« La Confédérale » : L’hymne puissant qui unit le Burkina, le Mali et le Niger

Ce mercredi 21 mai 2025, le Général Abdourahamane Tiani, Président du Niger, a accueilli une délégation ministérielle composée des ministres de la Culture du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Cette équipe, dirigée par le ministre malien Mamou Daffé, est venue soumettre un projet emblématique : l’hymne officiel de la Confédération des États du Sahel (AES).

Intitulé « La Confédérale », ce chant se veut un miroir fidèle des valeurs communes aux trois pays. Il met en lumière l’histoire, les luttes partagées et les ambitions collectives du Sahel. Pour ses concepteurs, cet hymne est plus qu’un symbole. Il constitue une voix identitaire, un outil de mobilisation pour les générations actuelles et futures.

Un lancement synchronisé et une appropriation nationale

Dans les semaines à venir, les trois États membres lanceront officiellement et simultanément l’hymne lors de cérémonies publiques. L’objectif est clair : faire de « La Confédérale » un repère culturel vivant. Des prestations musicales accompagneront cette première phase.

Mais la démarche va plus loin. Le ministre Mamou Daffé a indiqué que l’hymne sera introduit progressivement dans les écoles. Il sera aussi adopté par les fanfares nationales et intégré aux célébrations officielles. L’enjeu est de permettre une appropriation populaire, surtout par la jeunesse. Le projet vise à tisser une mémoire commune et à renforcer la fierté régionale.

Un pilier supplémentaire de l’identité confédérale

En saluant cette initiative, le Président Tiani a félicité la délégation pour son engagement. Il a rappelé que cet hymne complète le socle symbolique de la jeune Confédération, aux côtés du drapeau et du logo déjà adoptés.

Selon lui, ces éléments ne doivent pas rester formels. Ils doivent vivre à travers le peuple, animer les consciences, et nourrir l’engagement collectif pour l’avenir. Ainsi, « La Confédérale » s’impose comme un hymne d’espoir, une ode à l’unité et une déclaration poétique d’une Afrique sahélienne qui se redresse avec courage et foi.

Burkina Faso–Émirats : vers un partenariat économique renforcé au sommet de l’État

Diplomatie économique en action à Ouagadougou. Ce mardi 20 mai 2025, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a accordé une audience au ministre d’État auprès du ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis, Sheikh Shakbout Bin Nahyan Al Nahyan, en visite d’amitié et de travail au Burkina Faso.

Au cœur des échanges : le renforcement de la coopération économique entre les deux nations. L’émissaire du Président émirati Mohammed ben Zayed a transmis au Chef de l’État burkinabè les salutations fraternelles de ce dernier, tout en réaffirmant la volonté des Émirats de consolider un partenariat déjà ancien et exemplaire avec le pays des Hommes intègres.

« Nous sommes très heureux d’être au Burkina Faso, un pays aussi beau, un peuple aussi généreux et accueillant. Nous remercions le Président du Faso pour l’accueil chaleureux », a déclaré Sheikh Shakbout Bin Nahyan, soulignant l’importance de ce lien historique entre les deux peuples.

Cette rencontre témoigne de la dynamique nouvelle engagée par Ouagadougou et Abu Dhabi pour intensifier les investissements et les projets économiques communs, dans un contexte où le Burkina Faso cherche à diversifier ses partenariats stratégiques et renforcer sa résilience économique.

Quand l’économie rencontre la culture : immersion ministérielle au cœur du patrimoine burkinabè

Le 20 mai 2025 restera gravé dans les mémoires du Musée national de Ouagadougou.
À l’occasion du Mois du patrimoine burkinabè, le ministre de l’Économie et des Finances, Aboubakar NACANABO, accompagné de sa délégation, a troqué les chiffres contre l’histoire pour une immersion culturelle inédite.

Guidés à travers les espaces emblématiques du musée, les visiteurs ont redécouvert la cuisine traditionnelle, les « Habitats du Faso », ou encore la salle des masques et celle des photographies. Chaque espace raconte une histoire, chaque objet murmure l’identité d’un peuple, chaque détail reflète l’âme plurielle du Burkina.

Ému et impressionné, le ministre a salué le travail du Directeur général du Musée et de toute son équipe. Il a souligné l’importance de préserver ce patrimoine vivant, qui constitue non seulement une mémoire collective, mais aussi un pilier du développement économique.

Dans le livre d’or, le ministre NACANABO et sa collègue Fatoumata BAKO/TRAORE, ministre déléguée au Budget, ont laissé des mots forts. Des mots pour dire que le patrimoine n’est pas seulement à contempler, mais à valoriser, à vivre, à transmettre.

Le message est clair : le patrimoine culturel burkinabè est un atout stratégique, et sa promotion doit devenir une priorité quotidienne. Culture et économie peuvent marcher main dans la main, pour construire un Burkina fier, uni et prospère.

Burkina Faso et Suisse : Vers un partenariat renforcé pour l’emploi et la stabilité

Le lundi 19 mai 2025 à Ouagadougou, SEM Karamoko Jean Marie Traoré, ministre burkinabè des Affaires étrangères, a reçu SEM Dominique Favre, ambassadeur de la Confédération Suisse. L’objectif ? Présenter un nouveau programme de coopération et recueillir l’avis du gouvernement burkinabè avant sa mise en œuvre.
Ce programme propose un soutien au développement socioéconomique du pays, en se concentrant sur des besoins urgents.

Des priorités claires : emploi, services sociaux, stabilité

Le diplomate suisse a souligné trois priorités : la création d’opportunités d’emplois pour les jeunes, l’accès aux services sociaux de base, notamment en zones conflictuelles, et la protection des populations vulnérables. Pour lui, la relation entre la Suisse et le Burkina Faso repose sur un respect mutuel et une volonté partagée de construire ensemble un avenir plus stable.
Il a également proposé la création d’un mécanisme de consultations bilatérales régulières pour renforcer ce partenariat.

Un accueil favorable du Burkina Faso

Le ministre burkinabè a salué cette approche fondée sur la concertation. Il a estimé que les axes proposés correspondent aux priorités actuelles du gouvernement. Un retour sera rapidement transmis à la partie suisse.
Présente depuis plus de 50 ans, la Suisse soutient le Burkina Faso dans des secteurs clés : éducation, gouvernance, développement économique local et gestion macroéconomique.

Dialogue diplomatique pour renforcer la coopération et clarifier la situation Nationale

Les autorités burkinabè ont tenu, le 19 mai 2025 à Ouagadougou, une rencontre stratégique avec les chefs de missions diplomatiques, postes consulaires et organisations internationales accrédités au Burkina Faso. Cette rencontre, la quatrième du genre, avait pour objectif de renforcer les relations diplomatiques et de corriger certaines perceptions erronées sur la situation nationale.

Le Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, accompagné de ses collègues de la Défense, de l’Économie et de l’Action humanitaire, a présenté un état des lieux sur les questions de sécurité, de défense, de diplomatie et d’économie. Cette session, dirigée par le ministre d’État en charge de la Défense et des Anciens Combattants, visait à fournir des informations fiables et à répondre aux préoccupations des partenaires internationaux.

Corriger les Perceptions Erronées
Le ministre d’État, Karamoko Jean Marie Traoré, a souligné l’importance de cette initiative pour contrer la « pollution médiatique » qui entoure certains sujets touchant le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Il a insisté sur la nécessité de fournir des informations de première main pour orienter les décisions des partenaires et renforcer la coopération.

Appel à une Collaboration Renforcée
Le Général de Brigade Célestin Simporé a mis en garde contre les campagnes de désinformation qui menacent les efforts de lutte contre le terrorisme. Il a dénoncé ces pratiques, les qualifiant de « manœuvres géopolitiques » visant à déstabiliser les États.

De son côté, l’ambassadeur du Maroc et doyen du corps diplomatique, Son Excellence Youssef Slaoui, a salué cette initiative, appelant ses collègues à tirer pleinement profit de cette opportunité pour renforcer la confiance mutuelle et échanger des informations fiables.

Cette rencontre réaffirme la volonté du Burkina Faso de renforcer ses partenariats, tout en défendant sa souveraineté et la sécurité de ses citoyens.

La Confédérale » : Un hymne pour forger l’unité du Sahel

Le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a reçu ce lundi 19 mai 2025, les ministres de la culture des pays membres de la Confédération des États du Sahel (AES). Cette délégation, dirigée par Mamou Daffé, ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme du Mali, a présenté le nouvel hymne de l’AES, « La Confédérale ».

D’après Mamou Daffé, « La Confédérale » est une œuvre musicale poétique. Elle célèbre les valeurs communes des États du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Cet hymne vise à unir les peuples du Sahel et à renforcer leur solidarité. Il vient compléter les symboles de l’AES, comme le drapeau et le logo.

Le processus de création a suivi plusieurs étapes : propositions initiales, synthèse par des experts et validation par les ministres de la culture. Le Président GOÏTA, chef en exercice de l’AES, a validé cette version avant d’envoyer cette mission auprès du Président Traoré pour une dernière consultation.

Les prochaines étapes incluent un lancement officiel synchronisé dans les trois pays, l’apprentissage dans les écoles et l’appropriation par les fanfares nationales.

« La Confédérale » se présente comme un puissant vecteur d’unité pour les peuples du Sahel, porteur d’un message de solidarité et de résilience face aux défis communs.

Le BBDA lance un appel à Projets de plus de 300 millions de FCFA

Le Bureau burkinabè de droit d’auteur (BBDA) a lancé, ce lundi 19 mai 2025, un appel à projets financés par le Fonds de promotion culturelle (FPC) lors d’une conférence de presse à Ouagadougou. Contrairement aux éditions précédentes, cette année, un seul appel a été lancé pour une enveloppe totale de 300 280 000 F CFA. Cet effort vise à soutenir les créateurs locaux et à renforcer la diversité culturelle du pays.

Un Financement Record pour 2025

En 2025, le BBDA prévoit de financer 456 projets répartis dans plusieurs disciplines artistiques, ce qui représente un soutien sans précédent pour les artistes burkinabè. Plus précisément, ce fonds couvrira :

  • Musique : 294 projets

  • Littérature : 37 projets

  • Danse : 25 projets

  • Cinéma et audiovisuel : 36 projets

  • Arts graphiques et plastiques (AGP) : 32 projets

  • Théâtre : 32 projets

En plus, le Directeur général, Dr Hamed Patric Lega, a précisé que chaque projet recevra 85% de son coût total, à condition que le promoteur apporte les 15% restants pour compléter le financement. Ce modèle vise à encourager l’engagement financier des créateurs, tout en garantissant un soutien significatif.

Encourager l’Authenticité et Prévenir les Abus

Toutefois, pour éviter les abus, le BBDA a mis en place des garde-fous contre l’utilisation de contenus générés par l’intelligence artificielle (IA). Cette mesure vise à préserver l’authenticité des œuvres et à garantir que les financements soutiennent véritablement la création humaine.

Dépôt des Projets et Délai à Respecter

Les artistes, créateurs et promoteurs culturels peuvent déposer leurs dossiers entre le jeudi 22 mai et le jeudi 26 juin 2025, au siège du BBDA ou dans ses représentations régionales. Il est essentiel de respecter ces dates pour maximiser les chances de bénéficier de ce soutien.

Le chemin vers un revenu stable : comment Ousmane est devenu un partenaire à succès de 1xpartners

Le marketing d’affiliation dans le secteur des paris : de réelles opportunités de croissance.

 

Le marketing d’affiliation continue de gagner en popularité comme l’un des moyens les plus accessibles et rentables de générer des revenus en ligne. Cela est particulièrement vrai dans des secteurs très concurrentiels et en forte croissance, tels que celuis des paris en ligne.

Aujourd’hui, nous vous racontons l’histoire d’Ousmane — un partenaire actif de 1xpartners originaire du Sénégal — qui partage son expérience, ses stratégies et ses résultats.

Le début de la collaboration : quand la marque parle d’elle-même

Ousmane a rejoint le programme d’affiliation 1xpartners en décembre 2021. Il explique que plusieurs éléments ont influencé sa décision :

« J’ai choisi ce programme pour la forte réputation de la marque, la qualité des produits et l’efficacité de l’équipe. Tout est transparent et rapide — c’est ce qui m’a immédiatement convaincu ».

Depuis, ce partenariat est devenu une partie intégrante de son activité en ligne.

Ses méthodes de travail : l’engagement par le contenu et la personnalisation

Pour attirer les joueurs, Ousmane utilise des outils éprouvés :

  • la création de contenuы intéressants et utiles ;
  • une présence active active sur les réseaux sociaux ;
  • l’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO)  ;
  • des recommandations personnalisées, adaptées aux besoins de son public cible..

Selon lui, la clé du succès ne réside pas dans la quantité, mais dans une communication précise et honnête avec les clients potentiels.

Les résultats financiers et sa philosophie de travail

L’un des aspects les plus inspirants de son parcours est la stabilité de ses revenus. En moyenne, Ousmane déclare gagner entre 4 000 et 7 000 dollars par mois, avec un pic mensuel atteignant 8 000 dollars.

Il souligne :

« Mon succès repose sur la constance, la créativité et la compréhension de mon audience. Ces trois éléments sont la base de tout ».

Les défis surmontés et la progression

Comme dans toute entreprise, le marketing d’affiliation comporte des défis. Mais Ousmane affirme qu’ils peuvent être transformés en opportunités de croissance.

« Je suis toujours à l’écoute de mon audience, j’adapte mes stratégies quand c’est nécessaire, et je bénéficie du soutien de l’équipe 1xpartners. Cela m’aide à ne pas abandonner ».

Conseils pour ceux qui débutent

Aux nouveaux partenaires, Ousmane recommande :

  • de garder la motivation ;
  • d’analyser leur audience cible ;
  • de ne pas hésiter à demander de l’aide à l’équipe du programme — un soutien précieux.

Des idées pour aller plus loin : hors ligne et ambassadeurs locaux

Ousmane propose également une idée originale d’amélioration : ouvrir des kiosques physiques dans les villes où l’accès à Internet est limité. Selon lui, cela permettrait de toucher une nouvelle population.

Il envisage aussi de lancer des campagnes publicitaires avec des célébrités sénégalaises, notamment dans des séries télévisées locales — un moyen efficace, selon lui, de renforcer la confiance et d’élargir sa portée.

Conclusion : un partenariat qui donne des résultats concrets

L’histoire d’Ousmane montre que le marketing d’affiliation avec 1xpartners n’est pas réservé aux experts. C’est une opportunité accessible à toute personne motivée, prête à apprendre et à progresser. Son parcours est un exemple de ce que la détermination et le bon choix de programme peuvent accomplir.

Rejoignez 1xpartners et écrivez votre propre histoire de succès.

Renaissance Culturelle et renforcement militaire au cœur du Conseil des Ministres

Le Conseil des ministres du 14 mai 2025, présidé par le Capitaine Ibrahim Traoré, a posé deux jalons majeurs pour l’avenir du Burkina Faso : la relance de l’Institut des Peuples Noirs – Farafina (IPN-Farafina) et la création d’un collège d’enseignement militaire supérieur. Ces décisions traduisent la volonté du gouvernement burkinabè de renforcer la souveraineté culturelle et militaire du pays.

Renaissance de l’Institut des Peuples Noirs – Farafina

L’une des annonces phares de cette session est la résurrection de l’Institut des Peuples Noirs – Farafina, une structure panafricaine à vocation scientifique, idéologique, diplomatique et culturelle. Rattaché à la Présidence du Faso, cet institut symbolise la lutte pour l’émancipation africaine et la réaffirmation des idéaux de souveraineté.

Doté d’une autonomie de gestion et d’une personnalité juridique, l’IPN-Farafina vise à former des élites souverainistes et à reconstruire les consciences africaines, en écho à l’héritage du Capitaine Thomas Sankara, dont l’esprit de résistance inspire encore aujourd’hui les nouvelles générations.

Création d’un Collège d’Enseignement Militaire Supérieur

En parallèle, le Conseil a adopté un décret modifiant l’organigramme du ministère de la Défense pour créer un collège d’enseignement militaire supérieur. Selon le Général de Brigade Célestin Simporé, ce centre d’excellence permettra de former une élite militaire capable de répondre aux défis sécuritaires nationaux et régionaux.

Ce collège vise à renforcer la souveraineté militaire du Burkina Faso en offrant des formations en stratégie, commandement, gestion de crise et géopolitique, tout en favorisant la coopération avec d’autres armées africaines.

Avec ces deux initiatives, le Burkina Faso se positionne comme un acteur majeur du renouveau panafricain et de la sécurité régionale, fidèle à la vision de son chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Sans Frontières Acte 2 : Le Zouglou réunit le Burkina et la Côte d’Ivoire à Ouagadougou

Le comité d’organisation du concert Sans Frontières Acte 2 a tenu un point de presse ce mardi 13 mai 2025 à Ouagadougou pour dévoiler les détails de cette deuxième édition, prévue du 16 au 17 mai sur le terrain de Bogodogo. Cette initiative vise à renforcer l’intégration culturelle à travers la musique, avec en tête d’affiche le célèbre groupe ivoirien VDA.

Un Concert pour Célébrer l’Unité Africaine

Désiré Kodjo, co-promoteur du concert, a expliqué que cet événement ne se limite pas au Burkina Faso, mais vise à rapprocher plusieurs cultures africaines. « Nous avons invité le groupe VDA pour montrer que nos cultures ne font qu’une, » a-t-il déclaré, rappelant l’importance du Zouglou comme symbole de fraternité et de solidarité en Afrique de l’Ouest.

Un Programme Festif et Inclusif

En plus des performances musicales, le public pourra participer à des compétitions de danse et de tenues Zouglou, rendant hommage à cette culture unique. L’entrée est entièrement gratuite, offrant à tous les mélomanes l’opportunité de célébrer la musique sans frontières.

Clarification sur la Controverse

Les organisateurs ont également tenu à démentir toute polémique concernant une prétendue prise de position politique du groupe VDA. Désiré Kodjo a précisé que toute référence à un « IB Traoré » dans leurs chansons concerne un footballeur ivoirien évoluant en France, et non le Président du Faso, rappelant que la musique doit unir et non diviser.

Rendez-vous donc les 16 et 17 mai pour célébrer la culture, la musique et l’unité africaine à Ouagadougou !