RCA-récensement électoral : plusieurs cas de fraudes sont signalés

L’enrôlement du corps électoral constitue sans doute une étape importante dans la crédibilité des opérations électorales. Les électeurs sont ceux qui sont inscrits sur la liste électorale. S’il y a dans cette liste des électeurs « fictifs », il devient possible de frauder. Et c’est ce qui est en train de passer dans ce processus électoral déclenché depuis deux semaines en République centrafricaine.

Officiellement, pour s’enregistrer sur la liste électorale, il faut la carte nationale d’identité, le passeport, le livret militaire ou le livret de pension. Or, sur le terrain, force est de constater que c’est le contraire de ce qui a été annoncé par l’autorité nationale des élections (ÂNE) et ses partenaires qui se produit sur le terrain. De nombreuses personnes se sont présentées avec la carte du mouvement Cœurs uni (MCU), d’autres avec de faux actes des naissances, ou encore avec de simples documents de reconnaissance établis par un chef de quartier corrompu. Certains ont réussi à s’inscrire librement sur la liste électorale, et ce,  sans aucune contestation. Par contre, dans certains centres d’enrôlement, ceux-ci n’ont pas été acceptés. C’est le cas du village Zawa, situé à une vingtaine de kilomètres de Yaloké où certains groupes de personnes, environ 200, dont des mineures, venues de Bangui, se sont présentées avec des cartes du mouvement MCU pour se faire enrôler. Malheureusement pour eux, l’un des agents, en l’occurrence celui de la tablette, refuse de les inscrire, et ce, malgré l’avis favorable de son chef de centre d’enrôlement.

Cependant, dans la localité de Yaloké, c’est le désordre total. Même les mineurs, avec un simple document établi par un chef de quartier, ont réussi à s’inscrire sur la liste électorale. Idem pour les villes de Bossemptélé et Bossembélé, situées dans l’Ombella-Mpoko. Même Bangui la capitale n’y échappe à cette pratique frauduleuse.

Sans doute, ce processus électoral est d’ores et déjà entaché d’importante irrégularité. C’est une fraude électorale qui se prépare actuellement au profit du parti au pouvoir, le MCU (mouvement cœurs unis), selon plusieurs témoins interrogés par CNC. Comme disait l’ex-chef d’État gabonais Oumar BONGO ONDIMBA : « Comment peut-on organiser des élections, y participer et les perdre en Afrique ? ». Staline (le bolchévique) disait : « Ce qui compte ce n’est pas le vote, c’est comment on compte les votes ».

RCA : le gouvernement promet de verser une indemnité au personnel de santé

Le dernier conseil des ministres extraordinaire a marqué son accord sur le principe d’une indemnisation du personnel de santé.

Le gouvernement centrafricain propose de verser au personnel de santé une indemnité pour les motiver à affronter la pandémie de nouveau coronavirus, a indiqué lundi le ministre de la Fonction publique, Jean-Christophe Nguinza.

D’après le ministre, le dernier conseil des ministres extraordinaire a marqué son accord sur le principe d’une indemnisation du personnel de santé en première ligne des soins administrés aux patients atteints du COVID-19, et le dossier a été confié aux services des finances et du budget.

Nguinza, qui est également président du Cadre permanent de concertation et de négociation (CPCN) entre le gouvernement et les syndicats, a par ailleurs déploré la fermeture de certains centres hospitaliers pour cause de grève, alors que les discussions avec les responsables syndicaux ne sont pas interrompues.

Depuis la confirmation du premier cas de nouveau coronavirus en Centrafrique à la mi-mars, le personnel de santé a fréquemment menacé d’entrer en grève, exigeant une amélioration de ses conditions de travail et une protection adéquate contre le COVID-19

A ce jour, le ministère centrafricain de la Santé et de la Population a confirmé 4.321 cas de nouveau coronavirus parmi lesquels il y a eu 1.208 guérisons et 53 décès.

RCA : un casque bleu rwandais tué dans une attaque

Un Casque Bleu de la mission des Nations Unies a été tué lundi et deux autres blessés dans une attaque à Gedze menée par le groupe armé 3R (Retour, Réclamation et Réhabilitation), un des principaux groupes rebelles centrafricains.

La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca), a annoncé lundi le décès d’un Casque bleu Rwandais dans une attaque perpétrée par un des groupes armés actifs sur le territoire. « Cette attaque criminelle constitue une nouvelle violation » par le groupe armé 3R (Retour, Réclamation et Réhabilitation) de l’accord de paix qui lie le gouvernement centrafricain à 14 groupes armés depuis le 6 février 2019, a affirmé la Minusca dans le communiqué.

La mission rappelle que les « attaques contre les forces de maintien de la paix des Nations unies peuvent constituer un crime de guerre en vertu du droit international ». Fin juin, deux militaires de l’armée centrafricaine avaient déjà été tués par les 3R dans la commune de Besson, dont Gedze est l’un des villages.

Par ailleurs, le leader des 3R, Sidiki Abass, avait annoncé début juin qu’il suspendait sa participation à l’accord. Conséquence, la Minusca avait lancé peu après une opération militaire dans l’Ouest pour contrer l’expansion du groupe armé. Les 3R sont l’un des principaux groupes armés du pays, principalement composé de Peuls et actif dans l’ouest du pays.

RCA : le sous-préfet de Bocaranga prépare une marche de soutien au MCU

D’après une source bien informée, le MCU aurait débloqué une somme de 1 000 000 de francs CFA pour l’organisation de cette marche de soutien.

En RCA, les préfets, sous-préfets, maires et agents spéciaux constituent les bureaux fédéraux et sous-fédéraux du parti au pouvoir, le  mouvement cœurs unis (MCU). En dehors de ce cercle, on ne trouve quasiment personne, sinon leur famille. C’est le cas de la sous-préfecture de Bocaranga où le sous-préfet s’active pour organiser une marche en faveur du MCU contre une forte rémunération.

Selon une source proche des organisateurs, la marche aura lieu dans les prochains jours, et chaque participant à cette marche touchera une somme de 1500 francs CFA. Elle débutera vers 8 heures pour finir trois heures plus tard. Le sous-préfet, le maire, les chefs d’établissements scolaires seront également présents. Mais ce qui est étonnant dans cette histoire, c’est que tous les fonctionnaires de l’État affecté à Bocaranga, ainsi que les chefs de groupe et des quartiers sont aussi convoqués à participer à cette marche de soutien au parti MCU.

Sur place, les populations se demandent si le MCU a un problème particulier pour qu’on organise une marche pour le soutenir.

Évidemment, suite à la perte de patience du chef de l’État Faustin Archange Touadera face à l’impopularité de son parti le MCU à moins de 6 mois des élections, son secrétaire exécutif, l’ex-Premier ministre Simplice Mathieu Sarandji tente de lui prouver que la situation est sous contrôle sur le terrain, et que le MCU est toujours actif.

Si cette stratégie de l’ex-Premier ministre s’apparente à un jeu de dupe, sur le terrain, c’est une véritable manipulation qui se prépare.

RCA : perquisition au domicile du député Weïdane

Teddy Weïdane, député de la circonscription de Bouca 2, est accusé d’escroquerie et vol aggravé.

Même si l’enquête judiciaire sur la fraude à la douane et trafic des faux documents officiels impliquant les députés Mathurin Dimbélé et Teddy Weïdane avait été définitivement suspendue par le parquet et transféré au service juridique de l’Assemblée national, l’enquête sur le volet opposant le député Teddy Weïdane à ses ex-complices camerounais se poursuit, et une perquisition avait eu lieu au domicile de l’honorable Weïdane.

En effet, suite à la plainte déposée par la partie plaignante camerounaise contre le député de la circonscription de Bouca 2 Teddy Weïdane pour escroquerie et vol aggravé, le parquet de Bangui avait ordonné une perquisition au domicile du suspect.

Assurément, depuis quelques années, une femme camerounaise, avec trois de ses compatriotes, s’adonnait au commerce des marchandises entre l’Europe et la République centrafricaine. Le député centrafricain de Bouca 2, moyennant une compensation financière, se présentait aux autorités centrafricaines comme le propriétaire de la cargaison afin que celle-ci soit exonérée des taxes fiscalo-douanières en RCA. Un jeu de mafia très juteux pour le député et ex-Anti-Balaka Weïdane. Mais cela ne va pas durer longtemps. Un jour, l’homme aurait tenté de jouer ses partenaires camerounais en bloquant une bonne partie de la marchandise importée, et ces derniers, à travers leur avocat,  ont immédiatement saisi la justice pour escroquerie aggravée. Depuis lors, l’enquête se poursuit, et deux perquisitions avaient eu lieu au domicile du suspect, le député de Bouca.

Les policiers de la CNS n’ont rien trouvé au domicile du député Teddy Weïdane lors de la perquisition. Tous les conteneurs sont vides, même le véhicule qui faisait partie de la marchandise est introuvable.

RCA : 40 nouveaux cas de coronavirus

C’est dans un communiqué de presse en date du 06 juillet 2020 que le ministère de la Santé et de la Population a annoncé au public la confirmation de quarante 40) nouveaux cas.

Selon le ministère de la Santé et de la Population, les 40  nouveaux cas sont de sexe masculin et féminin, âgés de 05 à 82 ans. Ils sont actuellement pris en charge par les autorités sanitaires du pays. Ce qui porte en tout  quatre mille-neuf  (4009) cas confirmés officiellement par le ministère de la Santé de la population ce lundi 06 juillet 2020.

C’est dans un communiqué de presse en date du 06 juillet 2020 que le ministère de la Santé et de la Population a annoncé au public la confirmation de quarante (40) nouveaux cas de Covid-19 en République centrafricaine. Il s’agit des sujets du sexe masculin (25) et féminin (15). Leur tranche d’âge varie de 05 à 82  ans. La confirmation a été faite à l’issue de tests de diagnostic  effectués le 04 juillet 2020 à Bangui.

Dans son communiqué, le ministère de la Santé a également indiqué que parmi les quarante (40) nouveaux sujets infectés, les cas importés sont au nombre de 01, et les cas à transmission locale au nombre de 39.

A ce jour, le nombre total de cas confirmés est de quatre mille neuf (4009) dont 948 guéris et 51 décès  (08 en milieu hospitalier et 43 en milieu extra hospitalier).

Pour l’heure, les dispositions sont prises pour le traitement des patients ainsi que la recherche et le suivi des contacts.

RCA-vote de la loi organique de l’ÂNE : des centaines des jeunes manifestent dans la rue

Après les 86 millions de francs CFA promis aux députés pour le vote en défaveur du projet de loi organique de l’ANE proposé par la commission élargie de l’Assemblée nationale, c’est le tour de la population de descendre dans la rue pour manifester leur mécontentement contre le jeu maffieux du gouvernement et de certains députés corrompus.

Mardi, 07 juillet, vers 9 heures du matin, des centaines des jeunes venus des différents quartiers de Bangui se sont réunis devant l’Assemblée nationale pour manifester leur mécontentement contre la corruption des députés par le gouvernement en vue d’un vote en défaveur de l’article 74 proposé par la commission élargie de l’Assemblée nationale.

Les manifestants, pour la plupart des jeunes, ont érigé des barricades sur l’avenue des martyrs  à hauteur de l’Assemblée nationale. Sur les pancartes en carton qu’ils ont brandies tout en poussant des cris de colère, les manifestants ont inscrit « non aux députés maffieux », « Non à l’article 74 pour le maintien du bureau actuel de l’ÂNE ».

Rappelons que ce mardi 7 juillet, les députés vont examiner le projet de loi organique portant composition, organisation et fonctionnement de l’autorité nationale des Élections (ÂNE), un organe pérenne, indépendant,  autonome et compétent en matière des élections générales en République centrafricaine. Mais d’ores et déjà, la majorité des députés et le gouvernement ne s’entendent plus, et la divergence  se situe au niveau de l’article 74, où le texte initial proposé par le gouvernement a été complètement remanié par une commission élargie de l’Assemblée nationale.

RCA : vote de la loi organique de l’ÂNE

L’examen du projet de loi organique portant composition, organisation et fonctionnement de l’Autorité nationale des Élections (ÂNE) promet d’être riche et intéressant en débat ce mardi 7 juillet 2020 à l’Assemblée nationale.

Ce mardi 7 juillet, le débat s’annonce houleux dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Les députés vont examiner le projet de loi organique portant composition, organisation et fonctionnement de l’Autorité nationale des Élections (ÂNE), un organe pérenne, indépendant,  autonome et compétent en matière des élections générales en République centrafricaine. Mais d’ores et déjà, la majorité des députés et le gouvernement ne s’entendent plus, et la divergence  se situe au niveau de l’article 74, où le texte initial proposé par le gouvernement a été complètement remanié par une commission élargie de l’Assemblée nationale.

Dans ce projet de loi proposé par le gouvernement, l’article 74 stipule initialement: « À titre exceptionnel, les commissaires Électoraux en fonction au moment de l’entrée en vigueur de la présente Loi organique restent en place jusqu’à la proclamation des résultats définitifs des élections présidentielles et législatives ainsi que la production du rapport général, conformément à l’article 66 ci-haut. À l’expiration de ce délai, il est procédé au renouvellement total ». Or, au niveau de la commission élargie de l’Assemblée nationale, un consensus a été trouvé autour d’un autre texte de l’article 74 : «  Les nouveaux commissaires Électoraux désignés dès l’entrée en vigueur de la présente loi prêtent immédiatement serment et sont directement associés et participent de plein droit à la conduite des opérations électorales jusqu’à l’expiration du mandat des membres actuels de L’ÂNE ».

D’ailleurs, en septembre 2019, c’est sur cette divergence autour de  l’article 74 que le gouvernement avait retiré discrètement ce projet de loi du bureau de l’Assemblée nationale. Cependant, le mercredi 11 décembre 2019, le Premier ministre Firmin NGRÉBADA, interpellé par les députés,  avait justifié sa position en indiquant que « les modifications apportées par les élus de la nation dans ce projet de loi menacent l’indépendance de l’Autorité nationale des Élections ».

De retour à l’Assemblée nationale, cette proposition de loi organique de l’ÂNE faisait à nouveau l’objet d’un examen par la commission élargie avant de passer ce mardi au débat public en vue de son vote définitif par les députés. Mais selon les informations du CNC, ce lundi 6 juillet, au moins 86 députés ont été invités au domicile de l’honorable du septième arrondissement, le député Ndotizo. Sur place, le gouvernement promet à chacun des députés 1 million de francs CFA pour le vote en défaveur de ce projet de loi largement modifiée par la commission élargie de l’Assemblée nationale.

RCA : François Zahoui reste entraîneur de l’équipe nationale de football

L’ancien sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire, François Zahoui est aujourd’hui en Centrafrique. Annoncé sur le départ, le technicien a fait une mise au point sur sa situation.

Vice-champion d’Afrique en 2012 avec les Eléphants de Côte d’Ivoire, François Zahoui est depuis quelques mois sélectionneur des Fauves de Centrafrique. Récemment, l’ancien international ivoirien a vu son nom associé au club guinéen d’Horoya. Mais, François Zahoui l’assure, il ne compte pas quitter son poste actuel.

« Depuis qu’il y a eu l’incendie de ma résidence à Bangui, je suis sollicité. Mais pour le moment, j’ai la confiance de mes dirigeants ici. Je n’ai donc pas démissionné et ce n’est pas à l’ordre du jour. Le jour que je le ferai, vous serez informés par mes soins », a assuré l’entraineur à Mondial Sports. Arrivé en Centrafrique en 2019, François Zahoui n’est pas encore sous contrat avec la sélection centrafricaine.

Son accord avec les Fauves stipulait qu’il devrait être payé avec les fonds de la fédération pour les deux premiers matchs de qualifications pour la CAN 2021 qui a été récemment reportée. « C’est vrai que je n’ai pas encore signé mon contrat avec la fédération centrafricaine pour des raisons dues à la crise sanitaire. Mais je suis bien traité ici », a-t-il ajouté.

Depuis son départ de la tête de la sélection ivoirienne après la CAN 2012, François Zahoui peine à retrouver le haut niveau. Passé par le Kaloum Star de Guinée, le technicien de 57 ans a également coaché le Mena du Niger. Engagé pour faire passer un cap au Niger, François Zahoui y a passé 4 ans et a obtenu 5 victoires, 4 nuls et 7 défaites.

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Sous sa houlette, le Niger n’a pas pu atteindre son objectif qui était de disputer une Coupe d’Afrique des Nations. Premier joueur africain à évoluer dans le Calcio, le championnat italien, l’ivoirien devra donc travailler à faire passer un cap aux Fauves et par la même occasion, un cap à sa carrière d’entraineur.

RCA : 70 éléments de la sécurité intérieure à l’école des français

L’ambassade de France en République centrafricaine apporte son expertise dans le domaine de la sécurité aux gendarmes et policiers centrafricains, à travers une formation.

Cette formation a pour objectifs de renforcer les capacités de mobilité des unités de terrain, brigades de gendarmerie et commissariats. Elle vise aussi à élever le niveau opérationnel des unités spécialisées en charge de missions de police de la route et d’escortes officielles. Cette initiative est entièrement financée par la France.

Ce n’est pas la première fois que l’ambassade de France en Centrafrique organise une séance de formation.

Lors d’un cycle de formation motocycliste de 45 jours découpé en 3 stages, des experts français assistés des cadres centrafricains de la sécurité ont formé 70 éléments des forces de sécurité intérieure. A l’issue de la première phase de formation, les 20 meilleurs stagiaires dont 10 policiers et 10 gendarmes ont été retenus pour un stage de perfectionnement au pilotage de motos de grosse  cylindrée. Les autres ont été affectés dans les unités de patrouille terrain.

125 motos Yamaha ont été achetées par le Ministère centrafricain de l’intérieur sur appui budgétaire de l’Union Européenne. 10 motos de grosse cylindrée ont été offertes par la Chine.

Entièrement financées et assurées par la France, ces formations ont pour objectifs de renforcer les capacités de mobilité des unités de terrain, brigades de gendarmerie et commissariats, et d’élever le niveau opérationnel des unités spécialisées en charge de missions de police de la route et d’escortes officielles. Aussi,  les stagiaires ont suivi plusieurs séquences de maniabilité qui vont leur permettre d’exécuter efficacement des missions délicates telles que des interceptions de véhicules en mouvement ou la protection de hautes autorités pendant leurs déplacements.

Lundi 29 juin 2020, en présence de représentants français, de l’Union européenne, de la Chine, le directeur de cabinet du ministre de l’intérieur a présidé une cérémonie de clôture de stage avec remise de diplômes aux stagiaires suivie d’une démonstration avec motos. Cette formation, qui n’a pour seul but que d’appuyer la Centrafrique sur le chemin de la restauration de l’autorité de l’Etat dans le pays, est l’illustration parfaite d’une coopération intelligente et efficace associant plusieurs partenaires au sein d’un même projet.