« Les enfants au cinéma » : Un projet innovant pour les jeunes du Burkina Faso

Ce mercredi 12 juin 2024, un projet novateur intitulé « Les Enfants au Cinéma » a été lancé au Musée national de Ouagadougou. Pensé par la réalisatrice Apolline Traoré, en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et le ministère de la Culture, ce projet offre une formation intensive de trois mois à 30 enfants, dont 15 filles, âgés de 8 à 15 ans.

Depuis quelques années, les enfants du Burkina Faso sont lourdement affectés par la crise sécuritaire et humanitaire, impactant leur santé mentale et leur développement cognitif. Leur perception du monde est souvent bien différente de celle des adultes. Pour leur permettre de partager leurs expériences, Apolline Traoré, avec le soutien de l’UNICEF et du ministère de la Culture, a initié cette formation à la production cinématographique.

Ndiaga Seck, chef de la communication de l’UNICEF au Burkina Faso, a souligné l’importance de ce projet pour les enfants. « Le cinéma intervient comme un outil éducatif, créatif et récréatif, offrant aux enfants une perspective innovante pour surmonter des traumatismes potentiels et leur permettre de transmettre des messages significatifs », a-t-il déclaré. Il a également insisté sur le fait que le Burkina Faso, connu pour son riche héritage cinématographique, est le lieu idéal pour un tel projet.

Pour Sabari Christian Dao, directeur général du Musée national, cette initiative est une occasion précieuse de sensibiliser les enfants au patrimoine culturel burkinabè. « C’est vraiment important de parler de notre patrimoine aux enfants et qu’ils puissent mieux acquérir les outils et les éléments de ce patrimoine pour envisager leur avenir », a-t-il expliqué.

Apolline Traoré, au cœur de cette initiative, espère ouvrir l’esprit des enfants à la création cinématographique. « Mon but premier est d’ouvrir leur esprit, de les amener à créer une histoire à partir de leur expérience. La première semaine sera consacrée à l’écriture du scénario, puis à l’apprentissage des différents aspects techniques du cinéma », a-t-elle précisé.

Ndiaga Seck a encouragé les enfants à produire leur propre film pour la 29ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). « Votre histoire mérite d’être racontée et entendue. C’est l’histoire de l’innocence, l’histoire de l’enfance », a-t-il lancé.

Pour les jeunes participants, cette formation est une opportunité de réaliser leurs rêves. « Je suis très heureuse de prendre part à cette formation. Mon attente est d’apprendre les métiers du cinéma afin de réaliser mon rêve d’être cinéaste comme Apolline Traoré », a confié Tassembedo Darianne, 14 ans.

Ce projet de trois mois, « Les Enfants au Cinéma », réunit 30 enfants et représente une démarche prometteuse pour leur offrir une nouvelle voie d’expression et de résilience face aux défis qu’ils rencontrent.

Orano Relance l’exploitation de la mine d’Uranium d’Imouraren au Niger

Malgré les tensions persistantes entre la France et le Niger, le groupe français Orano, spécialisé dans le combustible nucléaire, a annoncé mardi la relance de l’exploitation de la gigantesque mine d’uranium d’Imouraren, située dans le nord du Niger.

Initialement, lors de la pose de la première pierre en 2009, Imouraren était destinée à devenir la plus grande mine d’uranium à ciel ouvert du continent africain. Toutefois, le projet a été retardé en raison de plusieurs facteurs externes, notamment l’accident nucléaire de Fukushima et la chute des prix de l’uranium.

La décision de relancer le projet Imouraren s’explique par la récente hausse des prix de l’uranium sur le marché mondial. Cette hausse, résultant d’une augmentation de la demande en énergie nucléaire, rend désormais l’exploitation du gisement d’Imouraren économiquement viable.

Orano a réaffirmé son engagement à développer le projet dans le respect des normes sociales et environnementales les plus strictes. L’entreprise a également souligné son attachement au partenariat avec les autorités nigériennes et les parties prenantes locales, assurant que le projet sera mené en étroite collaboration avec les communautés locales pour maximiser les retombées positives pour la région.

Cette relance marque une étape importante pour Orano et le Niger, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités économiques tout en répondant à la demande croissante d’énergie nucléaire dans le monde.

Renforcement de la Coopération Burkina Faso-Qatar : Une invitation officielle pour le ministre du travail Qatari

Le ministre qatari du Travail, Ali Ben Samikh Al-Marri, a reçu une invitation pour une visite d’amitié et de travail au Burkina Faso afin de renforcer la coopération entre les deux nations. Cette invitation a été formulée par le ministre d’État burkinabè, Bassolma Bazié, en marge de la 112e conférence de l’Organisation internationale du Travail (OIT) à Genève.

Au cours d’une audience tenue mardi, Bassolma Bazié, également ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, a invité son homologue qatari à se rendre au Burkina Faso. Cette visite, dont la date reste à préciser, vise à fortifier les relations bilatérales entre Ouagadougou et Doha.

Les deux ministres ont discuté de la possibilité de négocier et de conclure rapidement un projet d’accord relatif à la réglementation de l’emploi des travailleurs burkinabés résidant au Qatar. Cet accord avait été initialement évoqué lors de la 4e session de la Conférence islamique des ministres du Travail des pays membres de l’OCI, tenue à Bakou, en Azerbaïdjan, le 23 novembre 2023.

L’audience à Genève a permis aux ministres de réaffirmer leur engagement à intensifier la coopération entre leurs pays respectifs, notamment en ce qui concerne les ministères du Travail et de la Protection sociale. Ils ont également passé en revue la collaboration existante dans le domaine du travail et de la protection sociale, avec un accent particulier sur l’Assurance Maladie universelle.

Cette visite potentielle marque une étape importante dans le renforcement des liens entre le Burkina Faso et le Qatar, ouvrant la voie à une coopération accumulée et à des opportunités mutuellement bénéfiques.

Le Musée National du Burkina Faso dévoile une exposition sur les masques : « Masques : au-delà du visible »

Le Musée National du Burkina Faso ouvre ses portes au grand public pour une exposition fascinante intitulée « Masques : au-delà du visible », prévue pour le vendredi 14 juin 2024 à Ouagadougou. Cette initiative vise à plonger les visiteurs au cœur de la richesse et de la complexité de l’univers des masques.

Le Directeur Général du Musée National, Sabari Christian Dao, a partagé avec enthousiasme la raison derrière le choix de ce thème évocateur. Il explique que l’exposition aspire à éclairer les visiteurs sur la profondeur et les mystères entourant les masques. « Masques : au-delà du visible » offrira une exploration immersive des pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire liés à cet héritage culturel.

Cette exposition permanente marque un tournant significatif pour le Musée National, qui n’avait pas encore réalisé d’exposition permanente. Sabari Christian Dao souligne que cette initiative répond à une demande croissante du public pour des parcours de visite axés sur la thématique des masques.

Senaly Djibo, Directeur des Expositions et de la Médiation du Musée National, souligne le travail d’équipe déployé pour peaufiner le thème de l’exposition. Il met en avant l’importance de produire un catalogue exhaustif des expositions, qui servira de mémoire pour cette initiative.

Au programme de l’exposition, les visiteurs pourront profiter de visites spéciales, individuelles ou en groupe, ainsi que de festivals, conférences et spectacles. Rendez-vous est donc pris pour le vendredi 14 juin à partir de 14h au Musée National pour une plongée captivante dans l’univers des masques, entre tradition et modernité.

Mobilisation renouvelée contre le travail des enfants au Burkina Faso

Le ministre en charge du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié, a lancé un appel à la mobilisation lors de la Journée Mondiale de Lutte contre le Travail des Enfants. Depuis Genève, il a exhorté tous les acteurs engagés dans cette lutte à maintenir leurs efforts afin de préserver les progrès réalisés.

Les actions menées au Burkina Faso ont déjà permis de réduire la prévalence du travail des enfants. De 41,1% en 2006, elle est passée à 40,3% en 2022. De même, l’incidence du travail des enfants à abolir est tombée de 39,3% à 31,9% sur la même période. Concernant les formes dangereuses de ce travail, leur prévalence a été réduite de manière significative, passant de 35,8% en 2006 à 18,6% en 2022.

Ces progrès, bien que encourageants, nécessitent une vigilance constante. Le ministre Bazié souligne l’importance d’intensifier les efforts pour éliminer les pires formes de travail des enfants. Cela implique de respecter les engagements pris au niveau mondial et de renforcer les actions de lutte contre ce fléau.

Dans son discours, le ministre a également tenu à saluer l’engagement des partenaires qui, malgré les défis rencontrés par le Burkina Faso, continuent de soutenir le gouvernement dans ses efforts pour le bien-être des enfants. Cette collaboration est cruciale pour faire face aux défis persistants et garantir un avenir meilleur pour les générations futures.

Bassolma Bazié : Le Burkina Faso en quête de souveraineté totale

Genève, 10 juin 2024

Lors de la 112e session de la Conférence internationale du travail à Genève, le ministre d’État en charge du Travail, Bassolma Bazié, a réaffirmé l’engagement résolu du Burkina Faso dans la conquête de sa souveraineté pleine et entière.

Bassolma Bazié a déclaré que le peuple burkinabè est déterminé à lutter pour sa souveraineté, en dépit des défis imposés par le terrorisme depuis 2015. « Le peuple burkinabè s’est résolument engagé et est déterminé dans une lutte en y consentant les sacrifices à la hauteur du défi historique qui est la conquête de sa souveraineté pleine et entière, » a-t-il affirmé.

Le ministre a critiqué le silence de la communauté internationale et la complicité de certains États face à cette « guerre de prédation » visant à piller les richesses du Burkina Faso. Il a souligné que la survie véritable du pays repose sur sa capacité à défendre sa souveraineté plutôt que sur la ratification de conventions ou la présence dans diverses organisations.

Depuis son adhésion souveraine à l’Organisation internationale du travail (OIT) le 21 novembre 1960, le Burkina Faso a ratifié 44 conventions relatives au travail. Bazié a insisté sur l’importance de ces engagements, mais a également appelé l’OIT à renouer avec ses valeurs fondamentales de solidarité, de justice sociale et de paix.

Le ministre a également exprimé sa solidarité avec l’Iran, la Russie et la Palestine pour les épreuves qu’ils traversent, et a salué les alliances avec le Mali, le Niger et d’autres partenaires internationaux.

En conclusion, Bassolma Bazié a souligné que la ratification des conventions et l’engagement dans les organisations internationales doivent désormais répondre à la volonté souveraine du peuple burkinabè, alignée sur le Plan d’action pour la stabilisation et le développement du pays.

Sensibilisation des commerçants de Ouagadougou : Une mesure pour assainir la Ville

Le Président de la délégation spéciale de Ouagadougou, Maurice Konaté, a mené une campagne de sensibilisation auprès des commerçants installés sur les accotements des voies de la rue 17.276, au quartier Pissy de Ouagadougou, le lundi 10 juin 2024. Cette action vise à libérer les accotements des voies dans un délai de 10 jours, une initiative qui concerne tous les commerçants de la ville.

En réponse à un communiqué de septembre 2023 demandant aux commerçants, chauffeurs routiers et transporteurs de libérer 2 mètres de chaque côté des chaussées, Maurice Konaté a investi plusieurs rues pour sensibiliser avant la phase de répression. Selon ses explications, cette campagne vise à informer les commerçants des dangers liés à la réduction des voies. Il a indiqué que la phase de répression, initialement prévue pour 2023, a été prolongée délibérément jusqu’en 2024 pour donner plus de temps aux commerçants de se conformer aux règlements.

« Nous avons demandé expressément à la hiérarchie de nous permettre d’aller jusqu’en début de 2024. Début janvier jusqu’à aujourd’hui, je pense que ceux qui ont compris, qui ont commencé déjà à quitter sans qu’on vienne leur dire, il faut partir, ça vraiment, c’est quelque chose déjà de bien. C’est ça qu’on appelle du patriotisme », a déclaré Maurice Konaté. Il a souligné que cette mesure ne vise pas à entraver les activités des commerçants, mais à améliorer la sécurité et la fluidité de la circulation pour le bien-être de tous les habitants de la ville.

Lors de la visite sur la rue 17.276, Joël Marie Nombré, chef de service de la recette/trésorerie régionale du centre, a constaté que de nombreuses installations ne respectaient pas les dimensions prescrites. Bien que cela puisse être attribué à un manque de communication, les commerçants ont reconnu la nécessité de se conformer aux réglementations pour améliorer la fluidité dans la ville et se sont engagés à respecter le délai imparti.

« Ils sont venus, ils n’ont pas enlevé. Ils nous ont montré ce que nous devons faire. Nous ne voyons pas de mal dans ça. C’est pour le bien de tout le monde, c’est pour faciliter le passage donc nous aussi, on doit suivre ce qu’ils disent de faire, rien n’est impossible », a expliqué Alassane Sawadogo, commerçant à Pissy.

Cette campagne de sensibilisation marque une étape importante dans les efforts continus pour assainir la ville de Ouagadougou et améliorer les conditions de vie des riverains.

Première Session 2024 du conseil d’orientation stratégique du programme d’urgence pour le sahel au Burkina Faso

Le ministère de l’Économie, des Finances et de la Prospective a tenu sa première session ordinaire 2024 du Conseil d’orientation stratégique du Programme d’urgence pour le Sahel au Burkina Faso (COS/PUS-BF), le jeudi 6 juin 2024 à Ouagadougou, sous la présidence du Premier ministre, Me Apollinaire Kyélèm de Tambela.

Après une session ordinaire en décembre 2023, les acteurs de la mise en œuvre du PUS-BF se sont réunis pour approuver le bilan de l’année 2023 et valider le Plan de travail annuel budgété (PTAB) 2024. Le ministre de l’Économie, Dr Aboubacar Nacanabo, a souligné l’importance des sessions du COS pour évaluer la cohérence des activités par rapport aux objectifs du programme et fournir les orientations nécessaires pour sa bonne exécution.

En 2023, le PUS-BF a atteint un taux d’exécution physique de 57,2% et un taux d’exécution financière de 63,3%, selon la coordonnatrice Monique Yarga Ouédraogo. Les ministères ont réalisé un taux de 63,9%, les collectivités territoriales 47,2%, et les projets et programmes 60,5%. Parmi les réalisations notables figurent le renforcement des capacités des forces de défense et de sécurité, la réouverture des tribunaux de Dori et Kongoussi, l’aménagement de terres agricoles, et l’aide aux personnes déplacées internes.

Cependant, des difficultés telles que l’accessibilité des localités, la mobilisation des ressources financières, et l’engagement tardif des activités ont été rencontrées. Pour 2024, le PUS-BF se concentre sur la sécurité, la gestion des urgences sociales et humanitaires, le retour volontaire des PDI, la relance des économies locales, la promotion de la cohésion sociale et la paix, et le renforcement de la résilience des populations.

Présidée par le Premier ministre Apollinaire Kyélèm de Tambela et en présence de plusieurs membres du gouvernement, cette session a également vu la participation des gouverneurs des treize régions du Burkina Faso, une première dans l’histoire de la mise en œuvre du PUS-BF. Le ministre Nacanabo a insisté sur l’importance d’actions fortes pour stabiliser le pays et favoriser le développement post-crise.

 

Le Président Ibrahim Traoré renforce les forces de défense et de sécurité dans la lutte contre le terrorisme

Ce 6 juin, le Président Ibrahim Traoré a remis un important lot de matériel militaire et de génie aux Forces de défense et de sécurité engagées dans la lutte contre le terrorisme en République démocratique du Congo (RDC). Cette initiative vise à renforcer les capacités opérationnelles des Forces combattantes sur le terrain, selon la présidence du Faso.

Le matériel remis comprend des blindés de combat à l’épreuve des engins explosifs improvisés, de l’armement, des munitions et des engins de travaux de génie militaire tels que des excavatrices, des porte-camions et des citernes.

Lors de la remise du matériel, le Président a insisté sur l’importance de former adéquatement les équipages pour une utilisation efficace de ces engins tactiques et de combat. Il a souligné la nécessité de faire face à la réalité d’un monde prédateur en exhortant le ministre de la Défense et des Anciens combattants, le Général de Brigade Kassoum Coulibaly, à utiliser ces ressources dans la lutte pour la paix.

En réponse, le ministre Coulibaly a exprimé la reconnaissance des Forces combattantes envers le Président pour ses efforts dans l’acquisition de ce matériel. Il a souligné que ce lot représente seulement la première livraison d’une commande globale de quatre lots et contribuera à appuyer les unités de terrain et le génie militaire dans la fortification des camps.

Le ministre a également rappelé l’engagement financier important du peuple burkinabè dans l’acquisition de ce matériel, soulignant que cette contribution accompagne la reconquête du territoire national dans la lutte contre le terrorisme.

Le Capitaine Ibrahim Traoré félicite Narendra Modi pour sa réélection et espère un renforcement des Relations Bilatérales

Le président du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, a adressé ses félicitations au Premier ministre indien Narendra Modi ce jeudi via son compte X, suite à la réélection de ce dernier. « Au nom du peuple burkinabè et au mien propre, j’exprime mes vives félicitations au Premier ministre indien Narendra Modi, pour sa réélection. Je souhaite que cette victoire historique renforce votre leadership dans notre lutte commune pour la défense des valeurs universelles de liberté et de développement dans un monde multipolaire. Je formule également le vœu que ce nouveau mandat puisse raffermir l’excellente relation bilatérale entre nos deux pays, et dans le cadre des BRICS pour le bonheur de nos peuples », a déclaré Traoré.

Narendra Modi, 73 ans, devrait rester aux commandes de l’Inde malgré un sérieux avertissement des électeurs. Après dix ans de pouvoir ininterrompus, il a remporté les élections législatives du mardi 4 juin avec une courte majorité, à l’issue d’un marathon électoral de six semaines. Les résultats sont encore en cours de consolidation, mais environ 642 millions d’Indiens ont voté, bravant une canicule intense qui a frappé le pays.

La réélection de Modi marque une étape importante non seulement pour l’Inde, mais aussi pour les relations internationales. Le président Traoré voit cette victoire comme une opportunité de renforcer les liens entre le Burkina Faso et l’Inde, deux nations partageant des valeurs communes de liberté et de développement. La coopération dans le cadre des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) est particulièrement mise en avant, promettant de nouvelles opportunités pour les deux pays.

Sous la direction de Modi, l’Inde a connu des changements significatifs et a renforcé sa position sur la scène mondiale. Pour le Burkina Faso, cette réélection pourrait ouvrir des portes à de nouvelles collaborations dans divers domaines tels que la technologie, l’agriculture, l’éducation et la défense.

Le message de Traoré souligne également l’importance de la coopération internationale dans un monde multipolaire, où les nations travaillent ensemble pour relever des défis communs. La réélection de Modi pourrait donc symboliser une nouvelle ère de partenariat stratégique entre le Burkina Faso et l’Inde, axée sur le progrès mutuel et le bien-être de leurs peuples respectifs.

Alors que Modi entame son nouveau mandat, le monde observe avec intérêt les prochaines étapes de son leadership. La continuité de ses politiques et les nouvelles initiatives qu’il pourrait lancer seront déterminantes pour l’avenir des relations entre l’Inde et le Burkina Faso, ainsi que pour la dynamique au sein des BRICS.