Après plusieurs heures de combat avec des détonations énormes qui ont provoqué le déplacement massif des habitants, un signe d’accalmie règne dans la ville.
La ville de Bambari, capitale préfectorale de la Ouaka, vit dans l’après-midi du lundi 7 décembre sur le rythme des feux d’armes lourdes et légères.
La peur, la prudence et la vigilance occupent la pensée de la population de Bambari suite à la reprise de bruit de bottes des combattants de l’UPC du sulfureux général Ali Darass. Il aurait attaqué vers les 17heures du lundi dernier, la position des forces armées centrafricaines (FACA), non loin du pont N’guendet qui mène à l’Evêché Saint Michel de Bambari.
Selon les premiers éléments d’informations recueillies, certains habitants des quartiers Akpè et Bornou à l’ouest de la ville de Bambari, ont continué à regagner leur domicile dans la matinée de ce mardi. D’autres continuent de fuir pour se réfugier au quartier Kidikra, situé de l’autre côté de la rive de la Ouaka.
Cette information a été confirmée par le Préfet de la Ouaka, joint au téléphone. Il a confirmé que l’attaque a eu lieu bel et bien au niveau de la Paroisse Saint Michel de Bambari où se trouve une base des FACA.
La ville de Bambari, capitale préfectorale de la Ouaka, vit dans l’après-midi du lundi 7 décembre sur le rythme des feux d’armes lourdes et légères. Après plusieurs heures de combat avec des détonations énormes qui ont provoqué le déplacement massif des habitants, un signe d’accalmie règne dans la ville.
La peur, la prudence et la vigilance occupent la pensée de la population de Bambari suite à la reprise de bruit de bottes des combattants de l’UPC du sulfureux général Ali Darass. Il aurait attaqué vers les 17heures du lundi dernier, la position des forces armées centrafricaines (FACA), non loin du pont N’guendet qui mène à l’Evêché Saint Michel de Bambari.
Selon les premiers éléments d’informations recueillies, certains habitants des quartiers Akpè et Bornou à l’ouest de la ville de Bambari, ont continué à regagner leur domicile dans la matinée de ce mardi. D’autres continuent de fuir pour se réfugier au quartier Kidikra, situé de l’autre côté de la rive de la Ouaka.
Cette information a été confirmée par le Préfet de la Ouaka, joint au téléphone. Il a confirmé que l’attaque a eu lieu bel et bien au niveau de la Paroisse Saint Michel de Bambari où se trouve une base des FACA.