Ce lundi 24 février 2025, le Premier ministre burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé une audience aux ministres en charge de la Culture du Mali, du Sénégal, du Togo, ainsi qu’au Secrétaire général du ministère de la Culture du Niger.
Présents à Ouagadougou pour la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), ces hauts responsables sont venus présenter leurs civilités et exprimer leur reconnaissance aux autorités burkinabè pour l’accueil chaleureux et l’organisation réussie de cet événement emblématique du cinéma africain.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
La culture, moteur du développement panafricain
Le ministre malien de la Culture, Mamou Daffé, a salué l’hospitalité du Burkina Faso et souligné l’importance du FESPACO comme symbole de l’unité africaine.
Pour Khady Diène, ministre sénégalaise de la Culture, « l’art et la culture sont des piliers essentiels du développement durable en Afrique ». Elle a insisté sur la nécessité de transmettre notre patrimoine culturel aux générations futures.
Yawa Ahofa Kouigan, ministre togolaise de la Culture, a mis en avant la capacité de la culture à transcender les frontières et à renforcer l’identité africaine.
Un avenir prometteur pour le cinéma africain
Si les ministres reconnaissent les progrès du cinéma africain, ils appellent à davantage d’initiatives pour soutenir les jeunes talents et les industries culturelles.
FESPACO 2025 s’impose une fois de plus comme un tremplin incontournable pour le cinéma africain, mettant en lumière les talents et les défis du 7ᵉ art sur le continent.