Le forum national sur la philanthropie communautaire pour un développement inclusif

L’Association burkinabè de Fundraising (ABF) a organisé, ce jeudi 20 mars 2025, le deuxième forum national sur le développement communautaire. Placé sous le thème « La philanthropie communautaire pour un développement local inclusif », cet événement a réuni des acteurs locaux et internationaux.

L’objectif est de renforcer l’engagement des communautés et d’optimiser la mobilisation des ressources pour un développement résilient.

La philanthropie communautaire : Une tradition africaine revisitée

Abdoulaye Sawadogo, directeur général de l’ABF, a souligné l’importance de la philanthropie. « C’est se réveiller le matin et souhaiter que son voisin ressente la même joie que soi », a-t-il déclaré.

Il a également mis en avant le travail collectif et la solidarité pour renforcer la résilience des communautés.

Explorer de nouveaux mécanismes de mobilisation des ressources

Fatmata Bancé, du Secrétariat permanent des organisations non gouvernementales (SPONG), a rappelé que la philanthropie communautaire est une tradition africaine.

Elle a insisté sur la nécessité de renforcer ces pratiques face à la réduction des financements internationaux. « Le développement endogène repose sur un financement endogène », a-t-elle affirmé.

Le soutien de l’African Philanthropy Network (APN)

La Directrice Exécutive de l’African Philanthropy Network (APN)Dr Stigmata Tenga, a salué cette initiative. Elle a souligné l’importance de renforcer la culture philanthropique en Afrique.

Ce forum a permis de réaffirmer la nécessité d’un engagement collectif pour un développement inclusif et durable.

Le Président Traoré en visite dans le Plateau-Central : Échanges et inauguration d’une cimenterie

Le Président du FasoCapitaine Ibrahim Traoré, est arrivé ce jeudi 20 mars 2025 à Ziniaré, dans la région du Plateau-Central. Il a été accueilli par les autorités administratives, coutumières et une population enthousiaste.

Échanges avec les forces vives de la région

Au cours de son séjour, le Président a rencontré des personnalités locales. Il a également échangé avec les forces vives de la région sur les questions de développement. Ces discussions visent à identifier les priorités pour améliorer les conditions de vie des habitants.

Inauguration de la cimenterie Sino Burkina

Le point d’orgue de cette visite a été l’inauguration de la Société industrielle Sino Burkina de ciments S.A., située à Laongo, dans la commune de Ziniaré. Cette cimenterie représente un investissement stratégique pour le développement économique de la région.

Canicule au Burkina Faso : L’ONEA renforce l’accès à l’eau potable

Face à la canicule qui frappe le Burkina Faso, l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) a organisé, le mardi 18 mars 2025, une visite terrain pour les journalistes. L’objectif : montrer les actions concrètes mises en place pour garantir l’accès à l’eau potable malgré la forte demande.

La visite a débuté sur le site du booster de Boassa, une nouvelle installation qui permet d’acheminer l’eau vers les zones élevées. “Un booster prend l’eau à faible pression et la fait monter pour alimenter les zones hautes”, a expliqué Moussa Siemdé, directeur régional de Ouagadougou. Cette innovation vise à desservir des quartiers comme la cité Abdoul Service de Boassa.

Ensuite, les journalistes ont découvert le forage SE4 de Boassa, réhabilité et équipé de 22 panneaux solaires. Avec un débit de 6m³ par heure, il alimente environ 800 personnes quotidiennement. Ce forage fait partie des 70 réhabilités sur une centaine à l’arrêt.

Flandion Idrissa Sourabié, directeur général de l’ONEA, a souligné les défis actuels : un déficit de production de 43 542 m³ d’eau potable, causé par l’urbanisation rapide, la démographie galopante et les conditions hydrogéologiques difficiles. Il a également évoqué les problèmes liés à la pollution, à l’instabilité des équipements et à la situation sécuritaire.

Malgré ces défis, l’ONEA reste déterminé à innover et à collaborer pour améliorer l’accès à l’eau. M. Sourabié a appelé les populations à adopter une utilisation responsable de l’eau, en évitant le gaspillage et en faisant des réserves minimales.

Cette visite a permis de mettre en lumière les efforts de l’ONEA pour faire face à la crise de l’eau dans un contexte de canicule et de forte demande. Des solutions innovantes et une collaboration renforcée sont au cœur de leur stratégie pour garantir l’accès à l’eau potable pour tous.

Les JEPPC 2025 pour renforcer l’ordre et la discipline

La première phase des Journées Nationales d’Engagement Patriotique et de Participation Citoyenne (JEPPC) 2025 se tiendra du 26 mars au 9 avril sur l’ensemble du territoire burkinabè, ainsi que dans les missions diplomatiques et consulaires. Placée sous le thème “Pour l’ordre et la discipline : je m’engage !”, cette édition vise à raviver les valeurs sociales et patriotiques essentielles au développement du pays.

Institutionnalisées par le décret n°2024-0354 du 3 avril 2024, les JEPPC ont pour objectif de renforcer la cohésion sociale, le vivre-ensemble et la discipline dans tous les secteurs de la vie nationale. Selon Harouna Kadio, secrétaire général du ministère en charge de la justice, l’effritement des valeurs telles que l’intégrité, le patriotisme et l’esprit de sacrifice menace le développement socio-économique du Burkina Faso.

“Ces journées rappellent au peuple burkinabè les valeurs ancestrales qui ont toujours fait la fierté de notre nation”, a-t-il déclaré. Organisées deux fois par an, les JEPPC mobilisent l’ensemble des acteurs publics et privés, ainsi que les citoyens, autour d’activités civiques et éducatives.

Parmi les activités prévues figurent des montées des couleurs, des conférences sur la participation citoyenne dans les écoles et universités, ainsi que le lancement du prix du meilleur engagement citoyen. Le thème de cette première phase, axé sur l’ordre et la discipline, vise à instaurer une culture de la discipline comme “mode de vie” dans l’armée, l’administration, les écoles, les marchés et les communautés locales.

Le bilan de l’édition 2024, présenté par Benjamin Sow, directeur général de la promotion de la citoyenneté et de la paix, révèle une mobilisation croissante au sein des institutions publiques et un éveil du sentiment patriotique. Cependant, la participation des organisations de la société civile reste à renforcer.

Avec ces initiatives, les JEPPC ambitionnent de redynamiser l’engagement citoyen et de consolider les bases d’un Burkina Faso uni et discipliné.

Déguerpissement des occupants illégaux des voies ferrées à Ouagadougou

Ce mardi 18 mars 2025, le ministère des Infrastructures et du Désenclavement du Burkina Faso, à travers la Société de gestion du patrimoine ferroviaire (SOPAFER-B), a lancé une opération de déguerpissement des occupants illégaux des emprises ferroviaires à Ouagadougou. Cette initiative vise à libérer les zones situées le long des voies ferrées dans les arrondissements 2, 3, 4 et 8 de la capitale burkinabè.

Une opération nécessaire pour sécuriser et moderniser

Selon Germain Bagoro, directeur de la SOPAFER-B, les textes en vigueur stipulent qu’une bande de 25 mètres de part et d’autre de la voie ferrée doit être libérée. « Personne ne doit s’installer dans cette zone, car elle fait partie du patrimoine ferroviaire », a-t-il expliqué. Il a également souligné que cette occupation illégale met en danger les occupants et entrave les travaux de modernisation du réseau ferroviaire.

Sensibilisation préalable et résistance

Avant de recourir à cette opération, la SOPAFER-B a mené plusieurs campagnes de sensibilisation en collaboration avec les délégations spéciales des arrondissements concernés. Malgré ces efforts, de nombreux occupants, notamment des ferrailleurs, ont refusé de quitter les lieux, ce qui a conduit à l’intervention actuelle.

Les enjeux de la modernisation ferroviaire

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un projet plus large visant à moderniser le patrimoine ferroviaire du Burkina Faso. La libération des emprises est essentielle pour garantir la sécurité des infrastructures et permettre la réalisation des travaux prévus. Elle contribuera également à améliorer la fluidité du transport ferroviaire, un enjeu crucial pour le développement économique du pays.

Réactions et perspectives

Les autorités espèrent que cette opération permettra de rétablir l’ordre et de sécuriser les voies ferrées. Cependant, elle soulève également des questions sur le sort des personnes déguerpies et sur les mesures d’accompagnement qui seront mises en place pour les reloger.

Le déguerpissement des occupants illégaux des emprises ferroviaires à Ouagadougou marque une étape importante dans la modernisation du réseau ferroviaire burkinabè. Reste à voir comment cette initiative sera perçue par les populations concernées et quelles seront ses répercussions à long terme sur le développement des infrastructures du pays.

Ouagadougou s’attaque à la gestion durable des déchets

Ce lundi 17 mars 2025, le Président de la Délégation spéciale de la commune de Ouagadougou, M. Maurice Konaté, a participé au lancement d’un atelier technique régional dédié à la gestion durable des déchets et à la réduction des émissions de polluants organiques persistants (POP) et de mercure dans les pays de l’UEMOA. Cet événement, qui se poursuivra jusqu’au 21 mars, vise à harmoniser les cadres réglementaires et à renforcer les capacités des collectivités locales en matière de gestion des déchets.

Un besoin criant en infrastructures

Dans son allocution, M. Maurice Konaté a souligné les efforts déjà déployés par la municipalité de Ouagadougou pour améliorer la gestion des déchets. Cependant, il a reconnu que les besoins en infrastructures restent immenses. « Malgré nos efforts, nous avons encore besoin de soutien pour construire des infrastructures adéquates, renforcer nos capacités institutionnelles et sensibiliser les populations à une prise de conscience collective », a-t-il déclaré.

Le Président de la Délégation spéciale a également appelé à un engagement accru des États et des partenaires techniques et financiers pour accompagner les collectivités locales dans cette transition vers une gestion durable des déchets.

Une priorité gouvernementale

Le ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, M. Roger Baro, a quant à lui rappelé que la gestion durable des déchets est une priorité pour le gouvernement burkinabè. « Cette question est au cœur de nos préoccupations, car elle impacte directement la santé publique et l’environnement », a-t-il affirmé lors de son discours d’ouverture.

M. Baro a invité les participants à formuler des recommandations concrètes et à prendre des résolutions fermes pour améliorer la gestion des déchets dans la région. Il a également insisté sur l’importance d’harmoniser les cadres réglementaires entre les pays de l’UEMOA afin de faciliter la mise en œuvre de projets transfrontaliers.

Réflexions sur le financement des projets

M. Mouabarak Moukaila, directeur du financement du développement durable, a pour sa part mis l’accent sur la question cruciale du financement. « Cet atelier est une opportunité pour réfléchir à des mécanismes innovants de financement des projets de gestion des déchets », a-t-il expliqué. Il a également souligné la nécessité de mobiliser des ressources supplémentaires pour soutenir les initiatives locales et régionales.

Un atelier aux enjeux multiples

Cet atelier s’inscrit dans le cadre d’un projet régional visant à réduire les émissions de polluants organiques persistants non intentionnels (UPOP) et de mercure, deux substances particulièrement nocives pour la santé humaine et l’environnement. Les participants, venus des pays membres de l’UEMOA, travailleront pendant cinq jours à l’élaboration de stratégies communes pour améliorer la gestion des déchets et réduire la pollution.

Une photo de famille symbolique

À l’issue de la cérémonie d’ouverture, les participants ont posé pour une photo de famille, symbolisant l’engagement collectif des pays de l’UEMOA à relever les défis de la gestion des déchets et de la réduction des émissions toxiques.

Vers un avenir plus durable

Cet atelier marque une étape importante dans la lutte pour une gestion durable des déchets en Afrique de l’Ouest. En réunissant experts, décideurs et partenaires techniques, il offre une plateforme unique pour échanger des idées, partager des bonnes pratiques et définir des actions concrètes.

Alors que Ouagadougou et les autres villes de la région font face à des défis croissants en matière de gestion des déchets, cet événement pourrait bien poser les bases d’un avenir plus propre et plus durable pour tous.

SONABEL : Coupure d’électricité à Ouagadougou le 15 mars 2025

La SONABEL informe ses abonnés du Centre Régional de Consommation de Ouagadougou (CRCO) qu’une coupure d’électricité aura lieu le samedi 15 mars 2025 de 8h à 14h dans les quartiers de NonsinTampouy et Kilwin. Cette interruption est nécessaire pour réaliser des travaux de renforcement du réseau de distribution.

Objectif des travaux

Ces travaux visent à améliorer la qualité de la desserte électrique dans la région. La SONABEL précise que ces interventions permettront de renforcer l’infrastructure existante et de garantir un service plus fiable à long terme.

Mesures de sécurité

Pendant la coupure, la SONABEL recommande aux habitants de considérer que les appareils et installations restent sous tension. Cette précaution est essentielle pour éviter tout risque d’accident.

Excuses et engagement

La SONABEL présente ses excuses à ses abonnés pour les désagréments occasionnés. « Nous travaillons ensemble au service d’une grande ambition : offrir une énergie de qualité à tous », souligne l’entreprise.

conférence nationale pour soutenir veuves et orphelins de guerre

Sous le très-haut patronage du Président du FasoCapitaine Ibrahim Traoré, l’Agence de soutien aux veuves, orphelins et victimes de guerre (ASVOVIG) organise du 11 au 13 mars 2025 à Ouagadougou une conférence nationale sur le thème : « Reconstruction psychosociale et autonomisation des veuves et orphelins des forces combattantes : état des lieux et perspectives ».

Un espace de dialogue et de solutions
Cette conférence réunit des experts, des chercheurs, des structures associatives, ainsi que des veuves et orphelins des forces combattantes. Durant trois jours, des communications permettront aux participants de cerner les enjeux liés à la prise en charge psychosociale et à l’autonomisation de ces populations vulnérables.

Une initiative saluée
Le Directeur général de l’ASVOVIG, le Médecin Colonel Lamine Ouédraogo, a souligné l’importance de cet événement. « Cette conférence est un espace de dialogue où chacun pourra proposer des pistes de solutions et contribuer à construire un modèle de résilience adapté aux défis de notre pays », a-t-il déclaré. Il a également exprimé sa gratitude envers le Président Traoré pour son soutien constant.

Priorité nationale
Le ministre d’État de la Défense et des Anciens Combattants, le Général de brigade Célestin Simporé, a rappelé que la prise en charge des veuves et orphelins des forces combattantes est une priorité pour les autorités burkinabè. « La création de l’ASVOVIG témoigne de cette volonté. Cette conférence s’inscrit parfaitement dans ses missions : soutien psychosocial, assistance juridique, formation et réinsertion professionnelle », a-t-il affirmé.

13 milliards FCFA de matériel agricole pour l’autosuffisance alimentaire

Le Président du Burkina FasoCapitaine Ibrahim Traoré, a remis ce mardi 11 mars 2025 un important lot de matériel agricole d’une valeur de 13 milliards FCFA au ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques. Cette initiative s’inscrit dans sa vision de souveraineté alimentaire pour le pays.

Un équipement de pointe pour l’agriculture
Le matériel, destiné à l’Office national des barrages et des aménagements hydroagricoles (ONBAH) et à la Société nationale de l’aménagement des terres et de l’équipement rural (SONATER), comprend :

  • 10 pelles chargeuses10 excavatrices10 niveleuses33 compacteurs25 bulldozers, et 2 tractopelles.
  • Des moyens roulants tels que 2 citernes à carburant6 citernes à eau18 camions bennes, et 5 autos-bétonnières.

Objectif : renforcer l’autosuffisance alimentaire

Selon le ministre d’État Ismaël Sombié, ce matériel permettra de réaliser des travaux d’aménagement pour mobiliser l’eau et accroître les superficies cultivables. « Ces engins contribueront à la réussite de l’Initiative présidentielle pour la production agricole et de l’Offensive agropastorale 2023-2025 », a-t-il déclaré.

Une vision concrète pour le développement rural

Le Président Traoré a insisté sur l’importance de mettre ces engins au travail rapidement. « Ils doivent être un facteur clé pour résoudre la question de la mobilisation de l’eau et renforcer notre autosuffisance alimentaire », a-t-il souligné.

Le Président Ibrahim Traoré inaugure un complexe industriel de détergent à Pabré

Le Président du FasoCapitaine Ibrahim Traoré, a inauguré le jeudi 6 mars 2025 le Complexe industriel de détergent Fassi (CIDF) dans la commune de Pabré, région du Centre. Cette unité industrielle, spécialisée dans la fabrication de produits de nettoyage tels que les détergents en poudre, le savon liquide et solide, représente un pas de plus vers l’industrialisation du Burkina Faso.

Un projet ambitieux pour l’économie nationale
Bâti sur un site d’un hectare, le CIDF a mobilisé un investissement de 4,5 milliards de FCFA et dispose d’une capacité de production de 300 tonnes par jour. Selon le Président Traoré, ce complexe contribuera à la création de 122 emplois permanents, plus de 300 emplois directs et près de 1 600 emplois saisonniers, participant ainsi à la lutte contre le chômage.

Dans son discours d’inauguration, prononcé par le ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, le Chef de l’État a salué l’audace entrepreneuriale du promoteur, Mady Sawadogo, dont le projet s’inscrit parfaitement dans la vision gouvernementale de bâtir une économie autonome, dynamique et compétitive. « Ce complexe réduira notre dépendance aux importations et améliorera notre balance commerciale », a-t-il déclaré.

Un symbole de l’industrialisation
Le Président Traoré a réaffirmé son engagement à soutenir le secteur privé pour en faire un véritable levier de croissance économique et de progrès social. « Nous allons continuer à encourager tous ceux qui se lancent dans l’industrialisation. Nous les accompagnerons pour que notre pays soit prospère », a-t-il souligné.

Le promoteur du CIDF, Mady Sawadogo, a exprimé sa gratitude envers le Chef de l’État pour son soutien et a réitéré son engagement à contribuer au développement économique du Burkina Faso.

Letsgo, le premier service de taxis 100% électriques, fait son entrée à Ouagadougou

Une nouvelle ère de la mobilité s’ouvre au Burkina Faso avec le lancement de Letsgo, premier service de taxis 100% électriques du pays. Initiée par Patrick Paré, cette innovation marque un tournant majeur dans le secteur du transport en Afrique de l’Ouest, combinant modernité, confort et respect de l’environnement.

Une alternative écologique et technologique

Annoncé le jeudi 27 février 2025 à Ouagadougou, Letsgo se positionne comme une solution durable face aux défis environnementaux et urbains. Doté de véhicules haut de gamme, ce service de voitures de transport avec chauffeur (VTC) garantit une expérience unique aux passagers :
Zéro émission de CO2 pour un environnement plus sain
Intérieur premium avec climatisation, wifi et chargeur USB
Trajets silencieux et fluides, offrant un confort optimal

Selon Patrick Paré, l’objectif est de positionner le Burkina Faso à l’avant-garde de la mobilité durable et de prouver qu’il est possible d’allier écologie, modernité et excellence de service.

Une application dédiée pour une expérience optimisée

En parallèle du lancement des véhicules, l’application Letsgo a été dévoilée, permettant aux utilisateurs de commander un taxi en quelques clics et de suivre leur trajet en temps réel. Disponible sur iOS et Android, elle intègre des solutions de paiement modernes comme Moov Money, Orange Money, Wave et les cartes bancaires.

« Notre ambition est de redéfinir les standards du transport privé en Afrique et d’offrir un service sécurisé, personnalisé et irréprochable », a affirmé le promoteur.

Un engagement en faveur du développement durable

Au-delà du transport, Letsgo s’inscrit dans une démarche économique et culturelle au Burkina Faso :
Emploi local : recrutement exclusif de chauffeurs burkinabè
Promotion de la culture : playlists musicales locales et valorisation des artistes burkinabè
Sensibilisation à l’écologie : initiatives pour la réduction des émissions de CO2

Une offre spéciale pour marquer le lancement

Pour fêter cette révolution de la mobilité au Burkina Faso, Letsgo propose 30% de réduction sur la première course. Une occasion idéale pour tester cette expérience innovante et écologique.

Avec Letsgo, Ouagadougou franchit un pas vers un futur plus vert et plus connecté. Une avancée majeure qui pourrait inspirer d’autres pays du continent.

Inauguration de la minoterie Double Star : Un pas de plus vers l’industrialisation du Burkina Faso

(Ouagadougou, 20 février 2025) – Ce jeudi matin, le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a procédé à l’inauguration de la minoterie Moulin Double Star (M2S), située à Gampéla, dans la commune de Saaba, région du Centre.

Cette nouvelle structure industrielle spécialisée dans la production de farine de blé incarne la vision du gouvernement de transformer les productions locales pour impulser le développement industriel du pays. Elle s’inscrit dans le cadre de la politique d’industrialisation soutenue par le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, visant à réduire la dépendance aux importations et à favoriser la transformation des matières premières burkinabè.

Encourager l’Investissement Local et Externe

Dans son discours, le Président du Faso a exprimé son soutien à cette initiative privée, en soulignant l’importance de l’industrialisation pour le Burkina Faso. « Nous venons encourager le promoteur certes, mais à travers lui, nous invitons les Burkinabè qui sont en mesure de transformer nos matières premières, d’industrialiser le pays », a-t-il déclaré. Le Chef de l’État a également lancé un appel aux Burkinabè de l’extérieur pour investir dans leur pays et participer activement à cette dynamique de transformation.

Un Investissement de Taille

La minoterie Double Star, dont la construction a coûté 15 milliards FCFA, dispose d’une capacité de production de 220 tonnes de farine et 80 tonnes de son par jour. Elle va également créer près de 300 emplois directs et plus de 10 000 emplois saisonniers. Cette initiative privée est un exemple concret de la politique industrielle menée par le gouvernement.

Le promoteur de l’usine, El Hadj Souleymane ZIDNABA, président du conseil d’administration du groupe ZIDNABA, a souligné l’importance de ce projet dans le cadre de la réduction des importations. Ancien importateur de farine de blé, il a compris la nécessité de se tourner vers la transformation locale pour répondre aux besoins du marché intérieur. « Nous avons lancé la réalisation de ce complexe industriel pour répondre à l’appel du gouvernement, en transformant localement nos matières premières », a-t-il affirmé.

Vers une Auto-suffisance Industrielle

Le Moulin Double Star représente bien plus qu’un simple investissement : il est un symbole de l’engagement du gouvernement à renforcer l’autosuffisance industrielle du pays, tout en créant des emplois durables pour les Burkinabè. En invitant les producteurs locaux à s’investir dans la culture du blé, le Président du Faso a souligné l’importance d’une collaboration active entre le secteur privé et les producteurs pour répondre aux besoins en matières premières de l’usine.

L’Ordre des Urbanistes organise la première édition des 72 heures de l’Urbaniste

L’Ordre des Urbanistes du Burkina (OUB) tient, du 20 au 22 février 2024 à Ouagadougou, la première édition des 72 heures de l’Urbaniste. Placée sous le thème « Développement urbain durable en Afrique : rôle de l’urbaniste en temps de crise », cette rencontre réunit des experts pour réfléchir aux défis de l’urbanisation.

Un secteur en pleine mutation

Dahouda Ouédraogo, président de l’OUB, a souligné les nombreuses difficultés du secteur, notamment la croissance urbaine accélérée, le manque d’infrastructures et de logements adaptés. Il estime que cet événement constitue une réponse aux enjeux du développement urbain.

« Nous devons repenser les méthodes de planification et intégrer les préoccupations écologiques, sociales et économiques », a-t-il déclaré. Il a aussi insisté sur l’importance du dialogue entre tous les acteurs pour améliorer les pratiques urbanistiques.

Des solutions concrètes pour un urbanisme durable

Au programme, les participants prendront part à des conférences, ateliers et tables rondes. Une visite des quartiers non lotis et des projets d’aménagement est aussi prévue. « Nous explorerons des solutions adaptées à notre contexte et réfléchirons aux meilleures stratégies pour améliorer nos pratiques », a ajouté Dahouda Ouédraogo.

L’événement accueille le Mali et le Niger comme pays invités d’honneur, renforçant ainsi la coopération régionale sur ces enjeux.

Un engagement politique fort

Lors du lancement, Ousmane Bougouma, président de l’Assemblée législative de transition (ALT), a salué cette initiative qui sensibilise le public aux enjeux de l’aménagement urbain. Le ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, Mikailou Sidibé, a également félicité les urbanistes pour ce choix de thème, rappelant leur rôle clé dans la construction de villes résilientes face aux crises économiques, climatiques, sanitaires et sécuritaires.

« L’adoption de technologies modernes et innovantes permettra de proposer des solutions durables et adaptées aux besoins des populations urbaines et déplacées internes », a-t-il affirmé.

Vers un urbanisme plus inclusif et durable

Ces 72 heures d’échanges et de réflexion marquent une étape clé pour l’urbanisme au Burkina Faso. Elles visent à promouvoir des politiques urbaines ambitieuses et des solutions adaptées aux réalités africaines.

iPhone 16e : Le Nouvel entrée de gamme d’Apple dévoilé avec IA et USB-C

Ce mercredi 19 février 2025, Apple a officialisé son tout nouvel iPhone 16e, un smartphone conçu pour démocratiser l’expérience iPhone avec un prix attractif de 719€. Ce modèle, qui remplace l’ancien iPhone SE, s’inscrit comme l’entrée de gamme de la marque tout en offrant des performances et des fonctionnalités dignes des modèles haut de gamme.

Design et Écran : Une Modernisation Attendue

L’iPhone 16e adopte un design moderne inspiré des derniers iPhone, avec un écran OLED de 6,1 pouces, une nette amélioration par rapport à l’écran de 4,7 pouces de l’ancien iPhone SE. L’encoche, similaire à celle de l’iPhone 14 de base, remplace le Touch ID par le système de déverrouillage facial Face ID.

Performances et Intelligence Artificielle

Sous le capot, l’iPhone 16e est équipé de la puce A18, bien que dans une version légèrement moins puissante (4 cœurs) que celle des iPhone 16. Néanmoins, cette puce permet de faire tourner Apple Intelligence, l’IA maison d’Apple, intégrée à Siri et aux outils d’écriture. ChatGPT est également de la partie, offrant des fonctionnalités avancées pour les utilisateurs.

USB-C et Connectivité

Conformément à la réglementation européenne, l’iPhone 16e intègre un port USB-C, une première pour un iPhone d’entrée de gamme. Il est également équipé d’un modem 5G entièrement conçu par Apple, fruit du rachat des activités 5G d’Intel.

Appareil Photo et Fonctionnalités Satellite

Le module photo « Fusion » de 48 mégapixels, avec un téléobjectif 2x, permet de capturer des images de qualité et de filmer en 4K à 60 images par seconde. Les utilisateurs bénéficient également des fonctionnalités par satellite d’Apple, comme le SOS d’urgence, l’Assistance routière et la localisation par satellite.

Prix et Disponibilité

L’iPhone 16e sera disponible en deux coloris (noir et blanc) et trois déclinaisons de stockage :

  • 128 Go à 719€
  • 256 Go à 849€
  • 512 Go à 1099€

Les précommandes débuteront le vendredi 21 février, avec une disponibilité en magasin dès le 28 février 2025.

Avec l’iPhone 16e, Apple réaffirme son engagement à rendre la technologie premium accessible à tous, sans sacrifier les innovations qui font sa réputation. Prêt à passer à l’iPhone sans vous ruiner ? L’iPhone 16e est fait pour vous !

Azalaï Hôtel Ouagadougou : Un nouveau souffle pour l’hôtellerie Burkinabè

Le lundi 17 février 2025, le Premier ministre burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a officiellement inauguré Azalaï Hôtel Ouagadougou, représentant ainsi Son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso. Ce nouvel établissement vient enrichir l’offre hôtelière de la capitale, confirmant son statut de carrefour touristique et économique.

Construit sur le site historique de l’ex-Hôtel Indépendance, Azalaï Hôtel Ouagadougou symbolise résilience et renouveau. Depuis son édification à l’aube de l’indépendance du Burkina Faso, cet hôtel a été le témoin de nombreux événements majeurs, accueillant chefs d’État, diplomates et investisseurs internationaux.

Un complexe hôtelier moderne et un levier économique

Avec 232 chambres aménagées, des salles de réunion, un restaurant et plusieurs bars, l’hôtel vise à répondre aux exigences des voyageurs et professionnels de passage. Son ouverture permettra la création de centaines d’emplois directs et indirects, renforçant ainsi le dynamisme économique local.

Cette infrastructure s’inscrit pleinement dans la stratégie nationale de développement du tourisme, qui ambitionne de faire de l’hôtellerie un moteur de croissance. Le Premier ministre a salué l’engagement du Groupe Azalaï et de ses partenaires financiers pour avoir concrétisé ce projet d’envergure.

Un partenariat public-privé au service du développement

« Je suis convaincu que cette synergie entre acteurs publics et privés contribuera à positionner notre pays comme une destination de choix en Afrique », a déclaré Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

L’ouverture d’Azalaï Hôtel Ouagadougou marque ainsi une nouvelle ère pour le secteur hôtelier burkinabè, affirmant la volonté du pays d’attirer davantage d’investissements et d’événements internationaux.

SYLVIE 2 : La nouvelle version du système d’import-export est lancée !

Le Système de Liaison Virtuelle pour les Opérations d’Importation et d’Exportation (SYLVIE) évolue ! Ce lundi 17 février 2025, la Direction générale des Douanes et la Société de gestion de la Plateforme SYLVIE (SOGESY) ont bel et bien lancé la nouvelle version du système à Ouagadougou.

Une version plus rapide, plus transparente et plus sécurisée

Présentée comme une version de « maturité », SYLVIE 2 intègre des innovations majeures, selon Adama Ilboudo, Directeur général des Douanes. Parmi les améliorations clés :
 Signature électronique pour réduire les interactions physiques et sécuriser les opérations.
 Meilleure ergonomie pour une utilisation simplifiée.
 Interopérabilité avec d’autres systèmes pour fluidifier les échanges.

Grâce à ces évolutions, SYLVIE 2 renforce la transparence et la traçabilité des transactions commerciales. « Il y a beaucoup plus de simplification et de sécurisation des recettes douanières », a souligné Adama Ilboudo, insistant sur l’impact positif de la digitalisation pour lutter contre la fraude et les pertes de revenus.

Un gain de temps considérable pour les entreprises

L’une des avancées les plus marquantes concerne la rapidité du traitement des dossiers. Daouda Garane, Directeur général de la SOGESY, a révélé un progrès spectaculaire :
 72 heures avec SYLVIE 13 heures seulement avec SYLVIE 2 !

Cette accélération drastique des délais facilitera les échanges commerciaux et réduira les coûts pour les entreprises, renforçant ainsi l’attractivité du Burkina Faso en matière d’import-export.

Un projet financé par la Banque Mondiale et réalisé par YULCOM Technologie

Le développement de SYLVIE 2 a été rendu possible grâce à un financement de la Banque Mondiale et a été réalisé par YULCOM TECHNOLOGIE , une entreprise canadienne fondée par le Burkinabè Jérôme Lankoandé .

Et après ? Vers une digitalisation encore plus poussée

Le Directeur général des Douanes a annoncé que d’autres améliorations suivront, notamment l’intégration de nouveaux acteurs et la dématérialisation progressive d’autres procédures administratives.

Avec SYLVIE 2, le Burkina Faso confirme son engagement en faveur de la modernisation des services douaniers et du climat des affaires. ?

Incendie d’un véhicule à Lanoayiri : aucune perte en vie humaine

Un véhicule a été totalement ravagé par les flammes ce lundi 17 février 2025 sur la Route nationale N°5 (RN5) , au quartier Lanoayiri , près du Centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Nongtaaba .

Un incendie spectaculaire, mais sans victime

L’incident s’est produit en début de matinée. À 9h30 , les Sapeurs-pompiers avaient déjà maîtrisé les flammes , sous les yeux d’une foule de curieux impuissants devant l’étendue des dégâts.

Les causes de l’incendie restent indéterminées , mais selon des témoins, le feu aurait démarré au niveau du moteur . Heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été signalée .

Un appel à la vigilance en période de canicule

Dans l’attente d’un communiqué officiel de la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers (BNSP) , cet incident rappelle l’importance d’une révision régulière des véhicules , surtout en période de forte chaleur .

Un bilan impressionnant de 90,98 % pour le ministère de la Communication en 2024

Le ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme a atteint un taux de réalisation des objectifs de 90,98 % en 2024. Malgré certaines difficultés, ce résultat témoigne des efforts engagés pour améliorer la communication, soutenir les médias et promouvoir la culture et le tourisme.

Renforcement de la communication et des médias

Le ministère a mis en place une stratégie efficace pour lutter contre la désinformation et renforcer la mobilisation nationale. Parmi les actions menées, la production d’émissions en langues nationales, des formations pour les médias et la diffusion de contenus de sensibilisation.

L’État a également renforcé le soutien aux médias. Il a octroyé des subventions aux médias privés et signé deux contrats-plans avec la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB) et les Éditions Sidwaya. De plus, l’Agence d’Information du Burkina (AIB) est devenue un établissement public de l’État.

Avancées dans la culture et le tourisme

En décembre 2024, une nouvelle loi a été adoptée pour organiser l’industrie cinématographique. Elle prévoit la création de l’Agence Burkinabè de la Cinématographie et de l’Audiovisuel. Cette structure vise à renforcer les capacités des acteurs et à garantir un financement stable du secteur.

Le pays a aussi accueilli plusieurs événements culturels d’envergure, notamment la 21ᵉ édition de la Semaine Nationale de la Culture (SNC) à Bobo-Dioulasso et le Salon International du Tourisme et de l’Hôtellerie de Ouagadougou (SITHO). Un autre fait marquant a été l’inscription de la Cour Royale de Tiébélé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Perspectives pour 2025

Le ministre Pingdwendé Gilbert Ouédraogo a salué l’engagement du personnel du ministère. Pour 2025, les priorités seront de consolider les acquis et de renforcer la lutte contre la désinformation. Le FESPACO, les Universités Africaines de la Communication de Ouagadougou (UACO) et les Prix Galian figurent parmi les grandes échéances.

Avec ces avancées, le Burkina Faso se positionne comme un acteur clé dans la valorisation de la culture et la structuration des médias en Afrique de l’Ouest.

Le ministère de l’Agriculture atteint 93,34 % de ses objectifs en 2024

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Ismaël Sombié, a présenté, ce jeudi 13 février 2025, le bilan des activités réalisées en 2024 au Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo. Avec un taux de réalisation de 93,34 %, le ministère affiche une performance remarquable.

Parmi les avancées notables figurent :
L’autosuffisance en maïs, qui renforce la sécurité alimentaire du pays.
L’extension des surfaces irriguées pour la culture du riz, contribuant à l’augmentation des rendements agricoles.
La géolocalisation et la reconstitution du cheptel, une initiative clé pour améliorer la gestion du secteur de l’élevage.

Malgré ces succès, des défis demeurent : l’aménagement des zones pastorales et la modernisation des infrastructures agricoles restent des priorités pour garantir une agriculture plus résiliente.

Avec ce bilan encourageant, le ministère de l’Agriculture entend poursuivre ses efforts en 2025 pour consolider ces acquis et relever les défis persistants.

Ouagadougou Déclare la Guerre aux Installations Anarchiques : Maurice Konaté Prévient, « Ce Sera Sans Pitié »

Maurice Konaté, président de la Délégation spéciale (PDS) de Ouagadougou, a annoncé la poursuite des opérations de déguerpissement des installations illégales le long des routes de la capitale. Lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi 12 février 2025, il a martelé que cette initiative vise à fluidifier la circulation et garantir la sécurité des habitants.

Plus d’excuses pour les réoccupants : la répression sera totale

Selon Konaté, des campagnes de sensibilisation et des mises en demeure ont été largement diffusées avant le début des expulsions. Malgré cela, certains occupants déguerpis reviennent s’installer illégalement. Pour eux, il n’y aura plus de clémence. Désormais, tout contrevenant devra assumer financièrement son déguerpissement. « Dès que nous prenons quelqu’un qui est revenu, le déguerpissement sera à sa charge, purement et simplement », at-il averti.

Stationnement anarchique dans le viseur

En plus des expulsions, la municipalité lance une nouvelle offensive contre le stationnement désordonné des moteurs sur la voie publique. Cette mesure vise à fluidifier la circulation et à prévenir les accidents.

Malgré cette fermeture, Maurice Konaté assure que les efforts de sensibilisation se poursuivront pour que la population prenne conscience des dangers de l’occupation anarchique des voiries. « Nous allons repartir sur le terrain et maximiser la sensibilisation », at-il conclu.

Le Ministre de la Sécurité félicite les Forces de Défense et de Sécurité lors de la montée des couleurs au GSI-GN

Ce lundi 10 février 2025, le Ministère de la Sécurité a organisé une cérémonie tournante de montée des couleurs au Groupement de Sécurité et d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GSI-GN), en présence de M. Mahamadou SANA, Ministre de la Sécurité.

Des mots d’encouragement pour les FDS et VDP

Dans son discours, M. SANA a adressé des mots de félicitations et d’encouragement aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ainsi qu’aux Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), dont l’engagement dans la lutte contre le terrorisme est constant. Il a souligné leur dévotion sans relâche, précisant qu’ils assurent la sécurité du pays jour et nuit, sans jours de repos. Grâce à leur courage, des événements comme cette cérémonie se déroulent dans la tranquillité et la sérénité.

Hommage aux victimes du terrorisme

Le Ministre a également eu une pensée émue pour les victimes du terrorisme, notamment les personnes déplacées internes (PDI), ainsi que pour ceux qui ont perdu la vie dans ce combat difficile. « Nos devanciers ont ouvert la voie et nous avons l’obligation de parachever cette œuvre », a-t-il affirmé, rappelant ainsi la nécessité de poursuivre la lutte contre le terrorisme sans relâche.

Soutien gouvernemental et leadership efficace

M. SANA a également salué le leadership efficace du commandement des forces de sécurité et exprimé sa reconnaissance envers l’ensemble des collaborateurs du Ministère, qui élaborent les stratégies et analyses essentielles à la sécurité intérieure.

Le ministre a conclu son allocution en réaffirmant la détermination du gouvernement à soutenir les forces de sécurité afin de faciliter leur travail sur le terrain et garantir l’éradication définitive de la menace terroriste qui pèse sur le pays.

Burkina Faso – UNFPA : Un partenariat renforcé pour la santé et l’autonomisation des femmes

Ce lundi 10 février 2025, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Karamoko Jean Marie TRAORE, a reçu le Représentant résident de l’UNFPA, Alain AKPADJI, accompagné de son équipe.

Au cœur des discussions : le bilan des actions menées en 2024 et les perspectives pour 2025, notamment dans les domaines de la santé reproductive, de la planification familiale et de la lutte contre les violences basées sur le genre.

Un engagement gouvernemental salué

Alain AKPADJI a souligné l’engagement fort du Burkina Faso en faveur des droits des femmes et des jeunes, malgré un contexte difficile. Il a rappelé les trois objectifs majeurs de l’UNFPA d’ici 2030 :

Zéro décès maternel évitable
Zéro besoin non couvert en planification familiale
Zéro cas de violences basées sur le genre

Le représentant de l’UNFPA a également félicité le gouvernement burkinabè pour son financement à hauteur de 600 millions de francs CFA dédié à la planification familiale et la promotion du programme SWEED, un projet phare pour l’autonomisation des femmes et le développement économique.

Des attentes fortes pour 2025

Alors que l’UNFPA souhaite poursuivre son action en 2025, Alain AKPADJI a exprimé son espoir de renforcer la coopération avec le gouvernement pour accélérer les progrès en matière de santé et d’égalité des sexes.

De son côté, Karamoko Jean Marie TRAORE a salué l’impact positif des interventions de l’UNFPA et a réaffirmé l’engagement des autorités à rapprocher les services de santé des populations. Il a également insisté sur l’importance du programme SWEED pour améliorer les conditions de vie des femmes burkinabè.

Avec ces efforts conjoints, le Burkina Faso trace la voie vers une société plus inclusive et équitable, où chaque femme et chaque jeune peut accéder à des soins de qualité et à une pleine autonomie.

Coupure d’électricité programmée à Ouagadougou le 8 février 2025

La SONABEL (Société Nationale d’Électricité du Burkina) informe ses abonnés du Centre Régional de Consommation de Ouagadougou (CRCO) que des travaux d’entretien et de raccordement de nouveaux postes HTA/BT auront lieu le samedi 8 février 2025. Ces opérations sont essentielles pour améliorer la qualité du réseau de distribution d’électricité de la ville.

Afin d’assurer la sécurité et le bon déroulement des travaux, la fourniture d’électricité sera temporairement suspendue de 08h00 à 13h00 dans plusieurs zones de Ouagadougou. Les quartiers concernés par cette coupure sont les suivants : Patte d’Oie, Tanghin-Dassouri, Taonsogo, Koudiéré, Kayao, Komki-Ipala, Tintilou, Kokologo, Sakoinsé, Bouloré et Pitmoaga.

La SONABEL rappelle à ses abonnés que pendant la période de l’intervention, les appareils et installations doivent être considérés comme étant sous tension, et ce, par mesure de sécurité.

L’entreprise présente par avance ses excuses pour les désagréments occasionnés par cette coupure et remercie sa clientèle pour sa compréhension.

SONABEL, ensemble au service d’une grande ambition !

« Troisième édition de l’Assemblée annuelle des services du Budget à Ouagadougou : enjeux et perspectives en période de crise sécuritaire

Les 6 et 7 février 2025, Ouagadougou accueille la troisième édition de l’Assemblée annuelle des services du Budget (AASB). Cette rencontre est présidée par le ministre de l’Économie et des Finances, Aboubakar Nacanabo. L’objectif est de discuter des défis spécifiques à la gestion budgétaire en période de crise sécuritaire.

Un cadre de concertation essentiel :

L’AASB est une plateforme de discussion entre la Direction générale du Budget (DGB) et les acteurs des finances publiques. Ce cadre permet d’aborder des sujets d’intérêt général liés aux missions de la DGB. Pour cette édition, le thème principal est : « Élaboration et exécution du budget de l’État : enjeux et perspectives dans le contexte de défi sécuritaire » .

L’importance du choix du thème :

Brigitte Marie Suzanne Wend-La-Mita Compaoré/Yoni, directrice générale du Budget, a justifié ce choix par la situation actuelle du pays. Elle a souligné la nécessité de réorienter les ressources budgétaires pour restaurer l’intégrité du territoire national, tout en soutenant les autres secteurs de développement.

Réflexion sur la gestion budgétaire :

Durant ces deux jours, les participants analyseront le processus budgétaire à la lumière du contexte sécuritaire actuel. Ils identifieront les obstacles à l’élaboration et à l’exécution du budget et discuteront des ajustements nécessaires pour concilier sécurité et développement économique et social.

Un hommage aux anciens acteurs du secteur budgétaire :

L’assemblée a aussi été l’occasion de rendre hommage aux anciens acteurs du secteur budgétaire. Des attestations de reconnaissance ont été remises aux ministres, secrétaires généraux et directeurs techniques pour leur contribution à l’optimisation des dépenses publiques.

Les mots de Saïdou Diallo :

Saïdou Diallo, conseiller technique du ministre Nacanabo, invité aux participants aux échanges francs. Il a insisté sur l’importance des recommandations issues de l’assemblée pour guider les actions du ministère dans un contexte en constante évolution.

L’avenir du secteur budgétaire :

M. Diallo a ajouté : « Cette rencontre est une occasion unique pour croiser diverses expertises et mutualiser nos efforts afin d’assurer une gestion budgétaire plus efficace et résiliente. » Les recommandations seront exploitées pour renforcer le processus budgétaire.

Cette troisième édition de l’AASB marque un moment clé pour la gestion budgétaire du pays. Les échanges et les conclusions de ces deux jours devraient permettre d’adapter le budget de l’État aux réalités sécuritaires, tout en poursuivant les objectifs de développement national.

Gouvernement et Syndicats : Une Rencontre cruciale après quatre ans d’absence

Le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a ouvert, ce jeudi 6 février 2025 à Ouagadougou, la rencontre annuelle entre le gouvernement et les syndicats. Un rendez-vous attendu depuis 2021, marqué par des revendications syndicales fortes et un contexte national tendu.

Durant ces deux jours d’échanges (6 et 7 février 2025) à l’immeuble Baoghin, plusieurs points sont à l’ordre du jour : l’état de mise en œuvre des engagements de 2015, 2016 et 2021, ainsi que l’analyse des réponses du gouvernement aux doléances de 2022.

El Hadj Inoussa Nana, président de l’Unité d’Action Syndicale (UAS), a salué les efforts des forces de défense et de sécurité, tout en rappelant que plusieurs revendications demeurent sans réponse. Parmi les avancées, il a cité le départ des troupes françaises, la résolution des problèmes des travailleurs de la mairie de Ouagadougou et des ex-moniteurs. Toutefois, il dénonce l’absence de solutions pour certaines préoccupations majeures, notamment le licenciement de Moussa Diallo, la cherté de la vie et les lacunes dans l’opérationnalisation de l’assurance maladie universelle.

Jean Emmanuel Ouédraogo a rappelé que le dialogue social est un levier essentiel pour le développement du Burkina Faso. Il a mis en avant les avancées obtenues grâce à la concertation, telles que la mise en place de décrets sur la gestion des agents publics et la reconstitution de carrières professionnelles.

Les propositions issues de cette rencontre seront examinées avec attention, a promis le Premier ministre, tout en rendant hommage aux travailleurs exerçant dans des zones à fort enjeu sécuritaire.

Démantèlement d’un réseau de trafic d’enfants à la gare routière

Le lundi 3 février 2025, un réseau présumé de trafic d’enfants a été démantelé à la gare routière « OUAGA-INTER » à Ouagadougou. Trois suspects ont été interpellés alors qu’ils tentaient d’emmener treize jeunes victimes, âgées de 14 à 19 ans, vers une destination inconnue sous prétexte de leur offrir un emploi à l’étranger.

L’opération a été menée avec succès par la Direction Générale de la Police Municipale de Ouagadougou, qui a remis les suspects aux autorités compétentes en matière de protection de l’enfance. Les victimes ont été secourues et bénéficieront d’une assistance adaptée pour leur réinsertion.

Face à cette situation alarmante, la Police Municipale appelle les parents à redoubler de vigilance et encourage la population à signaler tout comportement suspect. Elle réaffirme son engagement à lutter contre le trafic d’enfants et à protéger les mineurs vulnérables.

? Signaler un cas :
? N° vert : 80 00 11 03
? WhatsApp (messages uniquement) : 70 00 83 41

Pingdwendé Gilbert Ouédraogo appelle à l’unité et à la réussite du FESPACO

Ce lundi 3 février 2025 , à l’ hôtel administratif de Ouagadougou , s’est tenue la traditionnelle cérémonie de montée des couleurs sous la présidence du Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo . Il était accompagné de ses collègues en charge de l’Action humanitaire (Commandant Passowendé Pélagie Kabré/Kaboré), de la Transition numérique (Aminata Sabané/Zerbo) et des Sports (Roland Somda) .

À cette occasion, le ministre a rappelé l’importance de l’assiduité et de la ponctualité au travail, exhortant les agents de l’administration publique à plus de rigueur dans l’accomplissement de leurs missions.

Il a également mis en avant un sujet phare de l’actualité nationale : la 29e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) , prévue du 22 février au 1er mars 2025 . Il a appelé à une mobilisation générale pour garantir le succès de cet événement culturel majeur pour le Burkina Faso et l’Afrique.

Abordant l’actualité médiatique, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo a énoncé des propositions de mensonges diffusés sur des médias ivoiriens , cherchant à diviser les peuples burkinabè et ivoirien . Il a assuré qu’une riposte communicationnelle efficace a été menée via les médias publics, privés et les réseaux sociaux pour rétablir la vérité.

« Que chacun de nous joue sa partition pour que l’information vraie soit toujours diffusée et que la désinformation ne trouve pas de place dans notre pays », at-il déclaré en conclusion.

Visa Liptako de l’AES : Un pas décisif vers l’intégration régionale dès février

L’Alliance des États du Sahel (AES) franchit une nouvelle étape vers l’intégration régionale avec la mise en place prévue, dès février, du Visa Liptako. Ce projet, discuté par les experts de l’organisation lors d’une réunion tenue à Bamako les 1er et 2 février 2025, vise à faciliter l’entrée des ressortissants non-Cédéao dans les trois pays membres : le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

Après le lancement récent du passeport biométrique commun, cette initiative marque un tournant stratégique pour renforcer les échanges commerciaux, dynamiser le tourisme et attirer les investissements dans la région. Les experts de l’AES ont travaillé sur une proposition de vignette sécurisée pour ce visa communautaire, qui sera prochainement soumise à l’examen et à la validation des ministres en charge de la sécurité des États concernés.

En favorisant la mobilité intra-africaine, le Visa Liptako s’inscrit dans une vision plus large de souveraineté et d’autonomie régionale, portée par l’AES face aux défis sécuritaires et économiques. Son adoption pourrait redéfinir les dynamiques de circulation au sein de l’espace sahélien et servir de modèle pour d’autres initiatives d’intégration en Afrique.

2e édition du Forum International sur l’Investissement Boursier (FIIB) : Vers des solutions innovantes pour le financement des économies africaines

Ouagadougou a accueilli la 2e édition du Forum International sur l’Investissement Boursier (FIIB) du 30 au 31 janvier 2025, organisé par la Société Africaine d’Ingénierie et d’Intermédiation Financières (SA2IF). Placé sous le thème « Défis et perspectives des marchés financiers en Afrique », cet événement a réuni experts, décideurs politiques, régulateurs financiers et investisseurs pour réfléchir ensemble aux solutions pour dynamiser le financement des économies africaines, en particulier à travers le marché boursier.

Le contexte difficile du financement en Afrique

Le Président directeur général de la SA2IF, Constantin Dabiré, a souligné les difficultés actuelles du Burkina Faso et de nombreux autres pays africains pour mobiliser les financements nécessaires à leurs économies. Dans ce contexte, il a insisté sur la nécessité de solutions innovantes et de mécanismes financiers adaptés. Le forum a donc été l’occasion d’aborder des sujets essentiels, comme la titrisation des créances, la digitalisation des marchés financiers et l’éducation financière.

« Ce forum permet de sensibiliser aux mécanismes de la bourse et de discuter des stratégies permettant de financer facilement nos projets et entreprises. C’est aussi l’opportunité de renforcer la coopération entre les acteurs pour soutenir le gouvernement burkinabè et ceux de la sous-région dans leurs besoins financiers », a expliqué M. Dabiré.

Des solutions innovantes pour un marché financier plus dynamique

Souleymane Nabolé, représentant du ministre chargé de l’économie, a affirmé que cet événement constituait un point de départ pour trouver des solutions innovantes en vue de rendre le marché financier plus dynamique. Il a également ajouté que les pays de l’AES (Afrique de l’Ouest) pourraient s’inspirer des recommandations issues du forum pour stimuler leur développement économique.

L’ancien gouverneur de la BCEAO, Damo Justin Barro, a quant à lui rappelé que, bien que le marché boursier ne soit pas encore largement perçu comme un outil de financement au Burkina Faso, des signes positifs se dessinent. Il a précisé que ces rencontres sont cruciales pour ancrer le marché boursier dans les mentalités et encourager une participation active des acteurs économiques, qui pourraient en tirer des bénéfices substantiels.

Des panels d’experts et des sessions de formation

Des panels animés par des experts financiers, dont Paul Kaba Thiéba, ancien Premier ministre, Seydou Bouda, ancien ministre, ainsi que des sessions de BtoB et des masterclasses, ont rythmé les deux journées du forum. Ces moments d’échanges ont permis de poser les bases d’un marché boursier plus structuré et mieux intégré au financement des projets stratégiques en Afrique.

Le Forum International sur l’Investissement Boursier a ainsi permis de renforcer les liens entre les acteurs économiques et politiques et d’ouvrir la voie à des solutions financières innovantes pour soutenir le développement des économies africaines.

Journée internationale de la Douane : Engagement, Sécurité et Prospérité au cœur des réformes au Burkina Faso

Les 30 et 31 janvier 2025, la Direction générale des douanes du Burkina Faso a célébré en différé la Journée internationale de la Douane (JID), placée cette année sous le thème : « Une douane qui concrétise ses engagements en matière d’efficacité, de sécurité et prospérité » . À Ouagadougou, la cérémonie d’ouverture a marqué le coup d’envoi de cette commémoration annuelle, soulignant l’importance du rôle de la douane dans le commerce international et la sécurisation des frontières.

Des réformes ambitieuses pour une douane moderne

Le directeur général des douanes, Adama Ilboudo, a insisté sur la nécessité de transformer les engagements en actions concrètes. Parmi les avancées notables figurent l’interfaçage du système douanier avec l’évaluation des véhicules CCVA, la digitalisation du Certificat de mise à la consommation ( eCMC ), et le déploiement imminent de la plateforme Sylvie 2. Ces innovations visent à fluidifier les échanges, accélère les opérations et renforce la transparence dans le recouvrement des recettes. L’interconnexion des systèmes informatiques avec les États membres de l’AES et le Togo est également une avancée majeure pour sécuriser le transit des marchandises.

Des performances remarquables malgré les défis

Avec un objectif de mobilisation de 1 106 milliards FCFA en 2024, les douanes burkinabè ont atteint 1 083 milliards FCFA, soit un taux de réalisation de 97,93 % et une progression annuelle de 5,86 %, équivalente à plus de 60 milliards FCFA. supplémentaires. Un défi plus ambitieux est fixé pour 2025 : collecter 1 253 milliards FCFA.

Le conseiller technique du ministère de l’Économie, Séré Mamadou, a salué ces performances en rappelant que la douane représente environ 42 % des recettes perçues au profit du budget de l’État, se positionnant ainsi comme le deuxième plus grand pourvoyeur de fonds publics au Burkina Faso.

Hommages et reconnaissance aux acteurs du secteur

Un moment fort de la cérémonie a été la remise de certificats de l’Organisation mondiale des douanes à titre posthume aux agents disparus tragiquement le 10 décembre 2024, en reconnaissance de leur engagement et sacrifice. Des certificats de mérite ont également été attribués aux inspecteurs, contrôleurs, assistants, personnel civil et partenaires, saluant leur contribution au développement et à la performance de l’institution douanière.

À travers cette célébration, le Burkina Faso réaffirme son engagement à moderniser et renforcer son administration douanière pour un commerce sécurisé, fluide et prospère.