1xBalance : Point sur l’avancement du projet

Dans un monde où les paris font désormais partie du divertissement quotidien de millions de personnes, la question devient de plus en plus pertinente : comment jouer et ne pas se perdre ?

 

 

La réponse à cette question est apportée par 1xBalance, une initiative de la marque 1xBet, qui se développe activement dans plus de 20 pays africains. Il ne s’agit pas simplement d’une campagne promotionnelle. Il s’agit d’une culture du jeu responsable qui place le joueur, ses choix et sa sécurité en premier lieu.

1xBalance a été créé pour changer l’approche du jeu. Le projet éducatif nous le rappelle : le jeu est une question d’équilibre, de responsabilité et de plaisir.

Il s’agit d’une initiative dans laquelle le rôle principal n’est pas dans les règles, mais dans les personnes. Grâce à la communication en direct, aux histoires, aux mèmes, aux guides et aux diffusions en direct, la marque 1xBet aide les joueurs non seulement à surveiller leurs paris, mais également leur propre état émotionnel, leur budget et leurs limites.

Un projet qui met le joueur au centre de l’attention

L’objectif de 1xBalance de 1xBet est une conversation ouverte avec la communauté, construite sur trois valeurs simples :

  1. Un joueur a le droit de connaître ses limites.
  2. Les paris sont une question d’expérience, pas de profit
  3. Une marque doit être responsable envers son utilisateur1xBalance est uneinitiative honnête qui n’impose ni n’enseigne. Il invite au dialogue, aide à réfléchir et fournit des outils simples et compréhensibles.

Ce qui est important ici n’est pas le jeu en lui-même, mais comment, quand et pourquoi vous jouez.

Les nombres qui représentent les personnes vivantes

En mars-avril 2025, 1xBet – 1xBalance a démontré un engagement à grande échelle :

  • plus de 10 millions de personnes sur les réseaux sociaux
  • +300–500 nouveaux abonnés dans chaque région active
  • Plus de 4 000 participants aux concours et défis
  • 201 codes promo ont été tirés au sort parmi les abonnés actifs
  • des milliers de réactions, commentaires, sauvegardes, stories et messages directs

Ces résultats ne sont pas que des chiffres. C’est la confirmation que le public écoute, répond, pose des questions et participe à des initiatives socio-éducatives aussi importantes.

La marque 1xBet appelle tous ceux qui s’intéressent au sujet à :

  • participer à des activités futures
  • partager vos pensées
  • apprendre les principes du jeu responsable avec 1xBet

Des prix qui motivent — non pas à jouer plus, mais à mieux réfléchir

L’une des caractéristiques de cette initiative était une nouvelle attitude envers les activités promotionnelles.

Les participants de différents pays ont reçu des codes promotionnels, des gadgets (smartphones, écouteurs, powerbanks), des articles de marque et des accessoires, non pas pour leur activité de jeu, mais en guise de remerciement pour leur participation au dialogue.

Les concours ont toujours été simples :

« laissez un commentaire », « partagez dans une story », « faites part de votre propre expérience », « soyez un participant actif ».

Aucune pression. Aucune règle compliquée. Juste une invitation honnête à réfléchir et à partager.

Quand les joueurs parlent, il faut les écouter

L’un des points forts du projet est le feedback. Sous chaque publication, story, émission, des dizaines de commentaires :

  • « Comment se contrôler après une perte ? »
  • « Que faire quand on veut se rattraper ? »
  • « Comment jouer pour soi-même et non pour le profit ? »

Et ce sont les joueurs qui ont formulé les règles les plus précises :

« Ne pas rattraper »

« Jouez selon votre budget »

« Un pari n’a pas pour but de gagner de l’argent. C’est un moment d’émotion, et il doit être sûr. »

La responsabilité sociale ne se résume pas à des mots, mais à des actes. La prochaine étape ?

1xBalance fait partie de la politique sociale plus large de la société 1xBet. Là où il y a 1xBalance, il y a du soutien, pas de la pression. Le respect, pas l’imposition. Un dialogue, pas un monologue.

Le projet continue de se développer. Dans les mois à venir, on verra :

  • élargir la gamme des collaborations locales
  • poursuivre des activités dans des agences de paris : interactives, brochures, posters, stands

1xBalance ne se résume pas à combien jouer. Il s’agit de savoir comment jouer.

C’est une initiative qui prouve que la responsabilité peut être simple, compréhensible et proche de tous.

La marque 1xBet construit autour d’elle une communauté de joueurs conscients – ceux qui choisissent le contrôle, le respect de soi et le jeu sain comme nouvelle norme.

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Votre jeu est votre choix. Votre responsabilité est votre force !

La renaissance de l’usine ANATRANS booste l’emploi et l’espoir à Bobo-Dioulasso

Le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a effectué une visite symbolique ce vendredi 23 mai 2025 à la Société Nouvelle ANATRANS SA, à Bobo-Dioulasso. Cette usine de transformation d’anacarde, autrefois en difficulté, vient de renaître grâce à une vision claire : reconquérir la souveraineté économique du Burkina Faso.

Créée en 2008, ANATRANS avait suspendu ses activités en juillet 2024, plongeant ses employés dans l’incertitude. Aujourd’hui, grâce au soutien de l’État, via le Fonds burkinabè pour le Développement économique et social (FBDES), l’usine redémarre avec un capital désormais 100 % burkinabè. Le FBDES y détient 20 % du capital.

« Grâce à vous et à votre vision, cette usine est aujourd’hui la nôtre », a déclaré Adeline Nibenwon Somda, Directrice générale d’ANATRANS, saluant l’action du Chef de l’État.

Une relance industrielle porteuse d’emplois

Cette relance est une bouffée d’oxygène pour l’économie locale. Plus de 1300 emplois ont été recréés, dont 90 % occupés par des femmes. De plus, plus de 5 000 producteurs d’anacarde retrouvent un débouché stable pour leurs produits bio et équitables.

Le Président Traoré a salué la résilience des employés et leur a adressé des mots d’encouragement. Il a rappelé que cette renaissance symbolise la lutte pour la souveraineté économique du pays.

Une vision industrielle souverainiste assumée

Pour le Chef de l’État, le retour à une gestion nationale est une étape stratégique. Il a souligné que la rupture avec l’ancien partenaire, bien que difficile, s’inscrivait dans une logique d’indépendance économique, amorcée depuis septembre 2022.

« Vous êtes désormais mieux placés pour expliquer à la jeunesse ce que signifie se battre pour la souveraineté », a-t-il affirmé aux ouvriers.

Revigorés par la visite du Président, les employés ont exprimé leur volonté de s’investir pleinement dans la construction d’un Burkina plus fort et plus juste.

Visite stratégique à Bamako : Le Premier ministre nigérien renforce l’axe Niger-Mali dans un Sahel en recomposition

Le Premier ministre nigérien, Ali Mahaman Lamine Zeine, est arrivé à Bamako ce vendredi 23 mai 2025 pour une visite officielle à haute portée stratégique. Son avion a atterri à l’Aéroport Modibo Keïta – Sénou sous un ciel ensoleillé, accueillant une nouvelle phase de coopération entre le Niger et le Mali.

À sa descente d’avion, il a été accueilli chaleureusement par son homologue malien, le Général de Division Abdoulaye Maïga, accompagné de membres du gouvernement. Cette rencontre intervient dans un contexte régional marqué par le tournant historique de l’Alliance des États du Sahel (AES), en pleine construction d’un nouvel ordre économique et politique.

La visite du chef du gouvernement nigérien coïncide avec les négociations techniques entre l’AES et la CEDEAO, amorçant le retrait formel du Niger, du Mali et du Burkina Faso de l’organisation ouest-africaine. Elle s’inscrit également dans une série de rencontres stratégiques tenues à Bamako, notamment sur la création de la future Banque d’investissement de l’AES et le renforcement de la coopération douanière.

Ali Mahaman Lamine Zeine, également ministre de l’Économie et des Finances, discutera avec les autorités maliennes des modalités de sortie de la CEDEAO, mais aussi de la coordination économique, monétaire et douanière au sein de la future Confédération.

Par ailleurs, sa visite intervient quelques jours après l’adoption d’un hymne commun par les trois pays membres de l’AES. Ce geste symbolique illustre leur volonté d’unir leurs forces dans une entité politique souveraine et enracinée culturellement.

En résumé, la présence du Premier ministre nigérien à Bamako s’annonce comme un jalon majeur dans le processus de structuration de l’AES. Elle pourrait accélérer la mise en place d’un cadre institutionnel commun, ouvrant la voie à une nouvelle ère de souveraineté régionale.

Coopération Burkina–Pakistan : l’Ambassadeur Kaboré renforce l’axe Ouagadougou–Islamabad

La diplomatie burkinabè poursuit son élan de diversification. Le 20 mai 2025 à Islamabad, SEM Mohamadi Kaboré a présenté ses Lettres de créance à SEM Asif Ali Zardari, Président de la République islamique du Pakistan, l’accréditant en qualité d’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Burkina Faso, avec résidence à Téhéran.

Cette cérémonie solennelle consacre une étape importante du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. Les échanges entre les deux personnalités ont mis en lumière l’excellence des liens existants et les ambitions communes pour un partenariat plus dynamique.

Transmettant les salutations fraternelles du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, l’ambassadeur Kaboré a réaffirmé la volonté du Burkina Faso d’approfondir sa coopération avec le Pakistan. Il a évoqué des pistes de collaboration dans les domaines diplomatique, commercial, culturel, scientifique, technique, sans oublier un axe sécuritaire crucial.

Face aux défis liés au terrorisme, le diplomate burkinabè a souligné l’intérêt d’une assistance pakistanaise en formation technique et professionnelle pour renforcer les capacités nationales.

Le Président Zardari, en retour, a salué l’initiative et exprimé son souhait de voir les relations commerciales se développer davantage, tout en réitérant la disponibilité du Pakistan à soutenir le Burkina Faso dans sa quête de paix et de progrès.

Par cette démarche, Ouagadougou consolide l’axe diplomatique avec Islamabad, dans le cadre de sa politique d’ouverture et de diversification des partenariats stratégiques. Une avancée qui pourrait ouvrir de nouvelles perspectives économiques, technologiques et sécuritaires pour le pays des Hommes intègres.

Une usine révolutionnaire pour transformer la pomme de cajou à Péni

Le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, poursuit son engagement en faveur de la transformation locale des ressources agricoles. Ce jeudi 22 mai 2025, il a lancé officiellement les travaux de construction d’une usine de transformation de la pomme de cajou dans la commune de Péni, à une trentaine de kilomètres de Bobo-Dioulasso.

D’un coût estimé à 6,65 milliards FCFA, cette unité industrielle sera opérationnelle d’ici décembre 2025. Elle incarne la volonté présidentielle de valoriser les produits locaux, de limiter les pertes post-récolte et de stimuler une industrie agricole moderne.

Jusqu’ici, seule la noix de cajou bénéficiait d’une valorisation. Pourtant, le Burkina Faso produit chaque année plus de deux millions de tonnes de pommes de cajou, selon Ouémihié Clément Attiou, Directeur général du Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutiques. Avec cette usine, la pomme entière sera exploitée pour produire du jus, du vin, des concentrés, du vinaigre et même de l’éthanol.

Le projet ne s’arrête pas à Péni. Le Chef de l’État a annoncé la réplication du modèle dans d’autres zones riches en production, notamment Orodara, Banfora et Gaoua. L’ambition : bâtir une véritable chaîne industrielle de transformation agricole dans l’ouest du pays.

Avec une capacité annuelle de 5 000 tonnes, l’usine de Péni devrait générer 112 emplois directs et 1 050 emplois indirects. Elle jouera un rôle clé dans la relance économique et le renforcement du tissu industriel national.

AES vs CEDEAO : vers une nouvelle ère de coopération après le divorce historique

Le 22 mai 2025 à Bamako, un événement diplomatique majeur s’est déroulé. Les ministres des Affaires étrangères du Mali, du Burkina Faso et du Niger – réunis sous la bannière de l’Alliance des États du Sahel (AES) – ont rencontré Omar Alieu Touray, président de la Commission de la CEDEAO. C’était la première consultation officielle depuis le retrait de l’AES de l’organisation régionale ouest-africaine.

Les discussions ont débouché sur un relevé de conclusions qui servira de base aux prochaines négociations. Les deux parties ont abordé des sujets sensibles : politique, sécurité, développement économique, institutionnel et juridique.

Un point central a dominé les échanges : la coopération sécuritaire, indispensable face à la montée du terrorisme dans la région. Le ton de la rencontre, qualifié de fraternel et responsable, a été salué de part et d’autre.

Maintien du dialogue et volonté d’éviter la rupture totale

Malgré les tensions apparues depuis janvier 2024, la CEDEAO et l’AES affichent une volonté de préserver les acquis de l’intégration régionale. Parmi eux : la libre circulation des personnes et des biens, que les deux blocs souhaitent maintenir jusqu’à la signature de nouveaux accords.

Ce climat d’ouverture ne date pas d’hier. Entre février et avril 2025, plusieurs signaux positifs ont émergé. À Bamako, les trois États sahéliens ont affirmé leur unité souverainiste. À Accra, la CEDEAO a proposé des formes de coopération alternatives et un dialogue direct.

John Dramani Mahama a même suggéré d’envoyer un émissaire pour réactiver les canaux diplomatiques.

Cette session de Bamako n’a pas tout réglé, mais elle marque un pas fort : ni la rupture, ni l’isolement ne sont souhaités. Un nouvel équilibre régional pourrait naître de ce dialogue inédit.

Boeing présidentiel : un procès à 88 milliards suspendu… encore !

La Cour spéciale chargée de l’affaire du Boeing présidentiel et des équipements militaires a annoncé un nouveau report. Les plaidoiries sont repoussées au 2 juin 2025, à la demande de la défense. En cause : l’état de santé fragile de Bouaré Fily Sissoko, ex-ministre des Finances, déclarée temporairement inapte à comparaître.

La Cour a exigé soit sa présence, soit un nouveau certificat médical autorisant sa participation à l’audience prochaine.

Détention maintenue, liberté refusée

Les demandes de liberté provisoire de Mme Sissoko et du Colonel-Major Nouhoum Dabitao ont été rejetées. Ils restent incarcérés. Par ailleurs, la composition du collège de juges a été partiellement modifiée, sans conséquence sur la régularité de la procédure.

Le ministère public a réaffirmé sa volonté d’un procès juste et transparent, balayant toute accusation d’acharnement. Le Contentieux général de l’État a insisté sur la lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance.

Un scandale à 88 milliards CFA

Ce dossier explosif concerne des marchés publics sans appel d’offres, pour :

  • 28,5 milliards CFA : achat d’un avion présidentiel

  • 69 milliards CFA : contrats d’équipements militaires

Plusieurs anciens hauts responsables sont mis en cause, dont Soumeylou Boubèye Maïga, ex-Premier ministre, décédé en détention en 2022, et Mme Sissoko. D’autres accusés sont en fuite à l’étranger.

L’affaire, ouverte en novembre 2023, a déjà connu de multiples suspensions. Cette fois, le motif est médical. La date du 2 juin pourrait enfin marquer le tournant final : témoins, plaidoiries, réquisitions… et peut-être, le verdict tant attendu.

L’ONU face aux défis du Sahel : visite stratégique de Leonardo Santos Simão au Burkina Faso

Du 21 au 24 mai 2025, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simão, est en visite officielle au Burkina Faso. Il a été accueilli à l’aéroport de Ouagadougou par l’ambassadeur Hermann Yirigouin Toe, Secrétaire général du ministère burkinabè des Affaires étrangères.

Cette visite s’inscrit dans une tournée régionale. Elle vise à renforcer la coopération multilatérale et à évaluer la situation sécuritaire et humanitaire du Burkina Faso, pays clé dans la stabilisation du Sahel.

Dialogues stratégiques et coopération renforcée

Leonardo Santos Simão échangera avec les plus hautes autorités du pays, notamment le ministre des Affaires étrangères. L’objectif : faire le point sur les priorités du gouvernement en matière de paix, sécurité et aide humanitaire.

Il rencontrera également des représentants du Corps diplomatique, des membres de la société civile, des responsables du Comité permanent inter-États de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), ainsi que l’équipe des Nations Unies présente au Burkina Faso.

Avant son passage à Ouagadougou, l’envoyé onusien s’est rendu à Niamey, au Niger. Là-bas, il a réaffirmé le soutien des Nations Unies aux priorités nationales : gouvernance, croissance inclusive, cohésion sociale et sécurité.

 Une dynamique régionale pour la paix et le développement

Cette mission de l’ONU symbolise l’engagement renouvelé de la communauté internationale en faveur de la stabilité du Sahel. Elle ouvre la voie à une coopération renforcée dans une région confrontée à des crises multiples, mais aussi à un fort potentiel de résilience et de développement.

Étalons du Burkina : 6 nouveaux talents pour affronter la Tunisie et le Zimbabwe en ju

Du sang neuf chez les Étalons !
À l’approche de deux matchs amicaux très attendus contre la Tunisie (2 juin) et le Zimbabwe (6 juin 2025), Brama Traoré, sélectionneur national du Burkina Faso, a levé le voile sur sa liste de 27 joueurs convoqués. Et grande surprise : six nouveaux visages font leur apparition, dont deux issus du championnat local.

Ces jeunes talents auront l’opportunité de faire leurs preuves sous les couleurs nationales pour la toute première fois.

Les 6 nouvelles recrues :

  • Ladji Sanou (AS SONABEL) – Gardien

  • Ismaël Ganiou (FC Annecy – France) – Défenseur

  • Hassane Rachid Traoré (USFA – Burkina Faso) – Défenseur

  • Rachid Ayindé (KAA Gent – Belgique) – Milieu

  • Jack Diarra (Salitas FC – Burkina Faso) – Attaquant

  • Pierre Landry Kaboré (JK Trans Narva – Estonie) – Attaquant

Un choix audacieux du sélectionneur, qui mise sur un mélange d’expérience et de jeunesse, dans l’optique de renforcer la compétitivité de l’équipe en vue des prochaines échéances internationales.

Gardiens :

  • Hervé Koffi (RC Lens – France)

  • Farid Ouédraogo (Vita Club – RDC)

  • Kilian Nikiema (ADO Den Haag – Pays-Bas)

  • Ladji Sanou (AS SONABEL – Burkina Faso)

Défenseurs :

  • Edmond Tapsoba (Bayer Leverkusen – Allemagne)

  • Yacouba Nasser Djiga (Wolverhampton – Angleterre)

  • Ismaël Ganiou (FC Annecy – France)

  • Adamo Nagalo (PSV Eindhoven – Pays-Bas)

  • Issa Kaboré (Manchester City – Angleterre)

  • Hassane Rachid Traoré (USFA – Burkina Faso)

  • Arsène Guy Kouassi (AC Ajaccio – France)

  • Issoufou Dayo (RS Berkane – Maroc)

Milieux :

  • Abdoul Razack Yoda (FC Milsami – Moldavie)

  • Rachid Ayindé (KAA Gent – Belgique)

  • Saïdou Simporé (National Bank of Egypt – Égypte)

  • Stéphane Aziz Ki (Wydad Casablanca – Maroc)

  • Cédric Badolo (Spartak Trnava – Slovaquie)

  • Raouf Memel Dao (AS SONABEL – Burkina Faso)

  • Josué Tiendrébéogo (FC Annecy – France)

  • Mohamed Zougrana (MC Alger – Algérie)

Attaquants :

  • Ousséni Bouda (San José Earthquakes – USA)

  • Hassane Bandé (HJK Helsinki – Finlande)

  • Cyriaque Irié (SC Freiburg – Allemagne)

  • Jack Pantoulou Diarra (Salitas FC – Burkina Faso)

  • Mohamed Konaté (Al Riyad – Arabie Saoudite)

  • Pierre Landry Kaboré (JK Trans Narva – Estonie)

  • Bertrand Traoré (Ajax Amsterdam – Pays-Bas)

Rendez-vous les 2 et 6 juin prochains pour deux duels internationaux pleins de promesses, où les nouvelles recrues auront à cœur de briller !

Ibrahim Traoré injecte 104 milliards pour transformer l’agriculture

Ce jeudi 22 mai 2025 à Bobo-Dioulasso, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a lancé officiellement la campagne agricole 2025-2026 avec une action forte : la remise d’un impressionnant lot d’intrants et d’équipements agropastoraux et halieutiques.

104 milliards pour booster la productivité

Ce vaste programme d’appui, estimé à 104 milliards de FCFA, a été confié au ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Commandant Ismaël Sombié. Il marque un engagement clair en faveur de la modernisation des chaînes de production agricoles, de l’élevage et de la pêche.

Parmi les équipements distribués figurent :

  • 608 tracteurs,

  • 1 102 motoculteurs,

  • 935 cages flottantes,

  • 485 motopompes,

  • 66 952 895 doses de médicaments vétérinaires,

  • 70 tonnes d’engrais minéraux,

  • 14 631 tonnes de fumures organiques,

  • 1 580 tonnes d’aliments pour poissons,

  • et 15 000 tonnes d’aliments végétaux, entre autres.

Un pas vers l’autosuffisance alimentaire

L’objectif est clair : accroître la productivité, garantir une autosuffisance alimentaire durable et renforcer la résilience des communautés rurales. La distribution concerne aussi bien les agriculteurs que les éleveurs et les pêcheurs, dans une approche intégrée et inclusive.

Cette initiative stratégique du chef de l’État traduit sa volonté de transformer l’économie rurale, en misant sur les outils modernes pour booster les rendements, améliorer les conditions de travail, et assurer la sécurité alimentaire du pays.