victimes. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a témoigné de sa solidarité totale avec le peuple afghan. Cette tragédie rappelle le séisme de 2023 à Hérat. Celui ci avait tué plus de 1 500 personnes et détruit des milliers d’habitations.

Les experts soulignent que l’Afghanistan est fréquemment exposé aux tremblements de terre. Et ce, en raison de sa position géologique dans la chaîne de l’Hindou Kouch. Les récentes catastrophes naturelles accentuent la vulnérabilité des populations, notamment les familles pauvres et les réfugiés revenus sur le territoire. La Banque mondiale estime que près de la moitié de la population afghane vit dans la pauvreté. Cette situation complique les secours d’urgence.

Les autorités locales alertent sur l’urgence de coordonner l’aide humanitaire pour éviter une aggravation de la crise sanitaire et sociale. Les habitants restent sous le choc et craignent de nouvelles répliques, tandis que des équipes internationales tentent d’accéder aux zones les plus touchées.

Maroc : inspection des stades pour la CAN 2025 et la préparation de la Coupe du Monde 2030

Le Maroc lance l’inspection de ses six stades hôtes pour la CAN 2025, préparant en parallèle la Coupe du Monde 2030, avec Tanger comme première étape de cette tournée d’envergure.

 

Le Maroc se prépare activement à accueillir la CAN 2025 avec un contrôle minutieux des six stades hôtes situés à Tanger, Rabat, Marrakech, Agadir, Fès et Casablanca. Cette tournée médiatique a débuté ce dimanche 31 août par le stade Ibn Batouta de Tanger, première étape d’une série de visites visant à garantir des infrastructures conformes aux normes de la CAF et de la FIFA pour 2030.

Les stades subissent d’importants travaux de rénovation, incluant la modernisation des gradins, des skybox et des espaces destinés au public, aux VIP et aux joueurs. L’architecte Anouar Amaoui souligne que la charpente du stade Ibn Batouta a présenté des défis techniques, notamment à cause des vents dominants propres à Tanger. Abderrazak Aboutamane, directeur régional de l’Agence nationale des équipements publics (ANEP), rappelle que l’investissement total pour ces travaux s’élève à 3,6 milliards de dirhams (360 millions de dollars).

Le stade Ibn Batouta accueillera notamment les matches du groupe D de la CAN 2025, comprenant le Sénégal, la RD Congo, le Bénin et le Botswana. L’équipe du Sénégal jouera ses trois rencontres à Tanger, du 23 au 30 décembre 2025. Tanger et Rabat bénéficieront d’une préparation spéciale, directement adaptée pour le Mondial 2030, coorganisé par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.

Cette inspection marque le lancement officiel des vérifications des infrastructures sportives, hôtelières et logistiques, afin d’assurer un accueil optimal des compétitions internationales à venir. Avec ce programme ambitieux, le Maroc confirme sa volonté d’offrir des événements sportifs de niveau mondial.