Mois : avril 2025
Conseils utiles pour le jeu responsable : qu’est-ce qu’une bankroll et comment la gérer ?
Dans les paris, le concept de « bankroll » désigne un certain montant alloué spécifiquement aux paris. Ce n’est pas un salaire ni des économies, c’est de l’argent dédié spécialement au divertissement. Il s’agit d’un budget de jeu séparé qui vous permet de jouer confortablement et avec plaisir, sans vous sentir stressé.
Des limites financières aussi claires aident à éviter les décisions impulsives et à améliorer la qualité du jeu. Une bankroll permet de contrôler vos ressources : c’est un outil pour une approche consciente qui fait du jeu une partie de la vie, et non l’inverse.
Comment déterminer votre bankroll idéale ?
La règle principale : n’utilisez que l’argent qui n’est pas impliqué dans des dépenses importantes. Les paris sont un divertissement et non une source garantie de profit.
? Établissez un budget mensuel
? Soustrayez les dépenses obligatoires (loyer, nourriture, transport)
? Divisez le reste : 10 à 15 % – c’est votre « zone de confort » pour le jeu
Conseil : suivez vos dépenses dans un tableau de calcul ou une application pour vous aider à mieux comprendre vos habitudes.
Des formules qui fonctionnent
Formule de bankroll :
Bankroll = 10 % de revenu libre
Par exemple : à partir d’un solde restant de 5 000, vous allouez 500 – c’est un montant sûr pour parier.
Formule de pari :
Mise = 1 à 5 % de la bankroll
Avec une bankroll de 500, il est judicieux de miser 5 à 25. Cela vous permet de jouer plus longtemps et avec plus de confiance.
Comment adapter votre bankroll à votre style de jeu ?
- Flat est une stratégie stable dans laquelle chaque pari est du même montant (par exemple, 3 % de la bankroll).
- Martingale est une stratégie à haut risque. Cela nécessite une compréhension approfondie et une approche prudente.
- Paris à long terme – réservez une partie de votre bankroll, car le remboursement n’est pas immédiat.
Comment contrôler sa bankroll au quotidien ?
- Créez un portefeuille séparé pour le jeu
- Fixez tous les paris – manuellement ou dans des applications spéciales
- Gardez vos propres statistiques et analysez les résultats chaque semaine
- Utilisez les outils d’autocontrôle disponibles sur les plateformes modernes, notamment les limites de dépenses et la consultation de l’historique des paris.
1xBet propose de nombreuses fonctionnalités et outils pratiques pour l’auto-surveillance et l’analyse, et la marque mène actuellement un projet éducatif sur le betting responsable, 1xBalance, qui aide les joueurs à mieux comprendre leurs habitudes de jeu et à maintenir un équilibre sain entre le jeu et la vie.
Initiatives éducatives : 1xBet soutient le jeu responsable
Le jeu intelligent est un style que les joueurs du monde entier recherchent. 1xBet, en tant que marque socialement responsable, met en œuvre le projet #1xBalance pour aider les joueurs à mieux se comprendre et à jouer avec contrôle.
- Un test interactif aidera à évaluer le niveau de maîtrise de soi
- Des supports pédagogiques vous apprennent à gérer votre budget et à éviter les erreurs
- La campagne SMM délivre des messages à travers des conseils, des histoires et des expériences d’autres joueurs
- Les formats visuels (infographies, vidéos, affiches) rendent le sujet accessible et compréhensible
Parier de manière responsable n’est pas une restriction, mais une liberté. La liberté de jouer en toute confiance, en connaissant vos limites.
La bankroll est une compétence qui procure du plaisir
La bankroll n’est pas seulement une question de chiffres, c’est aussi une question de discipline mentale. Plus tôt vous le formerez, plus votre jeu sera confortable et positif.
Rejoignez le projet #1xBalance, suivez tout sur les réseaux sociaux de la marque et jouez de manière responsable avec 1xBet !
18 parcelles, 108 millions, 1 magistrat : l’affaire qui éclabousse la robe noire
Ce mercredi 30 avril 2025, le Tribunal de grande instance de Ouaga I a entamé la phase cruciale du procès : plaidoiries et réquisitions. L’affaire secoue l’opinion publique. Elle met en cause Sidaty Yoda, président du tribunal de Banfora, ainsi que ses coaccusés Lamine Tera et Adama Ganamé.
Entre 2022 et 2024, ces trois hommes auraient vendu frauduleusement 18 parcelles. Le montant total ? 108 millions de FCFA.
Des réquisitions lourdes
Le procureur ne fait aucune concession. Il accuse les prévenus d’avoir monté une opération frauduleuse pour s’enrichir personnellement. Les preuves, selon lui, ne laissent aucun doute.
Voici les peines demandées par le parquet :
Sidaty Yoda : 48 mois de prison, dont 24 mois ferme, plus 2 millions de FCFA d’amende.
Lamine Tera : 36 mois de prison, dont 18 mois ferme, et 1 million de FCFA d’amende.
Adama Ganamé : même peine que Lamine Tera.
Une affaire qui secoue l’institution
Ce procès dépasse le simple cadre judiciaire. Il révèle une crise profonde de confiance envers la justice. Un président de tribunal sur le banc des accusés pour stellionat et blanchiment ? Le symbole est fort.
Pour le parquet, cette affaire doit marquer les esprits. Il espère qu’une condamnation exemplaire enverra un message clair : personne n’est au-dessus des lois.
Ibrahim Traoré acclamé par les peuples : un vent de solidarité panafricaine contre les accusations de l’AFRICOM
Ce mercredi 30 avril 2025, un souffle inédit de solidarité panafricaine s’est levé aux quatre coins du monde. Des voix unies, issues d’Afrique, d’Amérique et d’ailleurs, se sont élevées pour soutenir le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, dans son combat audacieux pour la souveraineté du Burkina Faso — et au-delà, pour l’émancipation du continent africain tout entier.
À Ouagadougou, dès 6h du matin, une marée humaine affluait vers la mythique Place de la Révolution. Un meeting d’envergure y a été organisé pour témoigner d’un soutien populaire sans précédent envers un chef d’État burkinabè, depuis l’époque du légendaire Thomas Sankara. Cette mobilisation dépasse les frontières : elle réunit des panafricanistes, des Afro-descendants, ainsi que tous ceux qui aspirent à un monde plus juste, où la voix des peuples opprimés est enfin entendue.
Ce vaste élan de reconnaissance intervient dans un contexte de tension. En effet, le Commandant de l’US AFRICOM a récemment accusé le Capitaine Traoré d’utiliser l’or burkinabè à des fins personnelles. Des propos jugés diffamatoires par ses partisans, qui dénoncent une tentative de déstabilisation d’un dirigeant incarnant aujourd’hui une figure de résistance et de dignité pour l’Afrique.
Loin d’être affaibli, Ibrahim Traoré semble galvanisé par ce soutien populaire et international, qui voit en lui un nouveau symbole de l’Afrique debout, libre et maîtresse de ses ressources.
Tourisme en mutation : l’espace AES veut séduire le monde à Ouagadougou
La 5e édition de la Vitrine Internationale du Tourisme, de l’Hôtellerie et de la Restauration de Ouagadougou (VITHRO) a officiellement été lancée ce mardi 29 avril 2025. Présidé par le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, cet événement est un rendez-vous incontournable pour les professionnels du tourisme de la région.
Un thème ambitieux pour une coopération renforcée
Sous le thème « Quelles stratégies pour dynamiser le tourisme dans l’espace AES : enjeux et perspectives ? », la VITHRO 2025 réunit des acteurs venus de plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest, dont le Togo, pays invité d’honneur. L’objectif est de renforcer la coopération régionale entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger, en vue de développer un secteur touristique résilient et solidaire.
Le ministre Ouédraogo a souligné l’importance de faire du tourisme un levier stratégique pour l’économie et un moyen de renforcer la résilience face aux défis sécuritaires actuels. Il a encouragé les participants à réinventer les secteurs du tourisme, de l’art culinaire et des expressions culturelles locales, en valorisant les richesses uniques de la région.
VITHRO : Une vitrine pour le développement du secteur touristique
Célestin Zoungrana, président du comité d’organisation, a rappelé l’évolution de la VITHRO depuis sa création en 2017. L’événement est désormais une plateforme de réflexion stratégique, un espace de dialogue entre professionnels et un outil de promotion pour le secteur touristique.
Les activités proposées durant cette édition incluent des conférences thématiques, des rencontres B2B, des expositions, ainsi que des foires gastronomiques et artisanales. L’objectif est de répondre aux défis sécuritaires et économiques de la sous-région, tout en favorisant l’innovation dans le tourisme.
Un avenir prospère pour l’espace AES
Avec cette 5e édition, les organisateurs souhaitent positionner l’espace AES comme une destination touristique intégrée, capable de rivaliser avec d’autres régions du continent. Ils insistent sur la nécessité de mutualiser les efforts pour valoriser les identités culturelles locales et renforcer les partenariats interétatiques.
La cérémonie d’ouverture s’est conclue par une coupure de ruban symbolique et une visite des stands d’exposition, marquant ainsi le début de cinq jours d’activités tournées vers l’avenir du tourisme dans la région.
Banfora : un juge pris à son propre piège ? L’audio qui sème le chaos
L’audition des témoins et victimes s’est achevée. Désormais, la Chambre judiciaire est entrée dans une phase décisive : celle des confrontations directes entre prévenus et parties civiles. Ce mardi 29 avril 2025, l’audience a été marquée par un moment saisissant avec la diffusion d’un enregistrement audio impliquant directement le juge Sidaty Yoda.
Un appareil Boomer a été mobilisé pour permettre l’écoute d’un échange entre le juge Yoda et son co-prévenu Lamine Tera. Dans cet enregistrement, on entend clairement Yoda déclarer :
« Comme c’est moi qui ai créé cette situation, j’ai compris. C’est déjà gâté. Je suis prêt à assumer. »
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Des propos lourds de sens qui ont immédiatement suscité la réaction de la cour. Pourtant, à la barre, le président Yoda a tenté de relativiser : selon lui, l’audio fait référence à une ancienne affaire financière, sans lien avec celle actuellement jugée.
Mais son interlocuteur, Lamine Tera, également mis en cause, ne l’entend pas de cette oreille. « Je n’ai parlé d’aucune autre affaire avec lui. C’est uniquement celle-ci qui nous concerne, » a-t-il affirmé sans détour.
Un avocat a alors posé la question clé :
« Pourquoi le président Yoda dit qu’il est prêt à assumer ? »
La réponse de Tera a jeté une lumière crue sur les dessous du dossier :
« Parce que c’est lui qui a donné l’ordre et les numéros des parcelles. Voilà pourquoi il dit cela. »
La tension monte dans cette affaire judiciaire qui ébranle le système judiciaire local. Le sort du président du tribunal de Banfora pourrait bien basculer dans les prochains jours.
Affaire Sidaty Yoda : des témoignages accablants d’un proche et de victimes
Le procès très attendu opposant le ministère public à Sidaty Yoda et coaccusés a repris ce mardi 29 avril 2025 au Tribunal de grande instance de Ouaga 1. L’affaire concerne un supposé stellionat autour de parcelles litigieuses à Banfora, impliquant directement le magistrat.
Parmi les témoins clés figure Abdoulaye Sanou, mécanicien et ami de longue date du juge Sidaty Yoda. Son témoignage a surpris : il affirme n’avoir jamais été attributaire d’une parcelle à Banfora, contrairement aux déclarations du prévenu. Selon Yoda, c’est Sanou lui-même qui l’aurait informé d’une parcelle scellée à son nom. Une contradiction pointée par Me Prosper Farama, qui a qualifié ces incohérences de mensonge.
Sanou a aussi révélé que, convoqué à Banfora par la Gendarmerie, il a été pris en charge par Yoda, allant jusqu’à dormir chez lui. Une version que le juge conteste, affirmant ne l’avoir simplement questionné sur une vente de parcelle.
Autre moment fort du procès : le témoignage de M. Lallogo, qui affirme avoir reçu, dans le bureau de Yoda, une liste de parcelles à vendre. Là encore, le magistrat nie les faits.
Enfin, une victime a contredit Yoda sur sa maîtrise du Dioula, déclarant que leurs échanges s’étaient toujours déroulés dans cette langue, alors que le prévenu avait affirmé n’en avoir qu’un niveau moyen.
Entre témoignages accablants, démentis et zones d’ombre, ce procès met en lumière un possible scandale judiciaire impliquant un haut magistrat burkinabè. Le dossier reste sensible et très suivi par l’opinion publique.
Sahel–Atlantique : Quand Mohammed VI trace la route de l’avenir pour l’Afrique
Dans le cadre de l’ambitieuse Initiative Atlantique lancée par le Maroc en 2023, le roi Mohammed VI a accordé une audience officielle aux chefs de la diplomatie des trois pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES). Lundi, au Palais Royal de Rabat, le Souverain marocain a reçu M. Karamoko Jean Marie Traoré (Burkina Faso), M. Abdoulaye Diop (Mali) et M. Bakary Yaou Sangaré (Niger), réaffirmant ainsi la volonté du Maroc de consolider une coopération Sud-Sud concrète et durable.
Cette rencontre marque une nouvelle étape dans le partenariat stratégique entre Rabat et les capitales sahéliennes, basé sur la solidarité, le respect mutuel et une vision commune du développement africain. L’audience, empreinte de chaleur diplomatique, a permis d’exprimer des convergences de vues fortes sur les grands enjeux sécuritaires, économiques et géopolitiques de la région.
Les ministres sahéliens ont salué l’engagement du roi Mohammed VI en faveur du Sahel et ont remercié le Royaume pour ses efforts continus en matière de soutien au développement humain et d’intégration régionale. Ils ont particulièrement souligné l’importance de l’Initiative Atlantique, qualifiée de « transformation géopolitique majeure ». Ce projet vise à offrir aux pays enclavés du Sahel un accès stratégique et sécurisé à l’océan Atlantique, favorisant ainsi leur désenclavement, leur diversification économique et leur souveraineté énergétique.
En retour, les représentants de l’AES ont assuré de leur pleine mobilisation aux côtés du Maroc pour accélérer la mise en œuvre des corridors atlantiques et des mécanismes institutionnels associés. Ils ont également présenté au Souverain les avancées enregistrées dans la structuration de l’Alliance des États du Sahel, née en septembre 2023, pour répondre aux défis partagés de sécurité, de développement et d’affirmation politique.
Par cette audience de haut niveau, le Maroc affirme sa position de partenaire de confiance, engagé dans une approche fondée sur l’égalité, la non-ingérence et le respect de la souveraineté des États. L’Initiative Atlantique s’inscrit ainsi dans une vision plus large d’une Afrique puissante, solidaire et connectée, où les nations sahéliennes jouent un rôle central dans la recomposition des équilibres régionaux.
Face aux attaques, le peuple se lève : la CNAVC prépare un gigantesque meeting pour soutenir Ibrahim Traoré
Ce lundi 28 avril 2025, la Coordination nationale des associations de vieille citoyenne (CNAVC) a animé une conférence de presse à Ouagadougou pour dénoncer ce qu’elle qualifie de propos mensongers du Général américain Michaël Langley, Commandant de l’AFRICOM.
Les membres de la CNAVC ont exprimé leur profonde indignation face aux « tentatives répétées de déstabilisation, aux manipulations massives et aux menaces » visant le Burkina Faso et ses dirigeants depuis deux ans.
Pour eux, les récentes déclarations du Général Langley constituent un assaut verbal et politique contre la souveraineté du pays.
Un meeting pour défendre la souveraineté nationale
Face à ce qu’ils considèrent comme une ingérence inacceptable, la CNAVC a annoncé l’organisation d’un gigantesque meeting le mercredi 30 avril 2025, dès 8h du matin, à la Place de la Révolution de Ouagadougou.
L’objectif est clair : réaffirmer le soutien populaire au Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, et démontrer la résistance collective du peuple burkinabè.
Honoré Samandoulgou, Président du mois de la CNAVC, a lancé un appel vibrant à la mobilisation.
« Le peuple burkinabè doit sortir massivement pour défendre sa dignité et sa souveraineté », a-t-il déclaré, invitant chaque citoyen à faire du meeting un symbole fort de l’unité nationale face aux pressions extérieures.
Danemark–Burkina Faso : Un partenariat renforcé sous le signe du respect souverain
Le Premier ministre du Burkina Faso, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience, ce lundi 28 avril 2025, l’Ambassadrice et Représentante spéciale du Danemark pour les Grands Lacs et le Sahel, Nygaard Markussen. Elle était accompagnée de l’ambassadeur actuel au Burkina Faso, Kristian Kirkegaard Edinger.
Au centre des échanges : la situation mondiale, l’évolution régionale, ainsi que les relations bilatérales entre les deux nations.
Le Danemark réaffirme son engagement
À l’issue de l’entretien, Madame Nygaard Markussen a rappelé l’attachement du Danemark au respect de la souveraineté nationale.
« Le Danemark respecte les décisions souveraines de chaque pays. Nous sommes un petit pays qui prend également ses propres décisions souveraines », a-t-elle affirmé.
Elle a salué la solidité des relations entre le Burkina Faso et le Danemark, bâties depuis près de 40 ans sur des projets communs, notamment en agriculture et dans l’accès à l’eau potable.
Une relation de confiance renouvelée
Ancienne ambassadrice au Burkina Faso il y a quinze ans, Nygaard Markussen a exprimé son attachement particulier à ce partenariat.
Cette rencontre marque la volonté partagée des deux pays de poursuivre et de renforcer leur coopération, dans le respect des priorités et des valeurs de chacun.
