Vers la construction d’une centrale nucléaire au Burkina Faso : Signature historique à Sotchi

Le ministre burkinabè de l’Énergie, Yacouba Zabré Gouba, s’apprête à conclure un accord historique avec ROSATOM à Sotchi, en Russie, pour la construction d’une centrale nucléaire dans son pays. La signature est prévue pour ce lundi.

Accompagné d’une délégation, le ministre de l’Énergie, des Mines et des Carrières, Yacouba Zabré Gouba, participe actuellement au Forum International sur l’énergie nucléaire ATOMEXPO 2024 à Sotchi, en Russie, selon son service de communication.

Au cours de ce séjour de deux jours, le ministre s’apprête à signer, avec le Directeur Général de ROSATOM, Alexey Likhachev, la feuille de route pour la construction d’une centrale nucléaire au Burkina Faso.

Cette initiative fait suite à la signature d’un mémorandum d’entente entre le Burkina Faso et la République fédérale de Russie le 13 octobre 2023 à Moscou, visant à promouvoir la coopération dans le domaine de l’utilisation de l’énergie atomique à des fins pacifiques.

Lors de sa visite à Moscou en juillet de la même année, le président burkinabè Ibrahim Traoré avait exprimé à son homologue russe Vladimir Poutine l’importance stratégique pour le Burkina Faso d’acquérir, dans les meilleurs délais possibles, une centrale nucléaire afin de répondre aux besoins énergétiques de la sous-région.

Hommage a Thomas SANKARA : Instauration des journées nationales d’engagement patriotique

Le 22 novembre 2023, le conseil des ministres du Burkina Faso a instauré les Journées nationales d’engagement Patriotique et de Participation Citoyenne (JEPPC). Ces journées, prévues en deux phases annuelles de quinze jours chacune, visent à renforcer le patriotisme et à promouvoir la participation citoyenne dans le pays. En ce début de la première phase, le président de la transition a rappelé l’importance de ces dates, choisies en hommage à Thomas Sankara, père de la révolution burkinabè.

Dans son discours marquant le lancement officiel des JEPPC, le président a souligné l’objectif de ces journées : consolider les fondements de la nation, renforcer la cohésion sociale et encourager la participation active des citoyens. Les dates choisies, le 26 mars et le 2 octobre, commémorent des moments clés de l’engagement politique de Thomas Sankara.

Le président a rappelé les réalisations significatives de l’époque de Sankara, telles que la promotion des produits locaux, l’émancipation des femmes et les efforts d’investissement populaire. Ces exemples illustrent l’héritage patriotique du Burkina Faso.

Dans un appel à l’action, le président a encouragé les Burkinabè à poser des gestes simples mais significatifs pour leur pays, tels que planter un arbre lors d’événements heureux, contribuer à la paix et respecter les lois et biens publics.

Reconnaissant les défis sécuritaires et humanitaires actuels, le président a salué les forces de défense et de sécurité ainsi que les volontaires pour leur dévouement dans la protection du pays.

En concluant son discours, le président a appelé à promouvoir les valeurs de patriotisme et de citoyenneté pour construire un Burkina Faso fort et prospère.

Ainsi, les Journées nationales d’Engagement Patriotique et de Participation Citoyenne sont officiellement lancées, symbolisant l’engagement collectif pour un avenir meilleur.

« Vive les Journées d’Engagement Patriotique pour que vive le Faso digne, libre et prospère ! La patrie où la mort, nous vaincrons.

Lancement du plan d’action pour l’eau au Burkina Faso : Un Engagement crucial pour l’avenir

Ce lundi 25 mars 2024, Ouagadougou a été le théâtre du lancement officiel du schéma directeur d’aménagement et de gestion de l’eau 2020-2035 de l’espace de compétence de l’Agence de l’eau du Nakanbé. Sous la présidence du ministre de l’environnement, de l’eau et de l’assainissement, Roger Baro, cet événement marque une étape majeure dans la planification des usages de l’eau au Burkina Faso.

Initié en 2015 et finalisé en novembre 2023 avec son adoption en conseil des ministres, le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion de l’Eau (SDAGE) est un outil crucial pour encadrer la mobilisation, l’utilisation et la gestion des ressources en eau dans la région du Nakanbé sur une période de 15 ans. Il vise à répondre à quatre objectifs stratégiques ambitieux, notamment la mobilisation de ressources en eau suffisantes pour répondre à la demande croissante.

Ce plan prévoit également d’assurer une couverture totale de la demande en eau potable, de garantir la sécurité alimentaire, et de renforcer la gestion des ressources en eau et des infrastructures hydrauliques, tout en promouvant une approche fondée sur les droits humains.

Le ministre Baro a souligné que la mise en œuvre de ce plan nécessitera un investissement conséquent, mais il est convaincu que cela stimulera les activités économiques, notamment dans l’agriculture, et contribuera à atteindre les objectifs nationaux en matière de sécurité alimentaire et de souveraineté en eau.

L’Agence de l’eau du Nakanbé a organisé cette cérémonie de lancement afin de sensibiliser les acteurs et les partenaires impliqués dans la mise en œuvre du plan, et de recueillir des recommandations pour assurer son succès.

Couvrant une superficie de 60 053 km², l’espace de compétence de l’Agence de l’eau du Nakanbé joue un rôle crucial dans le pays, touchant 22% de la superficie du Burkina Faso et abritant 129 communes, 3 204 villages, et relevant administrativement de 23 provinces et de 7 régions.

La mise en œuvre du SDAGE 2020-2035 représente une opportunité précieuse pour planifier efficacement les interventions en matière de gestion de l’eau et améliorer les conditions de vie des populations dans cette région stratégique du Burkina Faso.

Lancement du Club d’Affaires Russo-Burkinabè : Renforcer les Liens et Favoriser le Développement

Le Club d’Affaires et d’Amitié Russo-Burkinabè (CAARB) a inauguré officiellement ses activités, visant à promouvoir le développement social, économique et culturel des populations russes et burkinabè. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée le samedi 23 mars 2023, à Ouagadougou.

Fondé en septembre 2023, le Club d’Affaires et d’Amitié Russo-Burkinabè est une association de droit burkinabè ouverte aux entreprises des deux pays. Son objectif premier est de renforcer la coopération entre Ouagadougou et Moscou, notamment dans les domaines économiques et sécuritaires.

Dans le cadre de ses premières actions, le club entreprend une collecte de fonds pour le soutien patriotique et prévoit d’organiser une vitrine du Burkina Faso en Russie au cours du prochain trimestre. Cette initiative vise à présenter les potentialités du Burkina Faso en Russie et à encourager les échanges commerciaux.

Le Dr Christian Ouédraogo, président du club, souligne l’importance de la méconnaissance du Burkina Faso en Russie et l’urgence de la rendre plus visible sur la scène internationale.

Le club ambitionne également de contribuer activement au développement du pays en mettant à disposition les compétences de ses membres à travers des commissions spécialisées. Ces commissions pourront aborder toutes les questions d’intérêt national et soutenir les autorités dans leurs démarches.

Le chargé d’affaires de l’ambassade de Russie au Burkina, Vasilii Zolotukhine, exprime sa gratitude envers les membres du club et souligne l’importance de cette initiative dans le renforcement des liens entre les deux pays.

Le Club d’Affaires et d’Amitié Russo-Burkinabè aspire à être un cadre de concertation et d’échanges entre les hommes d’affaires des deux nations pour favoriser le développement socio-culturel.

Vasilii Zolotukhine encourage les membres du club à explorer les opportunités économiques dans les deux pays et à faire preuve d’audace et d’innovation pour concrétiser les potentialités existantes.

En conclusion, il réaffirme le soutien total de l’ambassade de Russie au Burkina Faso dans la réalisation des objectifs du club et encourage les hommes d’affaires à contribuer activement au rayonnement de la coopération bilatérale entre Ouagadougou et Moscou.

World Vision International inaugure des infrastructures pour l’eau potable à Tanghin

À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, World Vision International a inauguré aujourd’hui un poste d’eau autonome et quatre bassins de stockage d’eau pour les maraîchers de Tanghin. La cérémonie s’est déroulée à Ouagadougou le 22 mars 2024.

Dans le but de résoudre les problèmes liés à l’eau et d’améliorer la vie quotidienne des populations, World Vision International a mis en place ces infrastructures pour les maraîchers de Tanghin.

Le coût total de ces ouvrages, évalué à 12 000 000 de FCFA, vise à résoudre les conflits liés à l’eau et à améliorer les conditions de vie des populations, ce qui aura un impact positif sur les enfants.

Les formations prévues pour les bénéficiaires garantiront la durabilité de ces infrastructures, grâce à la mise en place de comités de maintenance. Richard Somé, directeur des opérations associées de World Vision International, souligne l’importance de cette pérennisation pour assurer une utilisation optimale et rentable des installations.

Les maraîchers de Tanghin, au nombre de plus de 300 sur le site, cultivent une variété de produits essentiels. Avant l’intervention de World Vision, la pénurie d’eau entravait leur capacité à irriguer leurs cultures, mais ces nouvelles installations ont considérablement amélioré la situation, comme l’a témoigné Mamouna Ouédraogo, une maraîchère de longue date.

Le Ouidi Zak Naaba, présent à la cérémonie, a exprimé sa gratitude au nom de la communauté bénéficiaire pour cette initiative salvatrice.

Narcisse Sawadogo, membre de l’entreprise AGIV en charge des travaux, affirme que la quantité d’eau disponible permettra d’irriguer au moins cinq hectares de terres agricoles.

En rappel, World Vision est une organisation internationale chrétienne présente dans plus de cent pays à travers le monde, et au Burkina Faso, elle intervient dans cinq régions pour promouvoir le bien-être des enfants.

Inauguration d’un Buste de Thomas Sankara au Centre d’Entraînement Commando de Pô

Lors de la cérémonie de clôture du stage de qualification aux techniques commandos, le jeudi 21 mars 2024, au Centre national d’entraînement commando (CNEC) de Pô, un événement marquant a eu lieu avec le dévoilement d’un buste de Thomas Sankara.

Cet acte symbolique s’inscrit dans la lignée de l’histoire du camp Thomas Sankara, où est situé le Centre national d’entraînement commando. Désormais, toute personne franchissant les portes de cet espace militaire sera accueillie par le buste du capitaine Thomas Sankara.

L’inauguration de cette structure a été réalisée en présence du chef d’état-major de l’armée de terre (CEMAT), le colonel Théophile Nikièma, et de la gouverneure de la région du Centre-sud, Yvette Nacoulma, lors de la cérémonie de clôture du stage de qualification aux techniques commandos des instructeurs, moniteurs et aides-moniteurs. Soixante commandos, prêts à servir, étaient présents à cette occasion.

Lors du dévoilement de l’infrastructure, le commandant du CNEC, le capitaine Patrick Bado, a fourni des explications sur les dimensions symboliques du buste, en lien avec l’histoire de Thomas Sankara. Celui-ci mesure 8,3 mètres, en référence à l’année 1983, marquant son arrivée au pouvoir, 8,7 mètres pour l’année 1987, symbolisant son départ du pouvoir, et 4 mètres pour la durée de son règne.

Un Hommage à Thomas Sankara 

Le capitaine Thomas Sankara, premier chef de corps du CNEC, est honoré à travers l’érection d’un buste à son effigie. Cette initiative, saluée par d’anciens commandos du CNEC, symbolise le renouveau de cette institution militaire.

Pour de nombreux anciens du CNEC, présents lors de cette cérémonie, ce geste représente bien plus qu’un simple hommage. C’est une reconnaissance méritée envers Thomas Sankara, qui a œuvré pour moderniser l’armée et améliorer la formation des soldats.

Abdrahamane Zeytenga, adjudant-chef à la retraite et ancien membre du CNEC sous le commandement de Thomas Sankara, exprime sa fierté face à cet hommage. Il souligne l’engagement du capitaine Sankara dans l’amélioration de l’efficacité opérationnelle de l’armée, notamment à travers ses efforts dans la formation des troupes.

Pour le lieutenant Mamadou Sow, ancien pensionnaire du CNEC et actuel instructeur, la réapparition du CNEC était inévitable. Il souligne que le nom même de l’institution, donné par Thomas Sankara, témoigne de sa pertinence et de sa destinée à perdurer.

Ainsi, l’érection du buste de Thomas Sankara au sein du CNEC représente non seulement un hommage mérité à un visionnaire de l’armée, mais aussi le renouveau d’une institution déterminante dans la formation des soldats.

Un retour aux sources émouvant pour ses anciens membres

Les anciens du CNEC, Centre National d’Entrainement Commando, ont revécu leurs émotions lors d’une cérémonie commémorative. Pour eux, ce centre représente une part importante de leur vie. Roger Kéré, ancien adjudant-chef à la retraite, se remémore son arrivée en 1982, avant même la présence du président Thomas Sankara. Revenir sur les lieux lui évoque des souvenirs précieux.

Fondé en 1975, le CNEC a été dissous en 1996 pour laisser place au RSP (Régiment de Sécurité Présidentielle). Plus tard, en 2000, le Centre d’Entraînement Commando est devenu une entité du RSP, puis en 2018, il a été rebaptisé CEC-FOS (Centre d’Entraînement Commando et de Formation aux Opérations Spéciales). Le 5 janvier 2024, le CNEC a été rétabli, cette fois-ci rattaché à l’Etat-Major de l’Armée de Terre (EMAT) et à la région militaire.

Ce retour aux sources a marqué les esprits des anciens du CNEC, ravivant des souvenirs et des sentiments particuliers.

Attaque meurtrière au Niger : 23 soldats tués, deuil national décrété

Au moins 23 soldats nigériens ont perdu la vie et 17 autres ont été blessés lors d’une attaque survenue dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 mars dans la zone de Tillabéri. Une trentaine de terroristes ont également été neutralisés selon un communiqué officiel. En réponse à cette tragédie, le gouvernement nigérien a déclaré un deuil national de 72 heures.

L’attaque s’est produite alors que l’armée menait une « opération de ratissage » dans la région de Tillabéri les jours précédents. Le ministère de la Défense a rapporté qu’une unité a été prise dans une « embuscade complexe » lors de son retrait, entraînant la perte de 23 soldats et la neutralisation d’environ 30 terroristes. L’objectif de cette opération était de protéger les populations locales des violences perpétrées par les groupes armés terroristes, incluant des assassinats, des extorsions de fonds et des vols de bétail.

L’attaque, menée par « plus d’une centaine de terroristes à bord de véhicules et de motos », a eu lieu entre les localités de Teguey et Bankilaré, utilisant des bombes artisanales et des véhicules kamikazes. Malgré la riposte vigoureuse des forces armées, le bilan tragique s’est alourdi avec la mort de 23 soldats et 17 blessés.

Tillabéri est connue comme un bastion des groupes jihadistes sahéliens, notamment l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) et Al-Qaïda. Depuis 2017, cette région du Niger est régulièrement visée par des attaques de ces groupes armés, malgré la présence importante des forces anti-jihadistes, qui ciblent indistinctement civils et militaires.

Les funérailles des victimes sont prévues pour ce vendredi 22 mars à Niamey, alors que le gouvernement a instauré trois jours de deuil national en hommage aux soldats tombés au combat.

La ministre Nandy Somé visite la Boucle du Mouhoun : remise de clés et soutien aux entrepreneures

La ministre de la solidarité, de l’action humanitaire, de la réconciliation nationale, du genre et de la famille, Nandy Somé/Diallo, a entrepris une tournée dans la région de la Boucle du Mouhoun le jeudi 21 mars 2024. À Dédougou, où elle s’est rendue, la ministre Somé a annoncé sa présence pour la remise des clés des maisons de solidarité. Profitant de l’occasion, elle a également rendu visite à des femmes entrepreneures bénéficiaires de l’appui technique et matériel de son ministère.

Accompagnée d’une délégation, Nandy Somé/Diallo a rapidement effectué les visites chez les femmes entrepreneures et procédé à la remise des clés des maisons de solidarité à des familles bénéficiaires. Au secteur 3 de la ville de Dédougou, elle a visité la coopérative Burkina journalier, une association de femmes engagées dans la transformation agroalimentaire, principalement à base de manioc. Christine Yaméogo, présidente de la coopérative, a souligné l’importance de l’appui du ministère dans le démarrage de leur activité, en mettant en avant le soutien matériel et logistique reçu.

En parallèle, la ministre Somé a remis les clés de logements à deux familles dans les secteurs 1 et 2, accompagnée des autorités régionales. Parmi les bénéficiaires, une famille dirigée par un chef handicapé et une veuve prenant soin d’orphelins. Ces constructions s’inscrivent dans le cadre de la seizième édition du mois de la solidarité, dont le lancement officiel a eu lieu à Bankuy le 24 novembre 2023.

Pour clore sa visite, Nandy Somé s’est rendue sur un site de jardinage au secteur 6 de Dédougou, où une soixantaine de femmes, dont 52 déplacées et huit hôtes, travaillent. La coordinatrice du site, Clotilde Sawadogo, a souligné l’importance des plaidoyers pour obtenir ce site de production, ajoutant que la solidarité entre les communautés permet aux déplacés de s’intégrer à Dédougou. La ministre a promis de prendre en compte les préoccupations des jardinières pour assurer leur soutien continu.

1xBet a payé plus de 836 000 $ à un joueur africain !

Le bookmaker fiable 1xBet a remis un chèque à un client de Guinée, qui avait fait un pari combiné gagnant de 50 événements et avait multiplié sa mise par 1 454 995 ! Cette fantastique victoire confirme que tout est possible dans la vie si l’on croit en ses connaissances et en sa bonne étoile. Tu veux connaître la stratégie gagnante du champion ?

Un client 1xBet a transformé 5 000 GNF (0,5 $) en une énorme somme de 7 274 976 936 GNF (836 622 $) grâce à un accumulateur réussi. Le joueur a analysé des informations actualisées sur les équipes européennes et a rassemblé dans son coupon des matchs de la Ligue des champions, de l’Europa League, des championnats d’Angleterre, d’Allemagne, d’Espagne, d’Italie, de Portugal, de Turquie, de Belgique et d’autres pays européens.

Pour la plupart des matchs, le joueur chanceux s’est limité à prédire la victoire de la première (V1) ou de la deuxième (V2) équipe. Dans le même temps, il a agi avec prudence, choisissant principalement des résultats avec de petites cotes à partir de 1,174, mais il a également pris quelques décisions risquées. Par exemple, un pari sur la victoire de la Roma contre l’Udinese a été placé avec une cote assez élevée de 1,697. Les Romains ont marqué le but victorieux seulement après la 80ᵉ minute et on peut imaginer la montée d’adrénaline chez le parieur !

Cette victoire a assuré au joueur une stabilité financière pour de nombreuses années et lui a permis de s’offrir, ainsi qu’à sa famille, de nombreux cadeaux luxueux. Notre joueur chanceux a poursuivi la tradition gagnante des clients 1xBet d’Afrique, qui ont empoché 4 gros gains l’année dernière:

● Un joueur de la Guinée a misé 57,89 $ sur un combiné de 17 événements et a remporté la somme folle de 571 831,91 $.

● Un autre client 1xBet de la Guinée a misé 1,16 $ sur un combiné de 22 événements et a gagné la somme impressionnante de 551 969,90 $.

● Un joueur du Sénégal a misé 84,03 $ sur un combiné avec une cote de 4 794,428 et a empoché la somme incroyable de 402 896,43 $.

● Un client du Nigeria a misé 4 372,02 $ sur un combiné de 6 événements et s’est enrichi de 113 374,45 $.

La société de bookmakers 1xBet a une fois de plus confirmé sa réputation irréprochable et a rapidement versé l’argent au gagnant.

Ouverture de la Première Session Ordinaire du Conseil des Frontières à Ouagadougou

La première session ordinaire de l’année du Conseil des Frontières s’est ouverte ce jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou. Présidée par le Premier ministre Apollinaire Kyélèm de Tambèla, cette cérémonie a été marquée par la présence du ministre de l’Administration Territoriale, Émile Zerbo, et du ministre de l’Économie, Aboubakar Nacanabo. Cette session revêt une importance particulière, étant l’occasion de faire le bilan des actions de gestion des frontières du Burkina Faso depuis la dernière session en mars 2023.

Depuis dix ans, le gouvernement burkinabè a mis en place un dispositif institutionnel pour mieux gérer les questions frontalières. Cela a inclus la création de la Commission Nationale des Frontières en 2013 et l’adoption de la Stratégie Nationale de Gestion des Frontières en 2015. Le ministre Émile Zerbo a souligné que malgré ces efforts, les régions frontalières sont longtemps restées négligées, entraînant une détérioration de la sécurité. Il a donc appelé à examiner les axes de la stratégie nationale pour formuler des recommandations adéquates.

La stratégie vise à promouvoir le développement socio-économique et culturel durable des zones frontalières dans un environnement de paix et de sécurité. Les principaux axes incluent la maîtrise des limites territoriales, la sécurisation des frontières, et l’amélioration de la présence de l’État dans ces régions. Cette session offre l’opportunité d’évaluer les progrès réalisés et de proposer de nouvelles orientations pour renforcer la gestion des frontières.

Le ministre Émile Zerbo a également souligné le contexte particulier dans lequel se tient cette réunion, avec le Burkina Faso cherchant à renforcer sa souveraineté. Il a mentionné la création de l’Alliance des États du Sahel (AES) avec le Mali et le Niger, visant à restaurer la sécurité et à promouvoir le développement régional.

Cette session du Conseil des Frontières témoigne de l’engagement du gouvernement burkinabè à travailler avec ses partenaires pour assurer la paix et la sécurité dans les zones frontalières. En réunissant les acteurs clés, elle vise à dynamiser la gestion des frontières et à créer des espaces frontaliers sécurisés et prospères.